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Dernière mise à jour: 10 janvier 2025
Final Symphony est une série de concerts sous licence officielle de Square Enix, reprenant en version symphonique la musique des jeux vidéo Final Fantasy VI, VII et X, composée à l’origine par Nobuo Uematsu et Masashi Hamauzu. Le directeur artistique et producteur de la tournée mondiale est Thomas Böcker.
Final Symphony a été créé en Allemagne en mai 2013 par l’Orchestre symphonique de Wuppertal, sous la direction d’Eckehard Stier. Le même mois, la première britannique de Final Symphony a été donnée par l’Orchestre symphonique de Londres, marquant la toute première fois où ce prestigieux ensemble interprétait de la musique tirée de jeux vidéo. D’autres concerts ont par la suite été présentés au Japon, au Danemark, en Suède, en Finlande, aux Pays-Bas, aux États-Unis, en Nouvelle-Zélande, en Chine, en Autriche, en Australie et en Pologne.
En 2015 a eu lieu le lancement numérique mondial de l’album Final Symphony, qui a atteint la première place des classements classiques d’iTunes dans plus de dix pays et est entré dans le Top 5 des albums classiques du Billboard et des classements officiels britanniques. Il a été enregistré par l’Orchestre symphonique de Londres aux Studios Abbey Road.
Les arrangements exclusifs de Final Symphony sont signés Roger Wanamo, Masashi Hamauzu et Jonne Valtonen.
Orchestre du Centre national des Arts
Andrew Crust, chef d’orchestre
Mischa Cheung, piano
NOBUO UEMATSU Fanfare d’ouverture (3 minutes)
NOBUO UEMATSU Final Fantasy VI – Poème symphonique : « Born with the Gift of Magic » (Née avec le don de la magie) (18 minutes)
(Thème de Terra / Kefka / Le monde des Espers / Combat, etc.)
NOBUO UEMATSU, MASASHI HAMAUZU Final Fantasy X – Concerto pour piano (19 minutes)
(Besaid / Chant des Fayth / Thunder Plains / Assaut, etc.)
I. Zanarkand
II. Inori
III. Kessen
ENTRACTE
NOBUO UEMATSU Final Fantasy VII – Symphonie en trois mouvements (42 minutes)
(Thème principal / J-E-N-O-V-A / Thème de Tifa / Le grand guerrier, etc.)
I. Nibelheim Incident (L’incident de Nibelheim)
II. Words Drowned by Fireworks (Paroles étouffées par les feux d’artifice)
III. The Planet’s Crisis (La crise planétaire)
Final Symphony © et ℗ 2013-2024 Merregnon Studios. Mis en scène et produit par Thomas Böcker. Sous licence de Square Enix. FINAL FANTASY est une marque déposée ou une marque de commerce de Square Enix Group Co., Ltd.
Roger Wanamo, l’arrangeur et orchestrateur de ce poème symphonique, a un lien très fort avec ce volet particulier de la série Final Fantasy : « Final Fantasy VI est le premier jeu de la série auquel j’ai joué et je me souviens avoir été totalement emporté par la profondeur de l’histoire, la complexité des personnages, sans oublier la beauté stupéfiante de la musique. Avec cet arrangement, je souhaite raconter cette histoire telle que je l’ai vécue. »
Cet arrangement se concentre sur l’histoire de Terra Branford, l’héroïne née avec un don de magie. Cette dernière a grandi en tant qu’esclave de l’Empire et a été éduquée pour devenir une arme de destruction massive. Lorsqu’elle se libère de ses liens avec l’Empereur, elle se rend compte qu’elle est incapable de se rappeler quoi que ce soit de son passé. Elle se lance alors dans un périple pour retrouver son identité propre et découvrir la source de ses étranges pouvoirs. Au fil de ses aventures, elle doit également sauver le monde du méchant Kefka, le mage de cour de l’empereur, qui ressemble à un bouffon.
« Tout au long du morceau, explique Roger Wanamo, j’examine les différentes étapes de la vie de Terra qui ont fait d’elle la personne qu’elle est. Je me penche également sur Kefka et sa personnalité psychopathe. Une fois que le combat final est terminé et que la fumée s’est dissipée sur le champ de bataille, Terra est finalement en paix avec son passé et peut mener sa vie en toute liberté. »
I. Zanarkand
II. Inori
III. Kessen
Masashi Hamauzu, l’arrangeur de ce concerto pour piano, est également l’un des compositeurs originaux de la musique de Final Fantasy X (avec Nobuo Uematsu et Junya Nakano). Travailler sur Final Fantasy X a été pour lui une expérience très particulière : « Dans ce cas, j’ai pu donner libre cours à mes intuitions et à ma sensibilité en composant, ce qui n’arrive pas très souvent. Bien entendu, j’avais le scénario du jeu en tête, mais j’ai aussi puisé des idées dans le monde réel, en dehors des créations de l’univers Final Fantasy. »
Pour avoir travaillé longtemps sur la série Final Fantasy, Masashi Hamauzu l’aborde davantage comme un continuum que comme une succession de scènes et de récits distincts. La source d’inspiration de ce concerto reflète surtout cette vision globale, plutôt que d’être liée à un arc narratif ou à une galerie de personnages. Il a vu dans ce concerto une occasion d’aller encore plus loin dans sa conception de la musique : « Il y a certaines choses que je n’arrivais pas très bien à exprimer quand j’ai travaillé sur la musique de Final Fantasy X, et j’ai le sentiment d’avoir pu le faire cette fois-ci ».
I. Nibelheim Incident
II. Words Drowned by Fireworks
III. The Planet’s Crisis
Le premier mouvement de la symphonie est basé sur Sephiroth, le méchant du jeu. Jonne Valtonen, l’arrangeur et orchestrateur de cette symphonie, utilise le motif à trois notes de Sephiroth tout au long du premier mouvement comme élément d’intégrité structurale. Dans la phase finale du mouvement, « l’ange à une aile » (The One-Winged Angel) émerge dans toute sa splendeur, avant de se déformer progressivement à mesure que tous les thèmes antérieurs du mouvement se superposent. Cette distorsion est le reflet du chaos intérieur que ressent Sephiroth, alors qu’il prend conscience de son passé. À la fin du mouvement, tout ralentit. Alors que Sephiroth renaît, la pulsation familière est entendue « dans un contexte quasi spirituel », comme le souligne avec justesse Jonne Valtonen.
Le deuxième mouvement de la symphonie aborde les thèmes de l’amour, de la perte et de l’indécision. Cloud, le héros, éprouve des sentiments confus envers Aerith et Tifa. Le mouvement commence par Words Drowned by Fireworks (« Paroles étouffées par les feux d’artifice »), une scène dans laquelle Cloud se rend à un rendez-vous galant qui se termine abruptement. La musique progresse en reprenant les thèmes de Tifa, Cloud et Aerith – trois thèmes toujours présents, chacun d’eux étant mis de l’avant comme thème principal dans certaines phases du mouvement. Les mélodies et les motifs des autres thèmes apparaissent au premier plan chaque fois que le thème principal en cours leur en laisse la place.
Le « compte à rebours » (Countdown) est le point de départ du troisième mouvement, et contient un matériau musical récurrent tout au long du mouvement qui sert d’élément unificateur. Le grand thème de ce mouvement est celui du bien contre le mal, le combat entre Cloud et Sephiroth. Cette confrontation finale est évoquée par le son des coups métalliques qui font écho aux thèmes eux-mêmes. Les thèmes des différents personnages viennent s’y mêler à mesure que ceux-ci s’engagent dans la bataille. Le silence émerge après l’intense affrontement, et de ce silence, la Rivière de la vie (le « Lifestream ») commence à couler et à prendre de l’ampleur. Et elle s’accroît en effet, ainsi que l’explique Jonne Valtonen : « En fait, d’un point de vue spectral et orchestral, les accords de la fin sont aussi forts qu’ils ne peuvent l’être physiquement. Le son est énorme et irrépressible, comme la Rivière de la vie elle-même. »
Texte de Mikko Laine (traduit de l’anglais)
Le chef d’orchestre américano-canadien Andrew Crust mène une carrière internationale polyvalente, dirigeant tour à tour des programmes d’orchestre, d’opéra, de ballet et de musique pop ou de film.
Pour sa deuxième saison en tant que directeur musical de l’Orchestre symphonique du Vermont, il a programmé et dirigé un vaste éventail de spectacles aux quatre coins de l’État et a collaboré avec des solistes de renommée mondiale, dont sir Stephen Hough, Béla Fleck, Bella Hristova, Simone Porter, Joshua Roman et Adam Tendler. Il a aussi dirigé en mai 2024 la première mondiale du nouveau concerto pour piano de Nico Muhly, Sounding, a piloté un projet de création d’une nouvelle série pops, a donné un nouveau souffle à la programmation des concerts jeunesse et a poursuivi ses collaborations avec diverses organisations artistiques du Vermont.
Pour sa cinquième saison comme directeur musical de l’Orchestre symphonique de Lima, il a programmé et dirigé les séries de grands concerts, de musique populaire et de concerts éducatifs de l’ensemble, ainsi que des collaborations avec des solistes comme Charles Yang, Amit Peled, Tracy Silverman, Sandeep Das, Awadagin Pratt et Laquita Mitchell. Sous sa direction, l’orchestre a présenté sa programmation la plus diversifiée à ce jour, s’est lancé dans de nouveaux projets de disques et a commandé de nouvelles œuvres. Andrew Crust a à cœur la diversité et la représentation dans les salles de concert. Avec lui à la barre, la programmation de compositrices et de personnes noires et de couleur a augmenté de 35 % à l’Orchestre symphonique de Lima.
Andrew Crust a récemment pris ou prendra bientôt le podium avec les orchestres symphoniques de Calgary, du Centre national des Arts à Ottawa, d’Elgin, de Rockford, de Nouvelle-Écosse, de Chattanooga, de Winnipeg, de Laval, de Billings, de l’île de Vancouver, de Sewanee, de Memphis, de Hartford et de Bozeman à titre de chef d’orchestre invité. Il retrouve également les orchestres symphoniques de Vancouver, de San Diego et de l’Arkansas, collaborant avec des solistes de renom comme Geneva Lewis, George Li, Zuill Bailey, Wei Luo et Shannon Lee.
En 2020, Andrew Crust a obtenu un prix d’aide à la carrière de la Fondation Solti (États-Unis), et en 2021, il a reçu le « Prémio a la Proyección » (prix de rayonnement) au concours international de direction d’orchestre de Llíria, ville de musique de l’UNESCO. En 2017, Daniele Gatti lui avait remis le premier prix de l’Accademia Chigiana. Il a par ailleurs été demi-finaliste au concours des jeunes chefs d’orchestre du Festival de Salzbourg/Nestlé et a été choisi par des membres de l’Orchestre philharmonique de Vienne pour recevoir une bourse Ansbacher, qui comprenait une résidence dans ce même festival.
De 2019 à 2022, Andrew Crust a été chef d’orchestre associé à l’Orchestre symphonique de Vancouver (VSO), où il a dirigé quelque 45 concerts chaque saison et réalisé des dizaines d’enregistrements consultables en ligne (VSO Online, en anglais seulement). Il revient régulièrement au VSO à titre de chef d’orchestre invité.
Il est aussi à l’aise dans la fosse, ayant dirigé des prestations de Ballet BC, de Ballet Memphis et du New Ballet Ensemble, et des opéras avec entre autres l’Opéra McGill, la College Light Opera Company et la Boulder Opera Company. Comme chef de concerts pops, il a collaboré avec nombre d’artistes, dont Rufus Wainwright, Steven Page, Tony DeSare, Michael Bolton, Dee Daniels, Cirque de la Symphonie et les United States Jazz Ambassadors. Il s’est en outre taillé une belle réputation dans le milieu des ciné-concerts.
Andrew Crust a été chef d’orchestre adjoint de la National Youth Orchestra of the United States of America en 2017 et en 2018, épaulant Michael Tilson Thomas pour une tournée en Asie, ainsi que Giancarlo Guerrero, Marin Alsop et James Ross au Carnegie Hall et dans un concert aux côtés de l’Orchestre de Philadelphie.
À l’international, il a dirigé des prestations de l’Orchestra Giovanile Italiana en Italie, de l’Hamburger Symphoniker au Festival Mendelssohn, en Allemagne, de l’Orchestre philharmonique de la Moravie en République tchèque et de l’Orquesta Sinfónica Nacional de Chile à Santiago.
Andrew Crust s’emploie à explorer de nouvelles façons d’adapter la musique classique au XXIe siècle grâce à une programmation et des campagnes de marketing innovantes, des expériences de concert axées sur les communautés selon une approche sensible aux considérations sociales ou encore des spectacles dans des lieux uniques. Il croit fermement à une éducation musicale authentique et a lui-même produit et élaboré plusieurs programmes pédagogiques avec des orchestres. Comme arrangeur et orchestrateur, il s’est associé à Schirmer pour orchestrer un ensemble de mélodies de Florence Price, présentées pour la première fois en février 2022. Il a également orchestré des pièces d’Alma Mahler et de Prokofiev, ainsi que de nombreuses autres œuvres populaires et pédagogiques.
Mischa Cheung a étudié auprès de Konstantin Scherbakov à l’Université des arts de Zurich et connaît une carrière florissante qui l’a mené dans des salles de concert et des festivals du monde entier. Il est membre du Gershwin Piano Quartet, un ensemble acclamé qui propose des arrangements spectaculaires pour quatre pianos et qui a lancé l’album Transatlantiques chez Sony Classical en 2018. Il donne des récitals solos et de musique de chambre et se produit régulièrement comme soliste aux concerts de musique de jeux vidéo symphonique de Merregnon Studios. Cette série de concerts l’a mené à faire une tournée du Japon avec l’Orchestre symphonique de Londres et lui a permis de jouer avec l’Orchestre philharmonique de Hong Kong, l’Orchestre Beethoven de Bonn, l’Orchestre philharmonique des Pays-Bas et l’Orchestre symphonique de la Ville de Birmingham. En 2023, Mischa Cheung a été soliste sur l’album Final Symphony II : Music from Final Fantasy V, VIII, IX & XIII avec l’Orchestre philharmonique royal de Stockholm. Il a aussi travaillé avec l’illustre chorégraphe Alexandra Bachzetsis, composant et interprétant la musique d’œuvres transdisciplinaires commandées par le Museum of Modern Art de New York et l’Art Institute of Chicago. Son enregistrement du Concerto pour moi-même pour piano de Friedrich Gulda, paru sous étiquette Solo Musica en 2019, a été chaudement accueilli par la critique. Mischa Cheung a été, de 2011 à 2015, membre de l’ensemble Spark, primé aux prix Echo, et a participé à de nombreuses tournées de concerts et productions pour la radio et la télévision ainsi qu’à des disques pour Deutsche Grammophon et Berlin Classics. Il enseigne à l’Université des arts de Zurich, où, après avoir été assistant lors des classes de maître de Konstantin Scherbakov pendant de nombreuses années, il a récemment été nommé maître de conférences en piano et en improvisation.
L’Orchestre du Centre national des Arts (CNA) du Canada est reconnu pour la passion et la clarté de son jeu, ses programmes d’apprentissage et de médiation culturelle visionnaires et son soutien indéfectible à la créativité canadienne. Situé à Ottawa, la capitale nationale, il est devenu depuis sa fondation en 1969 l’un des ensembles les plus encensés et les plus dynamiques du pays. Sous la gouverne du directeur musical Alexander Shelley, l’Orchestre du CNA reflète le tissu social et les valeurs du Canada, nouant des liens avec des communautés de tout le pays grâce à sa programmation inclusive, ses récits puissants et ses partenariats innovants.
Alexander Shelley a façonné la vision artistique de l’Orchestre depuis qu’il en a pris les rênes en 2015, poursuivant sur la lancée de son prédécesseur, Pinchas Zukerman, qui a dirigé l’ensemble pendant 16 saisons. Le maestro Shelley jouit par ailleurs d’une belle renommée qui s’étend bien au-delà des murs du CNA, étant également premier chef d’orchestre associé de l’Orchestre philharmonique royal au Royaume-Uni ainsi que directeur artistique et musical d’Artis—Naples et de l’Orchestre philharmonique de Naples aux États-Unis. Au CNA, Alexander Shelley est épaulé dans son rôle de leader par le premier chef invité John Storgårds et par le premier chef des concerts jeunesse Daniel Bartholomew-Poyser. En 2024, l’Orchestre a ouvert un nouveau chapitre avec la nomination d’Henry Kennedy au nouveau poste de chef d’orchestre en résidence.
Au fil des ans, l’Orchestre a noué de nombreux partenariats avec des artistes de renom comme James Ehnes, Angela Hewitt, Renée Fleming, Hilary Hahn, Jeremy Dutcher, Jan Lisiecki, Ray Chen et Yeol Eum Son, assoyant ainsi sa réputation d’incontournable pour les talents du monde entier. L’ensemble se distingue à l’échelle internationale par son approche accessible, inclusive et collaborative, misant sur le langage universel de la musique pour communiquer des émotions profondes et nous faire vivre des expériences communes qui nous rapprochent.
Depuis sa fondation en 1969, l’Orchestre du CNA fait la part belle aux tournées nationales et internationales. Il a joué dans toutes les provinces et tous les territoires du Canada et a reçu de nombreuses invitations pour se produire à l’étranger. Avec ces tournées, l’ensemble braque les projecteurs sur les artistes et les compositeurs et compositrices du Canada, faisant retentir leur musique sur les scènes de l’Amérique du Nord, du Royaume-Uni, de l’Europe et de l’Asie.
Tobi Hunt McCoy poursuit sa collaboration saisonnière avec l’Orchestre du CNA à titre de régisseuse. Lors des saisons précédentes, elle a notamment été à la régie pour Le Songe d’une nuit d’été de Mendelssohn avec Christopher Plummer en 2001 et Colm Feore en 2014. Pour l’Orchestre symphonique d’Edmonton, elle a assuré avec Jack Everly la coproduction de La belle époque de la radio, un concert Pops de musique des années 1940 qu’ils avaient produit ensemble en 2007 pour l’Orchestre du CNA.
En 2018, McCoy a fait ses débuts de comédienne à la Salle Southam en jouant son propre rôle dans L’Orchestre de la planète X de la Magic Circle Mime Co. Comme régisseuse, elle a fait un peu de tout : aidé Suzanne et la comtesse à expliquer les subtilités de l’amour conjugal au comte et à Figaro dans Les Noces de Figaro; gardé les yeux ouverts (pour la première fois de sa vie) pendant la scène des singes volants dans le Magicien d’Oz; demandé (par erreur!) à Patrick Watson de montrer une pièce d’identité en coulisses; retenu son souffle devant les prouesses des acrobates du Cirque à Broadway; continué d’exercer son français de la Colombie-Britannique grâce aux conseils des choristes d’Ottawa et acclamé Luke et la princesse Leia avec Charlie Ross, Émilie Fournier et Erik Ochsner dans le cadre du concert Pops Star Wars.
Dans son temps libre, elle s’occupe du département d’arts, d’anglais, de théâtre et de techniques de documentation au Lisgar Collegiate Institute.
Alexander Shelley
Directeur musical
Premiers violons
Yosuke Kawasaki (violon solo)
Jessica Linnebach (violon solo associée)
Noémi Racine Gaudreault (assistante violon solo)
Jeremy Mastrangelo
Marjolaine Lambert
Jeffrey Dyrda
Carissa Klopoushak
Manuela Milani
*Martine Dubé
*Renée London
*Heather Schnarr
*Oleg Chelpanov
Seconds violons
**Emily Kruspe (solo)
Emily Westell
Jessy Kim
Frédéric Moisan
Leah Roseman
Karoly Sziladi
Mark Friedman
**Winston Webber
**Edvard Skerjanc
*Marc Djokic
*Sara Mastrangelo
*Karoly Sziladi Jr
*Elspeth Durward
*Austin Woo
Altos
Jethro Marks (solo)
David Marks (solo associé)
**David Goldblatt (assistant solo)David Thies-Thompson
Paul Casey
Tovin Allers
*Sonya Probst
*Pamela Fay
*Kelvin Enns
*Mary-Kathryn Stevens
*Emily Kistemaker
Violoncelles
Rachel Mercer (solo)
Julia MacLaine (assistante solo)
Marc-André Riberdy
Leah Wyber
Timothy McCoy
*Sonya Matoussova
*Ethan Allers
*Fanny Marks
Contrebasses
Sam Loeck (solo)
Max Cardilli (assistant solo)
Vincent Gendron
**Marjolaine Fournier
*Paul Mach
*Doug Ohashi
*Travis Harrison
Flûtes
Joanna G’froerer (solo)
Stephanie Morin
*Christian Paquette
Hautbois
Charles Hamann (solo)
**Anna Petersen
*Melissa Scott
*Lief Mosbaugh
Cor anglais
Anna Petersen
Clarinettes
Kimball Sykes (solo)
Sean Rice
*Shauna Barker
Bassons
Darren Hicks (solo)
Vincent Parizeau
*Alex Eastley
Cors
*Mikhailo Babiak (solo invité)
Julie Fauteux (solo associée)
Lauren Anker
Louis-Pierre Bergeron
*Olivier Brisson
*Micajah Sturgess
Trompettes
Karen Donnelly (solo)
Steven van Gulik
*Amy Horvey
*Michael Fedyshyn
Trombones
*Nate Fanning (solo invité)
*Steve Dyer
Trombone basse
Zachary Bond
Tuba
Chris Lee (solo)
Timbales
*Jonathan Rance (solo invité)
Percussions
Andrew Johnson
Jonathan Wade
*Andrew Harris
*Louis Pino
Harpe
*Angela Schwarzkopf (solo invitée)
Piano
*Olga Gross
Musicothécaire principale
Nancy Elbeck
Musicothécaire adjoint
Corey Rempel
Cheffe du personnel
Meiko Lydall
Cheffe adjointe du personnel
Ruth Rodriguez Rivera
Coordonnatrice du personnel de l’Orchestre
Laurie Shannon
Régisseuse
Tobi Hunt McCoy
* Instrumentistes surnuméraires
** En congé
Alliance internationale des employés de scène et de théâtre