Décrit comme « une vision rétro-afrofuturiste qui plonge les auditeurs au cœur d’un voyage à travers 40 ans de musique électronique » (Nuvo), la musique de Zaki Ibrahim combine des éléments de spoken word, de hip-hop, de soul, de musique house et de pop des années 1970, filtrés par les prismes souvent contradictoires des relativités personnelles, historiques et scientifiques. Même le concept de diaspora ne suffit pas pour englober les multitudes vibrantes de la portée d’Ibrahim.