Snow in Midsummer

2024-10-30 20:00 2024-11-09 23:00 60 Canada/Eastern 🎟 CNA : Snow in Midsummer

https://nac-cna.ca/fr/event/35941

Événement en personne

Le Théâtre anglais du CNA présente une production du Festival Shaw 
 
Dou Yi, jeune veuve exécutée à tort pour meurtre, a jeté un terrible sort sur son village : si elle est innocente, il neigera en été et une sécheresse dévastatrice s’abattra sur la région. Trois ans plus tard, une riche femme d’affaires arrive dans cette bourgade aride et envahie par les sauterelles pour...

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Studio Azrieli ,1 rue Elgin,Ottawa,Canada
30 oct - 9 nov 2024
30 oct - 9 nov 2024

≈ 2 heures et 10 minutes · Avec entracte

Dernière mise à jour: 29 octobre 2024

Snow in Midsummer

Par By Frances Ya-Chu Cowhig
D’après la tragédie chinoise classique The Injustice to Dou E that Moved Heaven and Earth
par Guan Hanqing

Le Théâtre anglais du CNA présente une production du Festival Shaw 
30 octobre au 9 novembre, 2024, Studio Azrieli

Snow in Midsummer est la première pièce commandée et produite par la Royal Shakespeare Company (RSC) dans le cadre de son projet de traduction d’œuvres chinoises, un programme d’échange culturel visant à adapter des pièces chinoises écrites à l’époque de Shakespeare (1564–1616). En 2012, la compagnie avait fait les manchettes internationales en adaptant L’Orphelin de la famille Zhao avec une distribution qui comptait seulement 3 interprètes d’origine est-asiatique parmi les 17 comédiens et comédiennes. La réaction de la communauté théâtrale est-asiatique de Grande-Bretagne ne s’est pas fait attendre : elle a exigé un changement qui a mené à une refonte complète du projet. Plus tard, en 2015, la RSC a demandé à Frances Ya-Chu Cowhig de créer une adaptation pour la nouvelle mouture du projet. La première a eu lieu en février 2017 au Swan Theatre de Stratford-upon-Avon, en Angleterre.

En 2018, l’Oregon Shakespeare Festival a présenté la première de la pièce aux États-Unis, et c’est en juin 2022 que la première production new-yorkaise a été à l’affiche à la Classic Stage Company, en partie pour répondre à la montée de la violence envers la communauté d’Asie de l’Est depuis le début de la pandémie de COVID-19.

Une adaptation malaisienne, singapourienne et taïwanaise pour le grand écran de certains thèmes de Snow in Midsummer a été sélectionnée comme film d’ouverture du Golden Horse Film Festival 2023 de Taipei, une section parallèle du Festival international du film de Venise, où le film a été projeté en première mondiale.

Le cœur révélateur

par Christine Mok

Que se passe-t-il quand la fin du monde arrive, mais que la planète continue de tourner? Quand votre mari meurt? Et votre fils aussi? Quand l’injustice persiste? Que se passe-t-il quand les machines cessent de fonctionner? Quand le travail s’interrompt? Quand les lacs sont asséchés? Et que l’air s’emplit de fumée et de poussière? Que se passe-t-il quand le monde tel qu’on le connaît disparaît? Quand il n’en finit plus d’arriver à sa fin? Que se passe-t-il ensuite?
Frances Ya-Chu Cowhig explore ces mondes de l’après dans Snow in Midsummer, la dernière pièce de sa trilogie chinoise. Tout comme World of Extreme Happiness et King of Hell’s Palace, Snow in Midsummer nous plonge dans les forces du capital mondial qui façonnent et contraignent la vie de gens ordinaires de la Chine contemporaine, avec des conséquences dévastatrices. Lauréate en 2024 d’un prix Whiting, remis chaque année à 10 auteurs et autrices de la relève en fiction, non-fiction, poésie et théâtre, Frances Ya-Chu Cowhig se sert du théâtre, un espace de jeu et d’attention collective, pour porter un regard sans concession sur les conséquences des actions humaines et les possibilités de confronter le pouvoir à la vérité. Dans Snow in Midsummer, elle nous ramène dans la petite ville manufacturière chinoise contemporaine où se déroulait World of Extreme Happiness et où elle entremêle l’historique et le contemporain, le mythologique et l’écologique. Snow in Midsummer raconte une histoire de fantômes, un meurtre mystérieux, une intrigue policière, une aventure surnaturelle postapocalyptique, le tout dans une quête de justice, d’espoir et de possibilités futures.

En tant qu’histoire de fantômes, Snow in Midsummer est hantée par un passé qui n’est jamais bien loin. L’un des passés qui planent sur l’œuvre est la pièce du 13e siècle de Guan Hanqing, connue sous le titre Le Ressentiment de Dou E, dont Snow in Midsummer est une adaptation. Cette dernière est la première commande du projet de traduction d’œuvres chinoises de la RSC, un programme d’échange culturel qui fait découvrir des classiques de la littérature chinoise à un nouveau public. Ce projet crée un lien entre Shakespeare et des œuvres écrites en Chine qui ont été interprétées ou adaptées à son époque (1564–1616) pendant les dynasties Yuan, Song, Tang et Ming, des périodes incroyablement riches dans l’histoire artistique et culturelle de la Chine. Après des recherches sur plus de 45 titres classiques chinois nommés par des intellectuels, des universitaires, des artistes de théâtre, des dramaturges et des traducteurs et traductrices du monde entier, la RSC a invité Frances Ya-Chu Cowhig à travailler avec la traductrice Gigi Chang.

L’autrice a parcouru les histoires de plusieurs pièces de l’âge d’or chinois, et celle de Dou E, une femme exécutée à tort et dont le fantôme revient pour obtenir justice, a attiré son attention. Elle a créé son adaptation à partir de la traduction littérale de Gigi Chang de la pièce originale, en conservant certains éléments et en en modifiant radicalement d’autres. L’histoire d’amour centrale n’est plus entre Dou E et son mari décédé. La dramaturge porte notre attention sur l’amour entre deux hommes, Rocket et Handsome (qui reprend la plupart des répliques romantiques de Dou E), entre mères et filles et entre sœurs. La Dou E de Guan Hanqing fait voler des papiers pour attirer l’attention de son père et l’inciter à rectifier les erreurs du passé, tandis que la Dou Yi de Cowhig se venge de ses propres mains, littéralement.

L’adaptation repose également sur des conversations et des entrevues avec des comédiens et des comédiennes britanniques originaires d’Asie de l’Est. Un autre passé hante en effet cette version de Snow in Midsummer : la sous-représentation historique des interprètes asiatiques sur les scènes britanniques et américaines, en plus de la censure politique. Dans une entrevue de 2014, Frances Ya-Chu Cowhig se décrit en tant qu’autrice dans les termes suivants : « comme les auteurs chinois qui tentent d’écrire sur des vérités sociales ou politiques sont souvent punis par le gouvernement, qu’il y a peu de pièces sur la Chine contemporaine et peu de rôles substantiels pour les comédiens et les comédiennes asiatiques aux États-Unis et au Royaume-Uni, en écrivant quelques pièces sur la Chine, je peux combler plusieurs lacunes à la fois ».

Pour Snow in Midsummer, elle a comblé l’une de ces lacunes en échangeant avec des artistes à Londres, à la suite de la production par la RSC en 2012–2013 du classique chinois L’Orphelin de la famille Zhao, qui avait suscité des critiques en raison de sa distribution dont seulement trois interprètes étaient d’origine est-asiatique et jouaient une servante et deux chiens. Elle voulait non seulement savoir ce que pensaient ces artistes de la représentation, mais aussi les interroger sur les types de rôles qu’elles et ils rêvaient d’interpréter. C’est avec cette liste de souhaits à l’esprit qu’elle a peuplé le monde de Snow in Midsummer. Pour l’autrice, il existe un lien direct entre écrire sur la Chine depuis l’extérieur, en tant que membre de la diaspora, et écrire des rôles dont rêvent les comédiens et comédiennes d’origine asiatique. Même si les personnages sont chinois, leurs interprètes sont des Nord-Américains asiatiques et des Britanniques d’Asie de l’Est.

Dans le cas de la production de Snow in Midsummer du Festival Shaw, un passé encore plus récent est susceptible de hanter la scène. Les indications scéniques précisent l’époque et le lieu de la pièce : « New Harmony, une petite ville manufacturière éloignée de la province du Jiangsu. De nos jours et trois ans auparavant. » Du point de vue d’aujourd’hui, « trois ans auparavant » correspond au début de la pandémie mondiale du coronavirus, un temps où la vie et le travail étaient bien différents. Les premières représentations de la pièce aux États-Unis et au Royaume-Uni ont eu lieu avant la pandémie, en 2017 à Stratford-upon-Avon (production de la RSC), et en 2018 à l’Oregon Shakespeare Festival à Ashland, en Oregon.

Aujourd’hui, les deux temporalités de la pièce semblent bien différentes. Nous ne regarderons plus jamais un masque de la même façon. Nous avons une vision différente de ce que signifie la fin du travail tel que nous le connaissons. Nous abordons différemment le fait de prendre soin les uns des autres, c’est du moins l’espoir qu’on nourrit. Parmi nous, certaines personnes ont travaillé de la maison, tandis que d’autres étaient en première ligne, souvent sans protections appropriées. Les voitures restaient dans les garages, les avions dans les hangars et les bateaux à quai. Selon les scientifiques, dans certains endroits, la qualité de l’air et de l’eau s’est améliorée. D’un côté, il semblait que les habitats perturbés par les humains commençaient à se rétablir, tandis que de l’autre, la pandémie ne semblait pas être une anomalie, mais plutôt une conséquence des effets désastreux des changements climatiques, au même titre que les feux de forêt, les vagues de chaleur, les inondations et les tempêtes.

Un élément clé de la pièce de Guan Hanqing qu’on retrouve dans la version de Frances Ya-Chu Cowhig est la traduction dans le monde naturel des injustices subies par Dou Yi. Le monde naturel témoigne de l’innocence de Dou Yi par le biais des anomalies suivantes : d’abord la neige qui tombe en plein été, puis les trois années de sécheresse, et enfin, une tempête de poussière et une invasion de sauterelles qui interrompt les usines de New Harmony, transformant le moteur de la croissance économique en « 10 000 tonnes de machines cassées, poussiéreuses et remplies de sauterelles ». La plupart des personnages ignorent le monde, même s’il s’exprime au travers de la neige, de la poussière et des sauterelles. Ces personnages refusent peut-être de voir, mais nous, le public, ne pouvons nier les effets de l’injustice qui se joue sous nos yeux sur scène. Avec son mystère à élucider, Snow in Midsummer n’est au fond pas seulement une histoire policière, mais aussi une réflexion sur le comment et le pourquoi. Aux côtés de Tianyun Lin, nous embarquons dans un voyage d’initiation, motivé par la vengeance et une promesse de justice, de sorte que le passé cesse de hanter le présent pour que nous puissions mieux bâtir un avenir où nous ne reproduirons pas les mêmes erreurs.

CHRISTINE MOK, PROFESSEURE AGRÉGÉE D’ANGLAIS À L’UNIVERSITÉ DU RHODE ISLAND, A OBTENU SON DOCTORAT EN ÉTUDES DE THÉÂTRE ET D’INTERPRÉTATION À L’UNIVERSITÉ BROWN. ELLE EST TITULAIRE D’UNE MAÎTRISE EN DRAMATURGIE ET CRITIQUE DRAMATIQUE DE L’ÉCOLE D’ART DRAMATIQUE DE YALE. ELLE ÉTAIT LA CONSEILLÈRE DRAMATURGIQUE DE LA PREMIÈRE REPRÉSENTATION DE SNOW IN MIDSUMMER AUX ÉTATS-UNIS À L’OREGON SHAKESPEARE FESTIVAL ET A CO-ÉDITÉ FRANCES YA-CHU COWHIG’S CHINA TRILOGY: THREE PARABLES OF GLOBAL CAPITAL (2021) AVEC JOSHUA TAKANO CHAMBERS-LETSON.

L’âge d’or du théâtre chinois

par Christine Mok

Snow in Midsummer est une adaptation contemporaine du drame chinois canonique Le Ressentiment de Dou E, un classique de la dynastie des Yuan. Bien que des millénaires d’histoire théâtrale précèdent la dynastie des Yuan – encore aujourd’hui, des actrices et acteurs chinois associent l’origine de leur art à la célèbre école du « Jardin des poiriers », établie durant la dynastie des Tang (618–907) – le théâtre des Yuan est considéré comme l’âge d’or de l’art dramatique chinois. En l’espace d’un siècle, on a écrit et produit certaines des plus grandes œuvres du théâtre classique chinois. Aujourd’hui, on compte plus de 160 pièces, appelées zaju, remontant à cette époque. Les zaju ont fleuri sous le règne mongol, en particulier sous Kublai Khan (1260–1294), jusqu’à devenir la forme dramatique dominante et à prendre le nom de la dynastie : le théâtre des Yuan.

Quand les Mongols ont envahi et conquis la Chine, ils ont unifié le nord et le sud, reliant les gens et les cultures grâce au commerce et à leur empire qui s’étendait en Asie, en Eurasie et en Europe. La dynastie des Yuan a été une époque marquée par des avancées sans précédent pour la culture et les arts dans plusieurs domaines tels que la poésie, le théâtre, la peinture, les mathématiques et la médecine. Bon nombre de personnes y ont trouvé paix et prospérité, mais l’élite chinoise éduquée des Hans a vu son pouvoir social et politique grandement décliner sous la domination mongole. Les concours de la fonction publique qui déterminaient les postes à la cour et régissaient la vie bureaucratique impériale ont été abolis. Les fonctionnaires confucéens évincés se sont tournés vers les arts, surtout la poésie et la dramaturgie, pour gagner leur vie et trouver la gloire.

Avec l’arrivée de ces lettrés disciples de Confucius dans les troupes théâtrales comme dramaturges, les pièces ont fusionné une nouvelle tradition narrative avec d’anciennes pratiques de spectacles musicaux, ce qui a donné naissance au théâtre des Yuan : des pièces de variété populaire mêlant chansons, danse, monologues, farce, voire acrobaties. Les dramaturges des Yuan trouvaient l’inspiration dans les récits littéraires, les histoires des précédentes dynasties et les contes populaires transmis par la tradition orale qui communiquaient des valeurs confucéennes. Combinant culture élitiste et populaire, le théâtre des Yuan reflétait les aspirations littéraires de ses auteurs, sans négliger les scènes désopilantes et divertissantes plébiscitées par le public ne faisant pas partie de l’élite. Ces pièces sont pleines de romance, d’aventure et de surnaturel. Bon nombre d’entre elles abordent le système de justice pénale, les dramaturges-intellectuels exilés glissant ainsi une critique de leur pouvoir amoindri sous le règne mongol dans des pièces qui abordent la moralité et l’injustice.

ARTICLE REPRODUIT AVEC LA PERMISSION DE L’OREGON SHAKESPEARE FESTIVAL.

Équipe créative

  • Dramaturge Frances Ya-Chu Cowhig
  • Basée sur le texte de Guan Hanqing
  • Directrice artistique, Théâtre anglais Nina Lee Aquino
  • Scènographe Camellia Koo
  • Joanna Yu
  • Éclairage Michelle Ramsay
  • Musique originale et conception sonore John Gzowski
  • Chorégraphie des combats Richard Lee
  • Conception des mouvements Kimberley Rampersad
  • Création de la magie et des illusions Peter Fernandes
  • Régisseuse Jane Vanstone Osborn
  • Régisseuse adjointe Sang-Sang Lee

Compagnie

  • Agente de police / Ensemble Cosette Derome
  • Mère Cai / Infirmière Wong Manami Hara
  • Fei-Fei Eponine Lee
  • Chorégraphie des combats Richard Lee
  • Handsome Zhang Michael Man
  • Maître Zhang / Juge Wu / Ensemble John Ng
  • Ouvrier Fang / Agent de police / Ensemble Travis Seetoo
  • Tianyun Donna Soares
  • Rocket Wu / Ensemble Jonathan Tan
  • Docteure Lu / Ouvrière Chen / Visage de cheval / Ensemble Kelly Wong
  • Dou Yi Lindsay Wu

Ensemble

Par
Frances Ya-Chu Cowhig

D’après la tragédie chinoise classique The Injustice to Dou E that Moved Heaven and Earth
par Guan Hanqing

Mise en scène
Nina Lee Aquino

Agente de police / Ensemble
Cosette Derome

Mère Cai / Infirmière Wong
Manami Hara

Fei-Fei
Eponine Lee

Ouvrier Huang / Tête de bœuf / Agent de police / Ensemble / Chorégraphie des combats
Richard Lee

Handsome Zhang
Michael Man

Maître Zhang / Juge Wu / Ensemble
John Ng

Ouvrier Fang / Agent de police / Ensemble
Travis Seetoo

Tianyun
Donna Soares

Rocket Wu / Ensemble
Jonathan Tan

Docteure Lu / Ouvrière Chen / Visage de cheval / Ensemble
Kelly Wong

Dou Yi
Lindsay Wu

Scénographie
Camellia Koo

Costumes
Joanna Yu

Éclairages
Michelle Ramsay

Musique originale et conception sonore
John Gzowski

Chorégraphie des combats
Richard Lee

Régie
Jane Vanstone Osborn

Assistance à la régie
Sang-Sang Lee

Régie (production) 
Kim Charleen Smith

Assistance à la mise en scène
Micah Jondel DeShazer

Assistance des scénographie
Aurora Judge

Assistance des costumes
Ximena Pinilla

Assistance des éclairage
Nathan Bruce

Conception des mouvements
Kimberley Rampersad

Coordination des mouvements
Travis Seetoo

Création de la magie et des illusions
Peter Fernandes

Coordination de la magie et des illusions
Kelly Wong

Répétition linguistique
Ausar Stewart

Le Centre national des Arts est membre de l’Association professionnelle des théâtres canadiens et engage, en vertu de l’Accord sur le théâtre canadien, des artistes professionnels qui sont membres de la Canadian Actors' Equity Association. 

Première présentation de Snow in Midsummer par la RSC : Swan Theatre (23 février 2017).

Première aux États-Unis produite par l’Oregon Shakespeare Company (août 2018). Production off-Broadway par la Classic Stage Company, avec John Doyle à la direction artistique.

La pièce Snow in Midsummer est présentée grâce à une entente spéciale avec United Talent Agency.

Le Festival Shaw

Directeur artistique
Tim Carroll 

Directeur general
Tim Jennings 

Directrice artistique associé
Kimberley Rampersad 

Directrice générale associé
Melissa Novecosky

Direction de la planification
Jeff Cummings 

Productrice
Natalie Ackers 

Chef de construction scénique
Lesslie Tunmer

Assistance à la construction d’éléments scéniques
Myron Jurychuk 

Construction d’éléments scénique
Rob Brophy
Kevin Harte
Mike Haslehurst

Chef peintre scénique
Jana Bergsma 

Assistance à la peintre scénique
Andrea Harrington 

Peintre scénique
Rebecca Lee
Jessica MacDuff
Mathilda Pich

Chef accessoiriste
Anna-Marie Baumgart 

Coordination
Dana Cornelius 

Chef accessoiriste associé
Alexa MacKenzie 

Propriétés
Emily Dyck
Samantha Felsbourg
Rachelle Garrett
Brent Hickey
Mac Hillier
Jason Jennings
Matt Leckie
Jenna Purnell
Wayne Reierson
Blake Wilson
Andrea Willette

Chef costumière
Jason Bendig 

Chef costumière associé
Janet Ellis 

Costumes
Margie Berggren
Mimi Harrisson
Darlene Hendry
Sandra LeRose
Lillian Pasqua

Coupeuse 
Monique MacNeill 

Apprenti
Evelyn Lockwood

Apprenti
Kristina Ojaperv 
 

Le Festival Shaw donne vie à de merveilleuses pièces de théâtre au cœur de la région viticole du Niagara.

Il est reconnu dans le monde entier comme l’une des meilleures compagnies de théâtre d’Amérique du Nord. Situé à Niagara-on-the-Lake, au cœur des vignobles de l’Ontario, le Festival Shaw présente des pièces sur trois scènes et sous son chapiteau d’avril à décembre.

Sous la houlette de son directeur artistique Tim Carroll (TC) et guidée par l’esprit de George Bernard Shaw, l’équipe du festival crée des rencontres théâtrales inoubliables. Offrant du théâtre interactif (« two-way theatre »), c’est un lieu où se réunissent celles et ceux qui nourrissent une curiosité pour le monde et qui souhaitent partager l’expérience unique du théâtre vivant.

Pour en savoir plus, visitez le site Web shawfest.com (en anglais).

Équipe du Studio Azrieli

Chef du Studio 
Stephane Boyer 

Assistant au chef du studio 
Leigh Utley

Techniciens en coulisses
Ray Budavari
Anne Griffore
Joe Bonar (Festival Shaw)

Costumes 
Joanna Jones
Heidi Strober
Margaret Molokach (Festival Shaw)

Perruques 
Norm Couvrette

Alliance internationale des employés de la scène
L’Alliance internationale des employés de la scène. La section locale 471 représente les techniciens de scène et les habilleuses.

Théâtre anglais du CNA

Directeur administratif
David Abel  

Directrice artistique 
Nina Lee Aquino  

Coordonnatrice de l’apprentissage
Aimee Bouchard  

Interprète-conseil en ASL
Carmelle Cachero  

Stratège marketing 
Bar Clement  

Stratège communication
Sean Fitzpatrick  

Productrice principale
Alexandra Lunney  

Agente supérieure du Marketing
Bridget Mooney  

Productrice associée, Programmation artistique et Projets environnementaux 
Judi Pearl  

Directeur technique
Eugenio Saenz Flores

Chargée de compagnie 
Samira Rose  

Coordonnatrice administrative 
Monika Seiler

Alliance internationale des employés de scène et de théâtre