- Rachmaninov Concerto pour piano no 2, op. 18
- Dukas Fanfare from La Péri
- SAMUEL COLERIDGE-TAYLOR Ballade pour orchestre
- Rodrigo Concierto d'Aranjuez, deuxième movement (adagio)
- Tchaïkovsky Symphonie no 6, dernier mouvement
- SAMUEL BARBER pour violon, deuxième mouvement
- Événement en personne
- ≈ 90 minutes · Sans entracte
Chef d’orchestre : À confirmer
Éditrice invitée : Anna Petersen, deuxième hautbois et cor anglais à l’Orchestre du CNA
Solistes : À confirmer
Programme
RACHMANINOV Concerto pour piano no 2, premier mouvement
BARBER Concerto pour violon, deuxième mouvement
RODRIGO Concerto d’Aranjuez, deuxième mouvement (adagio)
DUKAS Fanfare pour précéder La Péri
TCHAÏKOVSKY Symphonie no 6, dernier mouvement
COLERIDGE-TAYLOR Ballade
L’Orchestre du Centre national des Arts est fier de présenter la deuxième édition de la nouvelle sélection de l’Orchestre du CNA, où Anna Petersen (deuxième hautbois et cor anglais) vous donnera un aperçu rayonnant et intime des œuvres qui ont façonné sa vie et son art.
La sélection d’Anna est à son image : « il s’agit de mes extraits préférés du répertoire de l’orchestre – ce sont des œuvres qui m’enthousiasment et me font ressentir toutes sortes d’émotions. »
Cette merveilleuse sélection est remplie d’œuvres puissantes qui font appel à toute la force de l’orchestre, comme le premier mouvement du magnifique Concerto pour piano no 2 de Sergeï Rachmaninov, qui brouille la frontière entre ciel et terre, et le deuxième mouvement du Concerto pour violon de Samuel Barber, qui frappe comme une flèche au cœur.
Des notes jouées rapidement et des mouvements lents d’une beauté poignante : voici ce qu’on retrouve dans le sublime Concerto d’Aranjuez de Joaquin Rodrigo et le dernier mouvement de la Symphonie no 6 de Tchaïkovsky, qui évoque l’entièreté de la condition humaine en un seul mouvement. Le grand compositeur lui-même a affirmé que sa sixième symphonie était « la meilleure œuvre que j’aie jamais composée ».
Et c’est la nostalgie qu’évoque la Ballade de Samuel Coleridge-Taylor, une œuvre d’une luxuriance cinématographique commandée par le Three Choirs Festival de 1898 sur la recommandation d’Edward Elgar, qui a vu en ce musicien afro-britannique de 23 ans « un compositeur de premier rang ».