Maryse Robillard fait partie intégrante de la famille du Centre national des Arts depuis plus de 50 ans! Profitons de son centième anniversaire en février pour célébrer cette formidable bénévole, fidèle donatrice de longue date et membre du Cercle Emeritus.
Maryse connaît bien la joie de donner, la générosité ayant occupé une place importante dans sa vie. Tout commence en 1942. Alors âgée de 16 ans, elle se porte volontaire pour écrire aux soldats pendant la guerre et rencontre ainsi celui qui deviendra son mari. Une fois le service de ce dernier terminé, le couple s’établit à Ottawa. Maryse travaille pour un cabinet d’avocats et pour le ministère des Anciens Combattants jusqu’à la naissance de ses enfants. Son mari l’encourage à profiter de ses soirées pour aller voir des spectacles.
Maryse affirme sans hésiter que c’est son rôle de bénévole qui est au cœur de sa relation avec le Centre national des Arts et avec divers organismes communautaires.
« Je me suis lancée dans le bénévolat quand mes enfants ont commencé l’école et que j’ai eu un peu de temps libre. Je voulais m’impliquer activement dans ma communauté. »
Elle reconnaît être plutôt timide et y voyait une façon de se pousser à parler aux gens et à nouer de nouvelles amitiés.
« J’assistais à des spectacles depuis des années, mais le bénévolat m’a donné le sentiment de faire partie de la famille du CNA. J’ai adoré chaque minute de cette expérience! »
Maryse est aujourd’hui arrière-grand-mère, et sa générosité s’étend à la nouvelle génération de cette communauté qui a été une partie intégrante de sa vie. Il était important pour elle de faire un don testamentaire à la Fondation du CNA, après avoir pourvu aux besoins de ses proches. Son legs est destiné à la Fiducie nationale pour la jeunesse et l’éducation.
« Je veux aider les jeunes qui n’ont pas les moyens d’accéder au merveilleux monde du théâtre et des arts de la scène. »
Maryse espère que son témoignage inspirera d’autres personnes à donner de leur temps, à contribuer à la hauteur de leurs moyens actuels et à envisager de faire un don testamentaire. Merci, Maryse!