If one word applies to Lang Lang, to the musician, to the man, to his worldview, to those who come into contact with him, it is “inspiration”. It resounds like a musical motif through his life and career. He inspires millions with open-hearted, emotive playing, whether it be in intimate recitals or on the grandest of stages –such as the 2014 World Cup concert in Rio, with Placido Domingo, to celebrate the final game; the 56th GRAMMY Award, where he played with Metallica; the Opening Ceremony of the 2008 Beijing Olympics, where more than four billion people around the world viewed his performance, the Last Night of the Proms at London’s Royal Albert Hall, or the Liszt 200th birthday concert broadcast live to more than 500 cinemas around the US and Europe. He forms enduring musical partnerships with the world’s greatest artists, from conductors such as Daniel Barenboim, Gustavo Dudamel and Sir Simon Rattle, to artists from outside of classical music – among them dubstep dancer Marquese “nonstop” Scott and jazz titan Herbie Hancock. Thanks to his Sony ambassadorship, he brought Prokofiev’s 7th Piano Sonata to the soundtrack of the multi-million- selling computer game Gran Turismo 5 and 6! And he builds cultural bridges between East and West, frequently introducing Chinese music to Western audiences, and vice versa.
Yet he never forgets what first inspired, and continues to inspire him. Great artists, above all the great composers – Liszt, Chopin and the others – whose music he now delights in bringing to others. Even that famous old Tom and Jerry cartoon “The Cat Concerto” which introduced him, as a child, to the music of Liszt – and that childlike excitement at the discovery of music now surely stays with him and propels him to what he calls “his second career”, bringing music into the lives of children around the world, both through his work for the United Nations as a Messenger of Peace focusing on global education and through his own Lang Lang International Music Foundation. As he inspires, he is inspired. As he is inspired, he inspires others. It is this quality, perhaps, that led the New Yorker to call him “the world’s ambassador of the keyboard”.
Time Magazine named Lang Lang in the “Time 100”, citing him as a symbol of the youth of China, and its future. Lang Lang is cultural ambassador for Shenzhen and Shenyang. And if the Chinese passion for piano isn’t solely due to him, he has played no small part as a role model – a phenomenon coined by The Today Show as "the Lang Lang effect." Steinway Pianos for the first time named a model after a single artist when they introduced “The Lang Lang Piano” to China, specially designed for education.
And the child Lang Lang was and who, perhaps, is always with him, would surely have approved of the way he gives back to youth. He mentors prodigies, convenes 100 piano students at a time in concert, and dedicated his Lang Lang International Music Foundation to cultivating tomorrow’s top pianists, music education at the forefront of technology, and building a young audience.
Lang Lang has been featured on every major TV network and in magazines worldwide. He has performed for international dignitaries including the Secretary-General of the U.N. Ban Ki-moon, four US presidents, President Koehler of Germany, former French President Sarkozy and President Francois Hollande. Of many landmark events, he was honored to perform recently for President Obama and former President Hu Jin-Tao of China at the White House State Dinner, as well as at the Diamond Jubilee celebratory concert for Queen Elizabeth II at Buckingham Palace.
Honors include being added as one of the World Economic Forum’s 250 Young Global Leaders, Honorary Doctorates from the Royal College of Music and Manhattan School of Music, the highest prize awarded by China’s Ministry of Culture, Germany’s Order of Merit and France’s Medal of the Order of Arts and Letters.
For further information visit http://www.langlang.com / http://www.langlangfoundation.org
S'il fallait n’utiliser qu’un mot pour décrire Lang Lang – le musicien, l’homme, sa vision du monde, ceux qui le côtoient – ce serait « inspiration ». Une inspiration qui, à la manière d’un motif musical, imprègne l’ensemble de sa vie et de sa carrière. Son jeu généreux et rempli d’émotions inspire des millions de gens, que ce soit dans des récitals intimes ou des spectacles grandioses, comme le concert de clôture de la Coupe du monde 2014 de football (soccer) à Rio, avec Placido Domingo; la 56e cérémonie des Oscar, où il s’est produit avec le groupe Metallica; la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Beijing en 2008, où plus de quatre milliards de personnes l’ont vu jouer; le concert Last Night of the Proms au Royal Albert Hall de Londres, ou encore le concert commémoratif du 200e anniversaire de la naissance de Franz Liszt, transmis en direct dans plus de 500 cinémas aux États‑Unis et en Europe. Lang Lang forme des partenariats musicaux durables avec une pléiade d’artistes éminents, allant de chefs d’orchestre de la trempe de Daniel Barenboim, Gustavo Dudamel et Sir Simon Rattle, à des artistes qui dépassent les frontières de la musique classique, tels que le danseur de dubstep Marquese « nonstop » Scott, et le géant du jazz Herbie Hancock. Le fait d’être un ambassadeur de Sony lui a permis d’enregistrer la Sonate pour piano no 7 de Prokofiev comme trame sonore des jeux vidéo Gran Turismo 5 et 6, qui se sont vendus à des millions d’exemplaires! Il érige des ponts culturels entre l’Orient et l’Occident, présentant souvent de la musique chinoise à ses publics occidentaux, et vice‑versa.
Il n’oublie néanmoins jamais son inspiration première, toujours présente : les grands artistes, et surtout les grands compositeurs tels que Liszt et Chopin, dont il se plaît à communiquer la musique – même le célèbre « Cat Concerto » d’un épisode du dessin animé Tom and Jerry qui, enfant, lui a fait découvrir la musique de Liszt. Cet enthousiasme qui accompagna sa découverte de la musique ne l’a jamais quitté et alimente ce qu’il appelle sa « seconde carrière », à savoir l’intégration de la musique dans la vie des jeunes du monde entier, autant par le biais de son travail axé sur l’éducation à titre de Messager de la paix des Nations Unies, que par l’entremise de sa propre Fondation internationale pour la musique Lang Lang. Tandis qu’il inspire les autres, il est lui‑même inspiré. C’est sans doute cet attribut qui a incité le New Yorker à le qualifier « d’ambassadeur mondial du clavier ».
Le magazine Time a inclus Lang Lang sur sa liste « Time 100 », le décrivant comme un symbole de la jeunesse chinoise et de l’avenir de la Chine. Il est un ambassadeur culturel pour Shenzhen et Shenyang. S’il n’est pas la seule et unique cause de l’engouement des Chinois pour le piano, il a sans contredit apporté, en sa qualité de modèle, une contribution majeure au phénomène – que The Today Show a qualifiée « d’effet Lang Lang ». La compagnie Steinway Pianos a pour la première fois donné le nom d’un artiste à un de ses modèles de piano lorsqu’elle a lancé le piano d’étude « Lang Lang Piano » sur le marché chinois.
Et l’enfant en Lang Lang approuverait certainement sa contribution à la jeunesse. Il est le mentor de jeunes prodiges, invite 100 élèves de piano à la fois à ses concerts, et la Fondation internationale pour la musique Lang Lang se consacre à la formation des meilleurs pianistes de demain, cherche à mettre la technologie de pointe au service de l’enseignement musical, et s’efforce d’attirer les jeunes auditoires.
Lang Lang a été interviewé par tous les grands réseaux de télévision et périodiques du monde entier. Il a joué pour bon nombre de dignitaires internationaux dont Ban Ki‑moon, secrétaire général de l’ONU, quatre présidents américains, le président Koehler d’Allemagne, l’ex‑président français Nicholas Sarkozy et l’actuel président François Hollande. Parmi de nombreux événements marquants, citons son récent concert pour le président Obama et l’ex‑président Hu Jin‑Tao de Chine, lors d’un dîner officiel à la Maison‑Blanche, et sa prestation au concert du Jubilé de diamant de la reine Elisabeth II, au palais de Buckingham.
Au nombre des distinctions qui lui ont été décernées, mentionnons sa citation parmi les 250 Jeunes leaders mondiaux désignés par le Forum économique mondial, des doctorats honorifiques du Royal College of Music et de la Manhattan School of Music, la plus haute distinction du ministère de la Culture de la Chine, l’Ordre du Mérite de l’Allemagne et la médaille de l’Ordre des Arts et des Lettres de la République française.
Pour de plus amples renseignements, veuillez visiter www.langlang.com/ / www.langlangfoundation.org