On a dit de la Secret Society de Darcy James Argue qu’elle « redore l’image du big band » (Time Out New York) et qu’elle « réinvente le big band de jazz pour le XXIe siècle » (The Guardian). Fondé en 2005, le groupe a d’abord été reconnu sur la scène internationale avec son premier album largement salué en 2009, Infernal Machines (New Amsterdam Records), qui a figuré dans plus de 100 listes de meilleurs albums de l’année, a été finaliste aux GRAMMY et a rapidement imposé le groupe de 18 membres comme l’un des ensembles de jazz les plus prisés. Leur deuxième opus, Brooklyn Babylon, a également été finaliste aux GRAMMY et nommé meilleur album de 2013 par The New Republic. L’ensemble a été finaliste aux GRAMMY pour une troisième fois de suite pour son album Real Enemies, qui s’est hissé au palmarès des albums de 2016 de The Nation, Slate, The Boston Globe et The Chicago Reader. John L. Walters de London Jazz News l’a même qualifié d’« exemple époustouflant de composition de jazz de grande envergure qui marque son époque ». En plus de ces trois albums, la Secret Society a sillonné les routes dans le cadre de ses tournées au Brésil, en Europe et au Canada et de concerts dans des festivals internationaux. Le groupe est reconnu pour sa « furie cinglante et la précision exceptionnelle de l’ensemble » (The New York City Jazz Record). Sa première participation au Festival de jazz de Londres a été considérée comme « digne du titre de concert de l’année » par The Guardian, et sa prestation au Festival de Moers en Allemagne a été saluée par le Kölner Stadt-Anzeiger comme « l’un des temps forts du 38e festival annuel ».