Certains artistes écrivent parce qu’il leur est impossible de faire autrement. Parce que l’acte de vivre, de chercher et d’écouter son âme produit une musique. Sarah Slean fait partie de ce groupe. Artiste aux multiples talents, elle possède une voix distinctive, qui révèle un fascinant mélange de quête spirituelle et de charme vieillot. Ses mots expriment une nostalgie omniprésente, « qui n’est pas sans rappeler Irving Layton et Leonard Cohen » (Time Magazine). Quant à Metaphysics, premier album en cinq ans, c’est un salut à Peter Gabriel, Dan Lanois, Tori Amos, Radiohead et, oui, Gustav Mahler.

En vingt ans de carrière, Sarah a fait huit albums, joué dans des courts-métrages et une comédie musicale, publié deux recueils de poèmes, exposé ses tableaux, écrit des quatuors pour cordes, composé des pièces pour orchestre symphonique et partagé la scène avec dix des meilleurs orchestres du pays.

Metaphysics, qui met en vedette un orchestre à corde et les talents de Hawksley Workman, Daniel Romano, Jean Martin et Joshua Van Tassel comme coproducteurs, est attendu au printemps 2017.