Festival SPHÈRE - Conversation
https://nac-cna.ca/fr/event/31358
Événement en personne
Musiciens, photographes, écrivains, performeurs, table ronde et discussion ouverte avec les artistes du Festival SPHÈRE. 17h à 18h: Table ronde 18h à 19h: Partagez un verre avec les artistes 19h, rendez-vous au Pavillon Rossy pour l'activation musicale de l'installation ''a shimmering ornament of silt''
Place Peter A. Herrndorf ,1 Elgin Street,OttawaMusiciens, photographes, écrivains, performeurs, table ronde et discussion ouverte avec les artistes du Festival SPHÈRE.
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Diane Borsato is an award-winning artist, educator, amateur mycologist, and beekeeper who works closely with other artists and amateur naturalists. Among many other gestures she has stolen flowers (Bouquet, 2006), foraged for fungi in New York City (Chinatown Foray, 2010), practiced stillness with beekeepers (Your Temper, My Weather, 2013/2022), identified clouds in a museum collection (Cloud Party, 2017), mapped a neighborhood by smells (Olfactory Map, 2017) and most recently, planted an orchard of rare and unusual apple varietals as public art (ORCHARD, 2019 – ongoing). She has performed and exhibited in Canada and internationally at venues including the Art Gallery of Ontario, The Power Plant, the AGYU, the Art Museum at the University of Toronto, the Walter Phillips Gallery at the Banff Centre for the Arts, the Vancouver Art Gallery, the National Art Centre Fogo Island Arts, the Creative Time Summit, and at the Toronto Biennial of Art. www.dianeborsato.net
Diane Borsato est une artiste primée, une éducatrice, une mycologue amatrice et une apicultrice qui collabore régulièrement avec d’autres artistes et naturalistes amateurs. Au fil de ses nombreux gestes artistiques, elle a volé des fleurs (Bouquet, 2006), cherché des champignons dans New York (Chinatown Foray, 2010), pratiqué l’immobilité avec des apicultrices et apiculteurs (Your Temper, My Weather, 2013/2022), identifié des nuages dans une collection de musée (Cloud Party, 2017), établi la carte olfactive d’un quartier (Olfactory Map, 2017) et, plus récemment, planté un verger de variétés inhabituelles et rares de pommiers, en guise d’art public (ORCHARD, 2019 – maintenant). Elle s’est produite et a exposé ses œuvres dans de nombreux endroits au Canada et l’étranger, notamment le Musée des beaux-arts de l’Ontario, The Power Plant, la Galerie d’art de l’Université York, le Musée d’art de l’Université de Toronto, la Galerie Walter Phillips du Centre des arts de Banff, la Galerie d’art de Vancouver, le Centre national Fogo Island Arts, le Creative Time Summit et le Toronto Biennial of Art. www.dianeborsato.net
a rawlings is a mineral, plant, animal, person, place, or thing. Also known as Dr. Angela Rawlings, they are a Canadian-Icelandic interdisciplinary artist-researcher who works with languages as dominant exploratory material. Their practice seeks and interrogates relationality between bodies—be they human, more-than-human, other-than, non. Meditating on languages as inescapable lenses of human engagement, rawlings’ methods over the past twenty years have included sensorial poetries, vocal and contact improvisation, theatre of the rural, and conversations with landscapes.
rawlings has an extensive solo and group performance and exhibition background. They have performed throughout North America, Europe, and Australia at festivals including Roskilde Festival (Denmark), Oslo International Poetry Festival (Norway), and Tectonics Music Festival (Iceland, Scotland). Their work has been exhibited internationally at venues including Dedee Shattuck Gallery (USA), Hafnarborg (Iceland), Hanstholm Fyr (Denmark), and Kunsthall Trondheim (Norway).
rawlings’ books include Wide slumber for lepidopterists (Coach House Books, 2006), Gibber (online, 2012), o w n (CUE BOOKS, 2015), si tu (MaMa Multimedijalni Institut, 2017), Sound of Mull (Laboratory for Aesthetics and Ecology, 2019). Their book Wide slumber was adapted to music theatre by Valgeir Sigurðsson and VaVaVoom (2014). Their libretti include Bodiless (for Gabrielle Herbst, 2014) and Longitude (for Davíð Brynjar Franzson, 2014). rawlings’ Áfall / Trauma was shortlisted for the Leslie Scalapino Award for Innovative Women Playwrights (2013).
rawlings received their PhD from the University of Glasgow where they researched how to perform geochronology in the Anthropocene. In 2021-22, they are researching becoming-with whales in the climate crisis as a postdoctoral fellow with H.M. Queen Margrethe’s and Vigdís Finnbogadóttir’s Interdisciplinary Research Centre on Ocean, Climate, and Society. rawlings also teaches at the Iceland University of the Arts in the MFA for Performing Arts and MA in Music (New Audiences and Innovative Practices). rawlings loves in Iceland.
a rawlings est un minéral, une plante, un animal, une personne, un lieu ou une chose. Artiste interdisciplinaire et scientifique d’origine canado-islandaise, Angela Rawlings se sert des langues comme principal outil d’exploration. Son travail explore les liens unissant les corps – qu’ils soient humains, surhumains, autres qu’humains ou non-humains. Méditant sur les langues vues comme inéluctables prismes de l’interaction humaine, rawlings a utilisé plusieurs méthodes ces vingt dernières années, par exemple la poésie sensorielle, l’improvisation vocale et le contact improvisation, le théâtre de la ruralité, et même les conversations avec le paysage.
En solo ou en groupe, rawlings se produit dans divers festivals en Amérique du Nord, en Europe et en Australie, notamment le Festival de Roskilde (Danemark), le Festival international de poésie d’Oslo (Norvège) et le Festival de musique Tectonics (Islande, Écosse). Ses œuvres ont été exposées à l’étranger, notamment à la Dedee Shattuck Gallery (États-Unis), à Hafnarborg (Islande), à Hanstholm Fyr (Danemark) et à Kunsthall Trondheim (Norvège).
Parmi ses livres, on peut citer Wide slumber for lepidopterists (Coach House Books, 2006), Gibber (en ligne, 2012), o w n (CUE BOOKS, 2015), si tu (MaMa Multimedijalni Institut, 2017) et Sound of Mull (Laboratory for Aesthetics and Ecology, 2019). Son livre Wide slumber a été adapté en comédie musicale par Valgeir Sigurðsson et VaVaVoom (2014). Le livret comprend Bodiless (pour Gabrielle Herbst, 2014) et Longitude (pour Davíð Brynjar Franzson, 2014). Son ouvrage Áfall / Trauma a été sélectionné pour le prix Leslie Scalapino récompensant l’innovation chez les femmes dramaturges (2013).
Après l'obtention d’un doctorat sur la pratique de la géochronologie dans l’anthropocène à l’Université de Glasgow, rawlings étudie depuis 2021 nos relations avec les baleines dans le contexte de la crise climatique, en tant que titulaire de bourse de recherche postdoctorale du Centre de recherche interdisciplinaire de la reine Margrethe et de Vigdís Finnbogadóttir sur l’océan, le climat et la société. rawlings enseigne également à l’Université islandaise des arts – à la maîtrise en arts de la scène et à la maîtrise en musique (nouveaux publics et pratiques innovantes). L’artiste vit en Islande.
rebecca bruton (CAN) is a composer, songmaker, and vocalist living just north of Moh’kinsstis; the place where the Bow and Elbow Rivers converge; the place where the world began (Siksiká). She creates work that moves in the narrow space between sorrow and celebration; her interests include the pace of trekking through the Rocky Mountains, land/blood memory, the choreographic, multi-species kinship, and the malleable nature of time itself.
rebecca creates across several musical mediums, including experimental chamber music, song, film scores, and free improvisation. Her chamber compositions are widely performed, having been commissioned by Ekmeles vocal ensemble (NYC), Quatuor Bozzini (Montréal), Quasar Quatuor de saxophones (Montréal), Arraymusic (Toronto), Ultraviolet Ensemble (Edmonton), and more. In 2023 she will premiere The Faerie Ribbon, a new work for expanded string quintet performed by Quatuor Bozzini and junctQín keyboard collective (Toronto). The Faerie Ribbon will be released as one side of a collaborative LP of music for expanded string quintet, a multi-year project she devised and co-led with Toronto-based composer Jason Doell.
rebecca is an avid collaborator, especially across disciplines. In the fall of 2021 rebecca performed in the premiere of ‘We needed to be rescued’, a collaborative movement and music work she co-created with choreographer and dancer Heather Ware (produced by Dancers Studio West). She also tends to a long-term collaborative friendship with multidisciplinary artist Angela Rawlings, having set Angela’s 2017 book si tu to microtonal music for four voices (I n s t i t u, 2021), and collaborated with Angela in the polyvocal duo Moss Moss Not Moss.
rebecca lives closely intertwined with her more-than-human furfaced besties Hamish, Ramsay, and Mucho.
Rebecca Bruton est une compositrice, chansonnière et interprète canadienne vivant juste au nord de Moh’kinsstis; l’endroit où se rejoignent les rivières Bow et Elbow; l’endroit où est né le monde (Siksiká). Elle crée des œuvres qui occupent l’espace restreint entre la peine et la célébration; elle s’intéresse au rythme de trekking dans les montagnes Rocheuses, à la mémoire du sang et de la terre, la chorégraphie, la solidarité interespèces et la nature malléable du temps lui-même.
Rebecca utilise plusieurs vecteurs pour ses créations : musique de chambre, mélodies, partitions de film et improvisations. Ses compositions pour musique de chambre sont souvent interprétées; elles ont été commandées par l’ensemble vocal Ekmeles (New York), le Quatuor Bozzini (Montréal), le Quatuor de saxophones Quasar (Montréal), Arraymusic (Toronto), l’ensemble Ultraviolet (Edmonton) et bien d’autres. En 2023, Rebecca présentera pour la toute première fois The Faerie Ribbon, une nouvelle œuvre pour quintette à cordes étendu jouée par le Quatuor Bozzini et le Collectif pour claviers junctQín (Toronto). The Faerie Ribbon sera lancée sous forme de disque collaboratif de longue durée à une face pour quintette à cordes étendu, un projet étalé sur de nombreuses années que Rebecca a élaboré et mené avec le compositeur torontois Jason Doell.
Elle est également une collaboratrice prolifique, surtout dans d’autres disciplines. En automne 2021, Rebecca a figuré dans la première de We needed to be rescued, une œuvre musicale collaborative qu’elle a conçue aux côtés de la danseuse et chorégraphe Heather Ware (une production de Dancers Studio West). Elle entretient également une collaboration et une amitié de longue date avec l’artiste multidisciplinaire Angela Rawlings, dont elle a adapté le livre si tu (2017) en musique microtonale pour quatre voix (I n s t i t u, 2021) et avec qui elle a collaboré pour le duo en polyphonie Moss Moss Not Moss.
Rebecca est très proche de ses meilleurs amis poilus plus-humains-que-nature Hamish, Ramsay et Mucho.
The ongoing photography series Eyes as Big as Plates started out in 2011 studying personifications of nature and folkloric explanations of natural phenomena. A decade later it has evolved into a continual search for modern human’s belonging in nature, taking the Norwegian-Finnish artist duo Karoline Hjorth and Riitta Ikonen to sixteen countries on a quest to understand our relationship with our surroundings. The second book in the series features new portraits produced in collaboration with retired wrestling coaches, pub patrons, Sami reindeer herders, Aboriginal uncles, kantele players, librarians, wild boar hunters, and surfers across four continents. To mark the project's ten-year anniversary, it also includes contributions from several guest writers and an extended field notes section revealing the behind-the-scenes action of each portrait.
Riitta Ikonen & Karoline Hjorth have collaborated since 2011 on publications and projects including Eyes as Big as Plates (ongoing), The World in London (2012), Time is a ship that never casts anchor (2014–18), Signal, Lights, Connected for the PyeongChang Winter Olympics (2018), TEDMED Talk 2020, and Finnskogen Understories (ongoing). Finnish artist Riitta Ikonen received her MA from the Royal College of Art in 2008. Norwegian photographer, artist and writer Karoline Hjorth received her MA from the University of Westminster (London) in 2009.
La série de photographies Eyes as Big as Plates, est née en 2011 de la volonté d’étudier les personnifications de la nature et les explications folkloriques des phénomènes naturels. Dix ans plus tard, c’est devenu une recherche perpétuelle de la place de l’humain contemporain dans la nature. Cette recherche a conduit le duo finno-norvégien composé de Riitta Ikonen et Karoline Hjorth à travers seize pays dans une quête pour comprendre notre relation avec ce qui nous entoure. Le deuxième portfolio de la série présente de nouveaux portraits, réalisés avec la collaboration d’entraîneurs de lutte à la retraite, de la clientèle de pub, de gardiens de troupeaux samis, d’oncles autochtones, de joueurs et joueuses de kantele, de bibliothécaires, de chasseurs de sanglier et de surfeurs sur quatre continents. Pour souligner les dix ans du projet, plusieurs autrices et auteurs invités ont apporté leur contribution, et des notes d’observation détaillées sur le travail qu’il y a derrière chaque portrait ont été ajoutées.
Riitta Ikonen et Karoline Hjorth collaborent depuis 2011 sur divers projets et publications, dont Eyes as Big as Plates (en cours), The World in London (2012), Time is a ship that never casts anchor (2014–2018), Signal, Lights, Connected pour les Jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang (2018), TEDMED Talk 2020 et Finnskogen Understories (en cours). L’artiste finlandaise Riitta Ikonen a obtenu une maîtrise en arts du Royal College of Art en 2008. La photographe, artiste et écrivaine norvégienne Karoline Hjorth a pour sa part obtenu une maîtrise en arts de l’Université de Westminster, à Londres, en 2009.
Performer, composer, curator Halla Steinunn Stefánsdóttir is one of Iceland’s leading figures within the early and contemporary music scene. She has been the artistic director of Nordic Affect since its inception in 2005. Halla Steinunn’s work has been a tour de force when it comes to work with composers, performers, visual artists, and producers. She is driven by an ecosystemic outlook on creation, set to further explore its world-making possibilities through music‘s many mediated relationships.
Halla Steinunn‘s compositional output has spanned everything from electro-acoustic compositions to sound and media installations. 2018 saw the release of her work He(a)r on Nordic Affect’s album by the same title. The album was featured in various best-of- the-year lists, including The Boston Globe, I Care if You Listen and Second Inversion. Recent works have included Spherical White with Diamond, a site-respondent installation created for Curated Place and NATUR (UK) in collaboration with National Trust Formby (UK) and Fjärilarna steg upp (The butterflies ascended) an installation of 8 mono channels created for The Botanical Garden in Lund (SE). Among upcoming projects, alongside the NAC Orchestra’s commission is the release of the strengur album project on Carrier Records.
L’artiste, compositrice et éditrice Halla Steinunn Stefánsdóttir est une des figures de proue de la scène musicale classique et contemporaine en Islande. Elle est metteuse en scène artistique pour Nordic Affect depuis les débuts du groupe en 2005. Halla Steinunn est capable d’un véritable tour de force lorsqu’il s’agit de collaborer avec des compositrices, compositeurs, productrices, producteurs, artistes de la scène et artistes en art visuel. Portée par une vision écosystémique de la création, elle tend à en explorer les effets potentiels sur le monde à travers les nombreuses relations entre la musique et ses intermédiaires.
Les compositions d’Halla Steinunn vont de l’électroacoustique aux installations sonores et médiatiques. En 2018, elle diffuse son œuvre He(a)r sur l’album de Nordic Affect du même nom. L’album figure d’ailleurs dans différents palmarès cette année-là, y compris celui du Boston Globe, de I Care if You Listen et de Second Inversion. Parmi ses œuvres récentes, on peut citer Spherical White with Diamond, une installation sonore qui s’adapte au décor créée pour Curated Place et NATUR (Royaume-Uni), en collaboration avec National Trust Formby (Royaume-Uni), et Fjärilarna steg upp (L’ascension des papillons), une installation comportant huit sons monophoniques créés pour le Jardin botanique de Lund (Suède). Ses projets à venir, en plus des commandes de l’Orchestre du CNA, comprennent la sortie de son album strengur chez Carrier Records.
Meryl McMaster earned her BFA in Photography from the Ontario College of Art and Design University (2010) and is currently based in Québec, Canada. Known for her large-format self-portraits that have a distinct performative quality, she explores questions of self through land, lineage, history, and culture, with specific reference to her mixed nêhiyaw (Plains Cree), British and Dutch ancestry.
McMaster’s work has been the subject of solo exhibitions at Urban Shaman, Winnipeg (2021), McCord Steward Museum, Montreal (2021), Canada House, London (2020), Ikon Gallery, Birmingham (2019), Ryerson Image Centre, Toronto (2019), Glenbow, Calgary (2019), The Room, St. John's (2018) Momenta Biennale, Montreal (2017), Museum of Contemporary Native Arts, Santa Fe (2015), and Smithsonian National Museum of the American Indian, New York (2015), amongst others.
From 2016-2020, her solo exhibition Confluence travelled to nine cities in Canada, including stops at the Richmond Art Gallery (2017), Thunder Bay Art Gallery, Thunder Bay (2017), University of Lethbridge Art Gallery, Lethbridge (2018), and The Judith and Norman Alix Art Gallery, Sarnia (2020).
Her work has also appeared in group exhibitions at Sprengel Museum, Hannover (2021), Carleton University Art Gallery, Ottawa (2020), Australian Centre for Photography, Australia (2019), National Gallery of Canada, Ottawa (2018), Ottawa Art Gallery (2018, 2019), Kitchener Waterloo Art Gallery (2016, 2019), the Musée national des beaux-arts du Québec (2019), Plug In Institute for Contemporary Art, Winnipeg (2017), and Art Gallery of Guelph (2017), amongst others.
She was shortlisted for the Rencontres d’Arles New Discovery Award 2019 and longlisted for the 2016 Sobey Art Award and is the recipient of numerous awards including the Scotiabank New Generation Photography Award, REVEAL Indigenous Art Award, Charles Pachter Prize for Emerging Artists, Canon Canada Prize, Eiteljorg Contemporary Art Fellowship and OCAD U Medal.
Her work has been collected by significant Canadian institutions, including the Art Gallery of Ontario, Montreal Museum of Fine Art, and the National Gallery of Canada.
Meryl McMaster détient un baccalauréat en beaux-arts, photographie, de l’Université de l’École d’art et de design de l’Ontario (2010). Elle est présentement installée au Québec (Canada). Réputée pour ses autoportraits en grand format au caractère singulièrement théâtral, elle explore l’idée du moi dans la terre, l’héritage, l’histoire et la culture, autant de références à son héritage métissé nêhiyaw (Cris des plaines), britannique et néerlandais.
Les œuvres de Meryl McMaster ont été présentées dans de nombreuses expositions solo à Urban Shaman, à Winnipeg (2021); au Musée Stewart, à Montréal (McCord, 2021); à la Maison du Canada, à Londres (2020); à la Galerie Ikon, à Birmingham (2019), au Ryerson Image Centre, à Toronto (2019); au Musée Glenbow, à Calgary (2019); à The Rooms, à Saint John’s (2018); à Momenta Biennale, à Montréal (2017); au Museum of Contemporary Native Arts, à Santa Fe (2015); et au Smithsonian National Museum of the American Indian, à New York (2015), entre autres.
De 2016 à 2020, son exposition solo Confluence a fait la tournée de neuf villes canadiennes et habité plusieurs lieux comme : la Galerie d’art de Richmond (2017); la Galerie d’art de Thunder Bay (2017); la Galerie d’art de l’Université de Lethbridge (2018); et la Galerie d’art de Judith and Norman Alix, à Sarnia (2020).
Le travail de la photographe a également figuré dans des expositions de groupe au Musée Sprengel, à Hannover (2021); à la Galerie d’art de l’Université Carleton, à Ottawa (2020); à l’Australian Centre for Photography, en Australie (2019); au Musée national des beaux-arts du Québec (2019); au Plug In Institute for Contemporary Art, à Winnipeg (2017); et à la Galerie d’art de Guelph, entre autres.
Meryl McMaster a été sélectionnée parmi les prétendants au titre du Prix découverte des Rencontres d’Arles en 2019, et l’on a murmuré son nom pour les Prix Sobey pour les arts de 2016. Elle est également récipiendaire de nombreuses distinctions, dont le Prix Nouvelle génération de photographes de la Banque Scotia, le REVEAL – Prix en art autochtone, le prix Charles Pachter pour les artistes de la relève, le prix Canon Canada, la bourse d’art contemporain Eiteljorg et la médaille de l’Université de l’EADO.
Son travail a été acquis par des institutions canadiennes de renom, comme le Musée des beaux-arts de l’Ontario, le Musée des Beaux-arts de Montréal et le Musée des beaux-arts du Canada.
A naturalist, conceptualist and multidisciplinary artist. Matt Ceolin was raised in Canada’s rural northern woodlands and has dedicated his life to learning from the complexities of the natural world. He lives and bases his studio practice on the land and in the forests of Algoma. His work is informed by an integrated and ongoing engagement with land, its complex ecologies and the entities within, and reflects his pursuit of a more visceral sensibility of their perception and portrayal. His visual work has been exhibited at galleries in Canada, the United States, and Iceland.
Artiste naturaliste, conceptualiste et multidisciplinaire, Matt Ceolin a grandi dans les régions boisées du Nord canadien et a consacré sa vie à tirer des apprentissages des complexités de la nature. Actuellement, il vit dans les forêts du district d’Algoma, d’où il exerce son art. Son travail repose sur son enracinement et son attachement fidèle à la terre, à ses écologies complexes et aux entités qui les habitent, et qu’il s’efforce de percevoir et de dépeindre avec une sensibilité aussi viscérale que possible. Ses œuvres ont été exposées au Canada, aux États-Unis et en Islande.