La jeune auteure-compositrice-interprète qui captive le CNA répond à nos questions.
La Québécoise Gabrielle Shonk s’est produite à trois reprises au CNA dans la dernière année et sera de retour en février. Nous avons demandé à cette étoile montante de la chanson de nous parler de ses prestations sur la scène nationale du Canada.
Q. Comment s’est passée ta première expérience au CNA?
R. Vraiment bien. J’ai fait la première partie d’Hannah Georgas au Studio Azrieli, une salle que j’ai adorée. L’ambiance était vraiment intime et le public, très réceptif. Personne ne me connaissait vraiment, mais les gens étaient ouverts à ce que je leur proposais.
Q. Quand la Quatrième Salle a rouvert ses portes, tu as été parmi les premiers artistes à s’y produire. Qu’est-ce que ça t’a fait?
R. Je me suis sentie honorée. J’y ai vu une preuve que le CNA croit en moi et au potentiel de mon spectacle. C’est une tape dans le dos qui m’a fait du bien.
Q. Les donateurs aident à donner à des artistes émergents la possibilité de se produire au CNA. Pourquoi est-ce important?
R. Je fais de la musique parce que j’aime la scène. C’est vraiment important pour moi de me produire en public, de faire entendre ma musique et de nouer des liens avec l’auditoire. Par leur appui, les donateurs aident les jeunes artistes à élargir leur public et à asseoir leur carrière.
Q. Tu vas donner ton propre spectacle au CNA en février. Qu’est-ce que ça veut dire pour toi?
R. C’est très excitant d’avoir la chance d’interpréter mon album au complet et de donner mon spectacle dans un endroit aussi particulier.
Q. Qu’aimerais-tu dire aux donateurs qui aident à donner aux artistes émergents la possibilité de monter sur scène au CNA?
R. Je leur suis vraiment reconnaissante. C’est réconfortant de savoir qu’il y a des passionnés de nouvelle musique qui tiennent à aider les artistes émergents à se faire connaître.