Listening to the Earth
Kathryn Patricia Cobbler © Curtis Perry
Alexander Shelley succeeded Pinchas Zukerman as Music Director of Canada’s NAC Orchestra in September 2015. The ensemble has since been praised as being “transformed... hungry, bold, and unleashed” (Ottawa Citizen) and Shelley’s programming credited for turning the orchestra into “one of the more audacious in North America” (Maclean’s).
Shelley is a champion of Canadian creation; recent hallmarks include the multimedia projects Life Reflected and UNDISRUPTED, and three major new ballets in partnership with NAC Dance for Encount3rs. He is passionate about arts education and nurturing the next generation of musicians. He is an Ambassador for Ottawa’s OrKidstra, a charitable social development program that teaches children life skills through making music together.
Alexander Shelley is also the Principal Associate Conductor of London’s Royal Philharmonic Orchestra and, starting with the 2024–2025 season, Artistic and Music Director of Artis-Naples and the Naples Philharmonic in Florida, USA. In the spring of 2019, he led the NAC Orchestra on its critically acclaimed 50th Anniversary European tour, and in 2017, he led the Orchestra in a tour across Canada, celebrating Canada’s 150th anniversary. Most recently, he led the Orchestra in its first performance at New York’s Carnegie Hall in 30 years.
He has made eight recordings with the NAC Orchestra, including the Juno-nominated New Worlds, Life Reflected, ENCOUNT3RS, The Bounds of Our Dreams, and the acclaimed Clara, Robert, Johannes four-album series, all with Canadian label Analekta.
The Music Director role is supported by Elinor Gill Ratcliffe, C.M., O.N.L., LL.D. (hc)
Alexander Shelley a reçu le titre de directeur musical de l’Orchestre du CNA en septembre 2015. Depuis, l’ensemble a été qualifié de « transformé », « passionné », « ambitieux » et « déchaîné » (Ottawa Citizen), et classé parmi les plus audacieux en Amérique du Nord (magazine Maclean’s) pour sa programmation.
Champion de la création au Canada, Shelley a signé récemment le projet multimédia Réflexions sur la vie, INCONDITIONNEL et RENCONTR3S, une collaboration avec Danse CNA comportant trois nouveaux ballets d’envergure.
Shelley s’attache à cultiver les talents de la relève : il est notamment un ambassadeur d’OrKidstra, un programme de développement social qui, à travers la musique, aide les jeunes d’Ottawa à acquérir des compétences essentielles.
Alexander Shelley est également premier chef d’orchestre associé du Royal Philharmonic Orchestra de Londres, et, à partir de la saison 2024-2025, directeur artistique et musical d’Artis-Naples et de l’Orchestre philharmonique de Naples en Floride (États-Unis). Il a dirigé l’Orchestre du CNA au printemps 2019 à l’occasion d’une tournée européenne très applaudie soulignant le 50e anniversaire de l’ensemble et, en 2017, dans le cadre d’une tournée aux quatre coins du Canada pour célébrer le 150e anniversaire du pays. Plus récemment, l’Orchestre a donné, sous sa baguette, son premier concert en 30 ans au Carnegie Hall de New York.
Shelley a fait paraître huit enregistrements avec l’Orchestre du CNA, dont Nouveaux Mondes (finaliste aux prix Juno), Réflexions sur la vie, RENCONTR3S, Aux frontières de nos rêves, ainsi que la série louangée par la critique de quatre albums Clara, Robert, Johannes, tous parus sous l’étiquette canadienne Analekta.
Le poste de directeur musical bénéficie du soutien d’Elinor Gill Ratcliffe, C.M., O.N.L., LL.D. (hc).
Caroline Ohrt has held a variety of positions in various cultural organizations, acquiring a solid knowledge of the arts ecosystem, management and governance. She has built strong local, national and international professional network which allowed her to present the highest calibre artists from all over the world at the Place des Arts, Danse Danse’s home. While there, she developed many partnerships. She cultivated opportunities for artists and audiences to meet on multiple platforms, whether at the Musée d’art contemporain de Montréal, at the Arsenal art contemporain or virtually. She actively contributed to the growth of the organization and took to heart the support and development of artists, which remains a cornerstone of her work.
She has also held multiple positions in the world of contemporary arts, including with other dance organizations such as Compagnie Marie Chouinard and, more recently, at the Domaine Forget in Saint-Irénée. With a background in art history, Caroline has advised visual arts collectors and carried out assignments at the Montreal Museum of Fine Arts. She is recognized widely as a person in constant dialogue with the forces that shape contemporary creation.
Recognized for her innovative strategic vision, she is actively involved in the community through her participation on prominent boards and juries. She is vice-president of the Conseil des arts de Montréal and a board member of the École de danse contemporaine de Montréal. Her advice is highly valued for her keen understanding of the cultural milieu and artistic realities.
Le parcours de Caroline Ohrt aura forgé chez elle une solide connaissance de la danse, de l’écosystème des arts, de la gestion et de la gouvernance. Elle a su bâtir un réseau professionnel local, national et international qui lui a permis de présenter des artistes de haut calibre provenant de tous les coins du monde sur les différentes scènes de la Place des Arts.
Son passage à Danse Danse aura été marqué par le développement de partenariats structurants. Elle a cultivé des occasions de rencontres pour les artistes et les publics sur de multiples plateformes, que ce soit au Musée d’art contemporain de Montréal, à l’Arsenal art contemporain, ou de façon virtuelle. Elle a activement contribué à la croissance de l’organisme et a à cœur le soutien et le développement des artistes, pierre angulaire de son travail.
Connue dans le milieu des arts contemporains, elle a occupé de multiples fonctions et accompli des mandats auprès d’autres organismes de danse, notamment à la Compagnie Marie Chouinard et, plus récemment, au Domaine Forget de Saint-Irénée. Forte d’une formation en histoire de l’art, Caroline a aussi conseillé des collectionneurs en arts visuels et accompli des mandats au Musée des beaux-arts de Montréal. Elle est connue pour être une personne en constant dialogue avec les forces vives de la création actuelle.
Saluée pour sa vision stratégique novatrice, elle s’implique activement dans la communauté en participant à des conseils d’administration et des jurys de renom. Elle est actuellement vice-présidente du Conseil des arts de Montréal et administratrice de l’École de danse contemporaine de Montréal. Ses conseils sont recherchés pour sa fine compréhension du milieu culturel et des réalités artistiques.
Heather Gibson is responsible for all non-orchestral music curation, and summer and community programming at the National Arts Centre (NAC). Heather and her team work with artists from all backgrounds -- from the most exciting new artists to the all-time greats -- to bring the best of the world to the NAC's stages, and the best of Canada to the world. Since joining the NAC team in 2016, Heather has been connecting and elevating artists via innovative and inclusive programs around the globe, including: EXPO 2020 in Dubai, which showcased the breadth and diversity of Canada’s performing arts community and brought 130 artists to the UAE over six months; COP15, the United Nations' biodiversity conference in Montreal; and the Global Network for Women Music Producers, an initiative to support women and non-binary music producers that so far totals 35 members in six countries, offering an international network for producers and a resource for artists and record labels. Heather’s commitment to the constantly evolving landscape of the arts continues by working to develop emerging performers, and deliver an equitable representation on our stages for women, BIPOC, and LGBTQ2S+ artists. In a direct and immediate response to the Covid-19 pandemic, in March 2020 Heather created the emergency artist relief fund #CanadaPerforms, which provided a season's worth of funding to nearly 700 performing artists and authors, non-profit festivals, and organizations. In the pandemic's first six months, #CanadaPerforms distributed almost a million dollars to arts workers across the country. Originally from Manitoba, Heather built her career in the performing arts in Halifax, where she was a successful artist manager, co-owner of Halifax's iconic queer listening room The Company House, and producer of multiple festivals and special events, including the Halifax Jazz Festival and In the Dead of Winter Music Festival.
Heather Gibson est responsable des activités non orchestrales, ainsi que de la programmation estivale et communautaire au Centre national des Arts (CNA). Entourée de son équipe, Heather travaille avec des artistes de tous horizons – des jeunes espoirs aux grandes vedettes – pour ouvrir la scène du CNA aux artistes du monde entier et faire rayonner les talents canadiens à l’international. Depuis son arrivée au CNA en 2016, Heather s’attache à promouvoir et à épauler les artistes en prenant part à de nombreux programmes novateurs et inclusifs partout dans le monde. Parmi ceux-ci, mentionnons l’EXPO 2020 de Dubaï qui a mis en lumière l’étendue et la diversité du milieu des arts de la scène au Canada avec la venue de 130 artistes aux Émirats arabes unis sur une période de six mois, la Convention sur la diversité biologique à Montréal (COP15) et le Réseau mondial pour productrices musicales, une initiative visant à soutenir les femmes et les personnes non binaires spécialisées en production musicale. En plus d’être une plateforme de réseautage international, cette initiative qui réunit 35 membres de six pays sert de ressource pour les artistes et les maisons de disques. Heather s’est donné pour mission d’appuyer le paysage artistique en constante évolution en cultivant de nouveaux talents et en assurant une représentation équitable sur scène des femmes, et des artistes qui se définissent comme étant noirs, autochtones, de couleur et 2ELGBTQ+. Dès les prémices de la pandémie de COVID-19, Heather a créé en mars 2020 #CanadaEnPrestation, un fonds d’urgence qui a permis d’offrir un soutien financier pendant une saison à près de 700 artistes de scène, auteurs, autrices, festivals sans but lucratif et organisations. Au cours des six premiers mois de la pandémie, #CanadaEnPrestation a versé près d’un million de dollars aux personnes qui œuvrent dans le milieu artistique à l’échelle nationale. Heather est originaire du Manitoba, mais c’est à Halifax qu’elle a bâti sa carrière dans le domaine des arts de la scène où elle a été agente d’artistes, copropriétaire de l’emblématique salle de spectacle queer The Company House, et productrice de nombreux festivals et événements spéciaux, notamment le Festival de jazz d’Halifax et le In The Dead of Winter Music Festival.
Executive Chef Kenton Leier brings enthusiasm, passion, and creativity to the kitchens at Canada’s National Arts Centre.
He is a second-generation chef, born and raised in Saskatoon, in the heart of the prairies. His culinary philosophy relies on the use of sustainable and locally-sourced ingredients of the highest quality, and letting their inherent qualities stand out in his dishes.
Chef Leier led teams in Ottawa’s finest hotel kitchens before moving to the NAC in 2017. He has cooked for celebrities, politicians and dignitaries, won numerous medals nationally and internationally, and taught young cooks at Ottawa’s Algonquin College.
He is committed promoting growth and excellence in his team at the NAC and leads them in their mission to represent the best in Canadian cuisine.
Le chef exécutif Kenton Leier apporte enthousiasme, passion et créativité aux cuisines du Centre national des Arts du Canada.
Il est un chef de deuxième génération, né et élevé à Saskatoon, au cœur des Prairies. Sa philosophie culinaire repose sur l’utilisation d’ingrédients durables et locaux de la plus haute qualité, et sur la mise en valeur de leurs qualités intrinsèques dans ses plats.
Le chef Leier a dirigé des équipes dans les meilleures cuisines d’hôtels d’Ottawa avant de s’installer au CNA en 2017. Il a cuisiné pour des célébrités, des politiciens et des dignitaires, a remporté de nombreuses médailles au niveau national et international et a enseigné à de jeunes cuisinières et cuisiniers au Collège Algonquin d’Ottawa.
Il s’engage à promouvoir la croissance et l’excellence au sein de son équipe au CNA et dirige habilement cette équipe dans sa mission de représenter le meilleur de la cuisine canadienne.
Kevin Loring is an accomplished Canadian playwright, actor and director and was the winner of the Governor General’s Award for English Language Drama for his outstanding play, Where the Blood Mixes in 2009. The play explores the intergenerational effects of the residential school system. It toured nationally and was presented at the National Arts Centre in 2010, when Loring was serving as the NAC’s Playwright in Residence.
A Nlaka’pamux from the Lytton First Nation in British Columbia, Loring created the Songs of the Land project in 2012 in partnership with five separate organizations in his home community. The project explores 100-year-old audio recordings of songs and stories of the N’lakap’amux People. Loring has written two new plays based on his work with the community including Battle of the Birds, about domestic violence and power abuse, and The Boy Who Was Abandoned, about youth and elder neglect.
A versatile artist and leader Loring has served as the co-curator of the Talking Stick Festival, as Artist in Residence at the Vancouver Playhouse Theatre, as Artistic Director of the Savage Society in Vancouver, as a Documentary Producer of Canyon War: The Untold Story, and as the Project Leader/Creator, and Director of the Songs of the Land project in his home community of Lytton First Nation.
Dramaturge, acteur et professeur canadien accompli, M. Loring a remporté le Prix du Gouverneur général pour la dramaturgie de langue anglaise, en 2009, pour sa pièce remarquable intitulée Where the Blood Mixes. L’œuvre se penche sur les effets intergénérationnels du régime des pensionnats autochtones. La pièce a été présentée en tournée dans tout le pays, et notamment au Centre national des Arts en 2010 alors que M. Loring y était l’auteur dramatique en résidence.
Nlaka’pamux de la Première Nation Lytton en Colombie-Britannique, M. Loring a créé le projet Songs of the Land en 2012, en partenariat avec cinq organisations distinctes de sa collectivité natale. Cette initiative puise dans 100 ans d’enregistrements sonores des chants et récits du peuple N’lakap’amux. M. Loring a écrit deux nouvelles pièces basées sur ce travail avec la collectivité : Battle of the Birds, sur la violence familiale et l’abus de pouvoir, et The Boy Who Was Abandoned, sur la négligence à l’égard des jeunes et des aînés.
Artiste et leader polyvalent, Kevin Loring a œuvré comme coorganisateur du Talking Stick Festival, artiste résident au Vancouver Playhouse Theatre, directeur artistique de la Savage Society à Vancouver, producteur du documentaire Canyon War: The Untold Story, et fer de lance, créateur et directeur du projet Songs of the Land dans sa collectivité natale de la Première Nation Lytton.
A 2008 graduate of the National Theatre School of Canada, Mani Soleymanlou has lived in Tehran, Paris, Toronto, Ottawa and Montreal, and has worked with such acclaimed directors as Alice Ronfard (Les pieds des anges), Brigitte Haentjens (L’opéra de quat’sous), Claude Poissant (Rouge gueule, The Dragonfly of Chicoutimi), Serge Denoncourt (Projet Andromaque, Les trois mousquetaires), Olivier Kemeid (Furieux et désespérés), Denis Bernard (Ce moment-là) and Eric Jean (Variations sur un temps).
He is best known as the founding artistic director (2011) of the Montreal-based theatre company Orange Noyée. His distinctive artistic practice investigates notions of community identity (Un/One, Deux/Two, Trois/Three) and social relationships (Ils étaient quatre, Cinq à sept, 8). He pursued this approach more recently in Neuf [working title] and Zéro presented in fall 2019 in Montreal and Ottawa, and also in various artistic collaborations over the years: Lapin blanc, Lapin rouge, Les Lettres arabes II, and À te regarder, ils s’habitueront. Mani Soleymanlou was part of the impressive team behind Gabriel Dumont’s Wild West Show (premiered at the NAC in October 2017), as director and co-artistic director.
Mani Soleymanlou assumed the position of Artistic Director of NAC French Theatre on September 1, 2021.
Mani Soleymanlou est sorti de l’École nationale de théâtre du Canada en 2008. Celui qui a vécu à Téhéran, Paris, Toronto, Ottawa et Montréal joue alors au théâtre sous la direction de metteurs en scène comme Alice Ronfard (Les pieds des anges), Brigitte Haentjens (L’opéra de quat’sous), Claude Poissant (Rouge gueule, The Dragonfly of Chicoutimi), Serge Denoncourt (Projet Andromaque, Les trois mousquetaires), Olivier Kemeid (Furieux et désespérés), Denis Bernard (Ce moment-là) et Eric Jean (Variations sur un temps).
Mais c’est surtout à la tête d’Orange Noyée, compagnie qu’il fonde en 2011, qu’il expose sa démarche singulière, interrogeant l’identité communautaire (Un, Deux, Trois) aussi bien que les interactions sociales (Ils étaient quatre, Cinq à sept, 8). Une démarche qu’il a poursuivi plus récemment dans Neuf [titre provisoire] puis Zéro présenté l’automne dernier à Montréal et Ottawa, mais également à travers différentes collaborations artistiques au fil du temps : Lapin blanc, Lapin rouge, Les Lettres arabes II et À te regarder, ils s’habitueront. Mani Soleymanlou a fait partie de l’imposante équipe du Wild West Show de Gabriel Dumont, créé au CNA en octobre 2017, à titre de metteur en scène et codirecteur artistique.
Mani Soleymanlou assume la direction artistique du Théâtre français du CNA depuis le 1er septembre 2021.
Nina Lee Aquino is an award-winning Filipino-Canadian director and dramaturg who has tirelessly advocated for the representation and flourishing of IBPoC voices in Canadian theatre. She was the Founding Artistic Director of fu-GEN Asian Canadian Theatre Company and former Artistic Director of Cahoots Theatre. She has directed world premieres and revivals at theatres across the country and has won a multitude of awards including the Ken McDougall Award, the Canada Council for the Arts John Hirsch Prize, the Margo Bindhart and Rita Davies Cultural Leadership Award, as well as a Toronto Theatre Critics Award and Dora Mavor Moore Award for Outstanding Direction for School Girls; Or, The African Mean Girls Play (Obsidian Theatre), in addition to two Dora Mavor Moore Awards for Sultans of the Street (Young People’s Theatre) and paper SERIES (Cahoots Theatre). During her tenure, Factory cemented its reputation as a national leader for the development of new work and emerged as a leading training ground for the next generation of diverse Canadian theatre creators.
In addition to serving as the Founding Artistic Director of fu-GEN Asian Canadian theatre company, Nina Lee Aquino is credited with a string of firsts in Asian Canadian theatre: she organized the first Asian Canadian theatre conference; she edited the first (two-volume) Asian Canadian play anthology, and she co-edited the first (award-winning) book on Asian Canadian theatre.
Nina Lee Aquino is currently President of the Professional Association of Canadian Theatres.
Over 10 seasons at Factory Theatre, Nina programmed world premiere and Toronto premiere productions from playwrights such as David Yee, Anusree Roy, Marjorie Chan, Yvette Nolan, Kat Sandler, and Jeff Ho, among others; programmed bold and imaginative re-interpretations of classic Canadian plays from Judith Thompson, Colleen Wagner, David French, Linda Griffiths, Daniel MacIvor, Anosh Irani, and Claudia Dey. She fostered relationships with some of the best theatre companies from across the country and brought their productions to Factory Theatre.
Following the March 2020 pandemic shutdown, Nina fully embraced the new digital theatre medium, commissioning and directing new digital and audio theatrical works at Factory and with post-secondary institutions and festivals. Notable digital works include House: The Isolation Version by Daniel MacIvor (Factory Theatre), acts of faith by David Yee (Factory Theatre), Defined by Bone by Mayumi Lashbrook (CanAsian Dance), rabbit hole by David Yee (Ryerson University), and You Can’t Get There From Here, an audio drama series (Factory Theatre).
Nina Lee Aquino co-wrote Miss Orient(ed) and her monologues have been published in Beyond the Pale (edited by Yvette Nolan) and She Speaks (edited by Judith Thompson).
Nina has taught and directed at educational institutions such as Humber College, University of Guelph, University of Toronto Mississauga-Sheridan College, Ryerson University, York University, and the National Theatre School. She is an honorary member of the Canadian Association for Theatre Research and was recently appointed Adjunct Professor at York University’s Department of Theatre. Her leadership has extended into mentoring theatre students and emerging artists. She was also the 2019 winner of the Toronto Arts Foundation’s Margo Bindhart.
Metteure en scène et dramaturge philippino-canadienne primée, Nina Lee Aquino milite sans relâche pour la représentation et l’épanouissement des voix autochtones, noires et de couleur dans le milieu du théâtre canadien. Elle a été directrice artistique de la fu-GEN Asian Canadian Theatre Company, qu’elle a par ailleurs fondée, et du Cahoots Theatre. Elle a mis en scène des premières mondiales autant que des reprises partout au Canada et a remporté une multitude de prix, dont le prix Ken McDougall, le prix John Hirsch, le prix de leadership culturel Margo Bindhardt et Rita Davies, un prix des critiques de théâtre de Toronto plus un prix Dora Mavor Moore pour la mise en scène de School Girls; Or, The African Mean Girls Play (Obsidian Theatre), ainsi que deux autres prix Dora Mavor Moore pour Sultans of the Street (Young People’s Theatre) et paper SERIES (Cahoots Theatre). Pendant son mandat, le Factory Theatre a consolidé sa réputation de chef de file national en création théâtrale et s’est imposé comme un haut lieu de formation pour la prochaine génération diversifiée de créateurs et créatrices en théâtre au Canada
En plus d’avoir fondé la fu-GEN Asian Canadian Theatre Company, Nina Lee Aquino a fait preuve d’innovation à maintes reprises dans le domaine du théâtre canado-asiatique, notamment en organisant le premier congrès sur le sujet, en dirigeant la publication de la première anthologie (en deux tomes) de pièces canado-asiatiques et en codirigeant la publication du premier livre (primé) sur le théâtre canado-asiatique.
Elle est actuellement présidente de l’Association professionnelle des théâtres canadiens.
En dix saisons au Factory Theatre, Nina Lee Aquino a mis à l’affiche des premières mondiales et torontoises de dramaturges tels que David Yee, Anusree Roy, Marjorie Chan, Yvette Nolan, Kat Sandler et Jeff Ho, ainsi que de nouvelles interprétations audacieuses et originales de classiques canadiens de Judith Thompson, Colleen Wagner, David French, Linda Griffiths, Daniel MacIvor, Anosh Irani et Claudia Dey. Elle a forgé des liens avec quelques-unes des meilleures compagnies de théâtre canadiennes et a présenté leurs productions au Factory Theatre.
Après la fermeture des théâtres en mars 2020, elle a pleinement embrassé le mode numérique, commandant et mettant en scène de nouvelles œuvres théâtrales produites en format virtuel et audio au Factory Theatre et dans des établissements d’enseignement postsecondaire. Parmi les plus notables, mentionnons House: The Isolation Version de Daniel MacIvor (FactoryTheatre), acts of faith de David Yee (Factory Theatre), rabbit hole de David Yee (Université Ryerson) et You Can't Get There From Here, une toute nouvelle série de pièces de théâtre audio (Factory Theatre).
Nina Lee Aquino est co-auteure de la pièce Miss Orient(ed). Ses monologues ont été publiés dans Beyond the Pale (sous la direction d’Yvette Nolan) et She Speaks (sous la direction de Judith Thompson).
Elle a enseigné et fait de la mise en scène notamment au Collège Humber, à l’Université de Guelph, à l’Université de Toronto à Mississauga–Collège Sheridan, à l’Université Ryerson, à l’Université York et à l’École nationale de théâtre. Membre honoraire de l’Association canadienne de la recherche théâtrale, elle a récemment été nommée professeure associée au Département de théâtre de l’Université York. Elle joue également un rôle de mentore auprès d’étudiants en théâtre et d’artistes de la relève. En 2019, elle a remporté le prix de leadership culturel Margo Bindhardt et Rita Davies, de la Toronto Arts Foundation.
Alexander Shelley succeeded Pinchas Zukerman as Music Director of Canada’s NAC Orchestra in September 2015. The ensemble has since been praised as being “transformed... hungry, bold, and unleashed” (Ottawa Citizen) and Shelley’s programming credited for turning the orchestra into “one of the more audacious in North America” (Maclean’s).
Shelley is a champion of Canadian creation; recent hallmarks include the multimedia projects Life Reflected and UNDISRUPTED, and three major new ballets in partnership with NAC Dance for Encount3rs. He is passionate about arts education and nurturing the next generation of musicians. He is an Ambassador for Ottawa’s OrKidstra, a charitable social development program that teaches children life skills through making music together.
Alexander Shelley is also the Principal Associate Conductor of London’s Royal Philharmonic Orchestra and, starting with the 2024–2025 season, Artistic and Music Director of Artis-Naples and the Naples Philharmonic in Florida, USA. In the spring of 2019, he led the NAC Orchestra on its critically acclaimed 50th Anniversary European tour, and in 2017, he led the Orchestra in a tour across Canada, celebrating Canada’s 150th anniversary. Most recently, he led the Orchestra in its first performance at New York’s Carnegie Hall in 30 years.
He has made eight recordings with the NAC Orchestra, including the Juno-nominated New Worlds, Life Reflected, ENCOUNT3RS, The Bounds of Our Dreams, and the acclaimed Clara, Robert, Johannes four-album series, all with Canadian label Analekta.
The Music Director role is supported by Elinor Gill Ratcliffe, C.M., O.N.L., LL.D. (hc)
Alexander Shelley a reçu le titre de directeur musical de l’Orchestre du CNA en septembre 2015. Depuis, l’ensemble a été qualifié de « transformé », « passionné », « ambitieux » et « déchaîné » (Ottawa Citizen), et classé parmi les plus audacieux en Amérique du Nord (magazine Maclean’s) pour sa programmation.
Champion de la création au Canada, Shelley a signé récemment le projet multimédia Réflexions sur la vie, INCONDITIONNEL et RENCONTR3S, une collaboration avec Danse CNA comportant trois nouveaux ballets d’envergure.
Shelley s’attache à cultiver les talents de la relève : il est notamment un ambassadeur d’OrKidstra, un programme de développement social qui, à travers la musique, aide les jeunes d’Ottawa à acquérir des compétences essentielles.
Alexander Shelley est également premier chef d’orchestre associé du Royal Philharmonic Orchestra de Londres, et, à partir de la saison 2024-2025, directeur artistique et musical d’Artis-Naples et de l’Orchestre philharmonique de Naples en Floride (États-Unis). Il a dirigé l’Orchestre du CNA au printemps 2019 à l’occasion d’une tournée européenne très applaudie soulignant le 50e anniversaire de l’ensemble et, en 2017, dans le cadre d’une tournée aux quatre coins du Canada pour célébrer le 150e anniversaire du pays. Plus récemment, l’Orchestre a donné, sous sa baguette, son premier concert en 30 ans au Carnegie Hall de New York.
Shelley a fait paraître huit enregistrements avec l’Orchestre du CNA, dont Nouveaux Mondes (finaliste aux prix Juno), Réflexions sur la vie, RENCONTR3S, Aux frontières de nos rêves, ainsi que la série louangée par la critique de quatre albums Clara, Robert, Johannes, tous parus sous l’étiquette canadienne Analekta.
Le poste de directeur musical bénéficie du soutien d’Elinor Gill Ratcliffe, C.M., O.N.L., LL.D. (hc).
Originally from Colombia, Andrea Peña is a multidisciplinary artist whose creative practice transverses the fields of art installation, choreography and design. Her works are focused on the creation of critical, alternative, performative and spatial universes that question the individual within society. Peña’s choreographic language is characterized by its vulnerability, complexity and rich physicality, which extends beyond mere movement, through a conceptual research approach.
Post a professional career as a dancer with BalletBC and Les Ballets Jazz de Montreal, Peña founded Andrea Peña & Artists in 2014. The company has been recognized with numerous awards and commissions, for their conceptual, visceral and highly rigorous creations, recently including the 2018 Hong Kong International Choreography award and the 2018 Banff Arts Center's Clifford E. Lee Canadian Choreography Award.
Originaire de Colombie, Andrea Peña est une artiste multidisciplinaire dont la pratique embrasse installation, chorégraphie et design. Ses œuvres sont centrées sur la création d’univers critiques, alternatifs, performatifs et spatiaux qui interrogent la place de l’individu dans la société. Son langage chorégraphique se distingue par sa vulnérabilité, sa complexité et la richesse de sa présence physique, qui dépasse le simple mouvement, à travers une constante recherche conceptuelle.
Au terme d’une carrière d’interprète professionnelle avec le Ballet BC et Les Ballets Jazz de Montréal, elle a fondé Andrea Peña & Artists en 2014. La compagnie a été récompensée de nombreux prix et commandes pour ses créations conceptuelles viscérales d’une grande rigueur; en 2018, elle a remporté le prix international de chorégraphie de Hong Kong et le prix Clifford E. Lee en chorégraphie canadienne du Centre des arts de Banff.
Canada's most-visited museum presents the events, people and objects that have shaped the nation. This architectural gem is located in Gatineau, Quebec, directly across the Ottawa River from Parliament Hill. Marvel at the world's largest indoor collection of totem poles in the Grand Hall (which also offers a spectacular view of Parliament Hill) and learn about the traditions and achievements of Canada's Indigenous nations in the First Peoples Hall. In the Canadian History Hall - the largest and most comprehensive exhibition about Canadian history ever created - you can explore the diverse experiences and perspectives of real people. Take the kids on an interactive adventure at the on-site Canadian Children's Museum, and thrill to spectacular 2D and 3D movies on the giant screens at CINÉ+. The Canadian Museum of History also hosts temporary exhibitions that illuminate fascinating stories from Canada and around the world.
Le musée le plus visité au Canada présente les événements, les personnes et les objets qui ont façonné la nation. Ce joyau architectural est situé à Gatineau, au Québec, directement en face de la colline du Parlement, de l'autre côté de la rivière des Outaouais. Émerveillez-vous devant la plus grande collection intérieure de totems au monde, dans la Grande Galerie, qui offre également une vue spectaculaire sur la Colline du Parlement, et découvrez les traditions et les réalisations des nations autochtones du Canada dans la salle des Premiers Peuples. Dans la Salle de l'Histoire canadienne — la plus importante et exhaustive exposition sur l'histoire du Canada — vous pouvez explorer les diverses expériences et perspectives de personnes réelles. Emmenez les enfants vivre une aventure interactive au Musée canadien des enfants, situé sur place, et découvrez des films spectaculaires en 2D et en 3D sur les écrans géants de CINÉ+. Le Musée canadien de l'histoire accueille également des expositions temporaires qui mettent en lumière des histoires fascinantes du Canada et du monde entier.
Caroline Ohrt has held a variety of positions in various cultural organizations, acquiring a solid knowledge of the arts ecosystem, management and governance. She has built strong local, national and international professional network which allowed her to present the highest calibre artists from all over the world at the Place des Arts, Danse Danse’s home. While there, she developed many partnerships. She cultivated opportunities for artists and audiences to meet on multiple platforms, whether at the Musée d’art contemporain de Montréal, at the Arsenal art contemporain or virtually. She actively contributed to the growth of the organization and took to heart the support and development of artists, which remains a cornerstone of her work.
She has also held multiple positions in the world of contemporary arts, including with other dance organizations such as Compagnie Marie Chouinard and, more recently, at the Domaine Forget in Saint-Irénée. With a background in art history, Caroline has advised visual arts collectors and carried out assignments at the Montreal Museum of Fine Arts. She is recognized widely as a person in constant dialogue with the forces that shape contemporary creation.
Recognized for her innovative strategic vision, she is actively involved in the community through her participation on prominent boards and juries. She is vice-president of the Conseil des arts de Montréal and a board member of the École de danse contemporaine de Montréal. Her advice is highly valued for her keen understanding of the cultural milieu and artistic realities.
Le parcours de Caroline Ohrt aura forgé chez elle une solide connaissance de la danse, de l’écosystème des arts, de la gestion et de la gouvernance. Elle a su bâtir un réseau professionnel local, national et international qui lui a permis de présenter des artistes de haut calibre provenant de tous les coins du monde sur les différentes scènes de la Place des Arts.
Son passage à Danse Danse aura été marqué par le développement de partenariats structurants. Elle a cultivé des occasions de rencontres pour les artistes et les publics sur de multiples plateformes, que ce soit au Musée d’art contemporain de Montréal, à l’Arsenal art contemporain, ou de façon virtuelle. Elle a activement contribué à la croissance de l’organisme et a à cœur le soutien et le développement des artistes, pierre angulaire de son travail.
Connue dans le milieu des arts contemporains, elle a occupé de multiples fonctions et accompli des mandats auprès d’autres organismes de danse, notamment à la Compagnie Marie Chouinard et, plus récemment, au Domaine Forget de Saint-Irénée. Forte d’une formation en histoire de l’art, Caroline a aussi conseillé des collectionneurs en arts visuels et accompli des mandats au Musée des beaux-arts de Montréal. Elle est connue pour être une personne en constant dialogue avec les forces vives de la création actuelle.
Saluée pour sa vision stratégique novatrice, elle s’implique activement dans la communauté en participant à des conseils d’administration et des jurys de renom. Elle est actuellement vice-présidente du Conseil des arts de Montréal et administratrice de l’École de danse contemporaine de Montréal. Ses conseils sont recherchés pour sa fine compréhension du milieu culturel et des réalités artistiques.
Chief Lady Bird is a Chippewa and Potawatomi artist from Rama First Nation and Moosedeer Point First Nation. She graduated from OCAD University in 2015 with a BFA in Drawing and Painting and a minor in Indigenous Visual Culture. She uses street art, community-based workshops, digital illustration and mixed media work to empower and uplift Indigenous people through the subversion of colonial narratives, shifting focus to both contemporary realities and Indigenous Futurisms by creating space to discuss the nuances of our experiences.
Chief Lady Bird est une artiste Chippewa et Potawatomi de la Première Nation de Rama et de la Première Nation de Moosedeer Point. Elle est diplômée de l'Université OCAD en 2015 avec un BFA en dessin et peinture et une mineure en culture visuelle autochtone. Elle utilise le street art, les ateliers communautaires, l’illustration numérique et le travail en techniques mixtes pour responsabiliser et élever les peuples autochtones à travers la subversion des récits coloniaux, en se concentrant à la fois sur les réalités contemporaines et sur les futurismes autochtones en créant un espace pour discuter des nuances de nos expériences.
Chloé Savard est une microbiologiste de Montréal qui a découvert le monde de la microscopie il y a 4 ans seulement. Musicienne de formation, Chloé s’est lancée en microbiologie afin d’élargir ses horizons. Apparaissant sous le nom de @tardibabe sur Instagram (1.1M abonnés), Tiktok et YouTube, elle transforme l’imperceptible en œuvre d’art tout en éduquant et sensibilisant son audience à la fragilité de ces minuscules écosystèmes. N’utilisant que son iPhone et son microscope pour créer ses œuvres, Chloé peut transformer une simple goutte d’eau provenant d’un marais en paysage qui semble provenir directement d’une autre planète. Elle adore aussi expérimenter avec des aliments et objets de notre quotidien.
Chloé Savard, also known as @tardibabe on Instagram, is a microbiologist from Montreal who discovered the world of microscopy 4 years ago. Formally trained as a musician (she plays the drums), Chloe decided to study microbiology to broaden her horizons and to answer some existential questions she had since childhood. Tardibabe strives to transform the imperceptible into art while educating and raising awareness about the fragility of microscopic ecosystems. She also loves to experiment with various foods and everyday items.
Christine Beaulieu a su, depuis sa sortie de l’École de théâtre du Cégep de St-Hyacinthe en 2003, nous épater par sa polyvalence. Au cinéma, elle s’est démarquée dans plusieurs rôles; elle a été dirigée par Simon Galiero dans La mise à l’aveugle, par Patrick Boivin dans Enfin l’automne, par Jean-François Richet dans L’instinct de mort. Elle a ensuite brillé dans Ceci n’est pas un polar de Patrick Gazé et elle s’est méritée deux nominations (Canadian Screen Awards et Gala du cinéma québécois) pour son rôle de Roxane dans le film Le mirage de Ricardo Trogi et Louis Morissette. Elle fait aussi partie de la distribution du prochain long métrage d’André Forcier, La beauté du monde.
Elle a également participé à plus d’une vingtaine de pièces de théâtre, dont Les points tournants de Stephen Greenhorn (m.e.s. Philippe Lambert), Ce moment-là de Deirdre Kinahan (m.e.s. Denis Bernard), Grain(s)/Seeds d’Annabel Soutar (m.e.s. Chris Abraham), La fureur de ce que je pense, d’après Nelly Arcan, et La vie utile d’Evelyne de la Chenelière (m.e.s. Marie Brassard), Nyotaimori de Sarah Berthiaume (m.e.s. Sarah Berthiaume et Sébastien David) et Bilan de Marcel Dubé (m.e.s. Benoît Vermeulen).
À la télévision, on a pu la voir dans Les pêcheurs, Mon ex à moi, Lâcher prise, Délateurs, District 31, Hubert et Fanny, Max et Livia et Les Simone. Christine Beaulieu est également porte-parole des Rendez-vous branchés chez Équiterre et ambassadrice des attraits touristiques de Trois-Rivières, sa ville natale.
Chef Chris Commandant is Kanien’keha:ka of the Wahta Mohawks First Nations community, located outside of Bala Ontario. Dedicated to preserving Indigenous culinary traditions and teachings, he shares his knowledge with the community on topics like Indigenous food sovereignty, food security, and traditional ways of cooking. His classical training has allowed him to fuse the food of the Haudenosaunee with modern cooking techniques to create wonderful representations of some of his favourite memories of the Muskoka region.
A graduate of Le Cordon Bleu culinary program, he has 25 years of industry experience in some of Toronto and Ottawa’s most prestigious restaurants. Using his vast experience and rich culinary history, Chris has been an educator at the High School and College levels, creating and delivering education with an Indigenous focus, and inspiring a younger generation of cooks.
Chef Chris joined the National Arts Centre team and progressed through the ranks to his current role of Sous Chef. Bringing with him a love and passion for food, he enjoys sharing his continued learning of Indigenous food and its culture with a team of talented culinary professionals.
Le chef Chris Commandant est kanien’kehá:ka de la Première Nation mohawk de Wahta, située près de Bala, en Ontario. Fervent défenseur des enseignements et traditions culinaires autochtones, il partage son savoir avec la communauté, notamment tout ce qui a trait à la souveraineté alimentaire des peuples autochtones, à la sécurité alimentaire et à la cuisine traditionnelle. De formation classique, il se démarque par sa cuisine fusion qui allie la gastronomie moderne aux saveurs de la cuisine de la communauté Haudenosaunee, pour concocter de délicieux plats qui lui rappellent son enfance dans la région de Muskoka.
Diplômé du programme culinaire Le Cordon Bleu, le chef Commandant a travaillé pendant vingt-cinq ans dans les cuisines de certains des plus grands restaurants de Toronto et d’Ottawa. Dans un esprit de transmission, il met sa connaissance du milieu et son bagage d’expérience au profit des jeunes aux niveaux secondaire et collégial pour faire connaître son métier – avec un éclairage autochtone –, et inspirer la prochaine génération de cuisiniers et cuisinières.
Le chef Commandant s’est joint à l’équipe de restauration du Centre national des Arts au sein de laquelle il a gravi les échelons jusqu’à occuper le poste de sous-chef. Cet amoureux de la gastronomie fait profiter de sa passion pour la cuisine et la culture autochtones à la talentueuse brigade du 1 Elgin.
David Maggs carries on an active career as an interdisciplinary artist and researcher focused on arts, climate change, and sustainability. He is the founder and pianist for Dark by Five, has written works for the stage, and created augmented reality and virtual reality projects which have been included in the UK’s Future of Live Performance Spotlight Gallery. David is the artistic director of the rural Canadian interarts organization Camber Arts. He initiated and co-produced the CBC doc channel film The Country, exploring the Canadian government’s handling of Indigenous identity in Newfoundland. As a fellow at the University of Toronto’s Munk School for Global Affairs, David co-authored Sustainability in an Imaginary World (Routledge Press, 2020) with mentor and longtime collaborator John Robinson, exploring the relationship between art and sustainability. He is former senior fellow at the Institute for Advanced Studies in Sustainability in Potsdam, Germany, where he led work on culture and climate change.
Following the publication of Art and the World After This, David became the inaugural Fellow on Art and Society at the Metcalf Foundation. In collaboration with the UK Innovation Foundation NESTA, he co-authored Impact Investing in the Cultural and Creative Sectors: Insights from an emerging field, a report on groundbreaking work on impact investing in cultural and creative industries. David has been a featured speaker at the Canadian Arts Summit, The International Transdisciplinarity Conference (Leuphana), The American Association for the Advancement of Science (Vancouver), Swiss Federal Institute of Technology (Zurich), the International Association for Analytical Psychology (Berlin), The Arts of Living with Nature (Kyoto), and is the upcoming keynote speaker at the International Society of Music Educators this July in Helsinki.
David Maggs fait activement carrière en tant qu’artiste interdisciplinaire et chercheur spécialisé en art, changements climatiques et durabilité. Il est le fondateur et le pianiste de l’ensemble Dark by Five (page en anglais), a écrit des œuvres pour la scène et a créé des projets de réalité virtuelle et augmentée présentés dans le cadre de la galerie Spotlight: Future of Live Performance au Royaume-Uni. Il est le directeur artistique de l’organisation interdisciplinaire canadienne en milieu rural Camber Arts (page en anglais), et a conçu et coproduit le film documentaire de la CBC The Country, qui explore le traitement des questions d’identité autochtone à Terre-Neuve par le gouvernement canadien. En tant que boursier de l’École Munk des affaires internationales de l’Université de Toronto, David Maggs a coécrit avec son mentor et collaborateur de longue date John Robinson Sustainability in an Imaginary World (Routledge Press, 2020, page en anglais), qui explore les liens entre art et durabilité. Il a été agrégé supérieur à l’Institut d’études supérieures en durabilité de Potsdam, en Allemagne, où il a dirigé des projets sur la culture et les changements climatiques.
Après la publication de Art and the World After This (page en anglais), David Maggs est devenu le premier boursier en arts et société de la Fondation Metcalf. En collaboration avec la fondation d’innovation britannique NESTA, il a coécrit Impact Investing in the Cultural and Creative Sectors: Insights from an emerging field (page en anglais), un rapport présentant des travaux révolutionnaires sur les investissements à retombées sociales et environnementales dans les secteurs de la culture et de la création. Il a été conférencier pour le Sommet canadien des arts, la Conférence internationale sur la transdisciplinarité (Université Leuphana), l’American Association for the Advancement of Science (Vancouver), l’École polytechnique fédérale (Zürich), l’Association internationale de psychologie analytique (Berlin) et le symposium The Arts of Living with Nature (Kyoto); il sera également le conférencier principal lors du congrès de l’International Society of Music Educators en juillet à Helsinki.
Edward Burtynsky is regarded as one of the world's most accomplished contemporary photographers. His remarkable photographic depictions of global industrial landscapes represent over 40 years of his dedication to bearing witness to the impact of humans on the planet. Burtynsky's photographs are included in the collections of over 80 major museums around the world. Major (touring) exhibitions include: Anthropocene (2018); Water (2013) organized by the New Orleans Museum of Art & Contemporary Art Center, Louisiana; Oil (2009) at the Corcoran Gallery of Art in Washington D.C.; China (2005 five-year tour); and Manufactured Landscapes (2003) at the National Gallery of Canada. Burtynsky’s distinctions include the inaugural TED Prize in 2005, which he shared with Bono and Robert Fischell; the Governor General’s Awards in Visual and Media Arts; the Outreach Award at the Rencontres d’Arles; the Roloff Beny Book award; and the 2018 Photo London Master of Photography Award. In 2019 he was the recipient of the Arts & Letters Award at the Canadian Association of New York’s annual Maple Leaf Ball and the 2019 Lucie Award for Achievement in Documentary Photography. In 2020 he was awarded a Royal Photographic Society Honorary Fellowship and in 2022 was honoured with the Outstanding Contribution to Photography Award by the World Photography Organization. In 2022 he was inducted into the International Photography Hall of Fame and was named the 2022 recipient for the annual Pollution Probe Award. Most recently he received the 2023 PHotoESPAÑA Award for Professional Career and was awarded with the 25th edition of the Pino Pascali Prize. Burtynsky was also a key production figure in the award-winning documentary trilogy Manufactured Landscapes (dir. Jennifer Baichwal, 2006), Watermark (dir. Baichwal and Burtynsky, 2013), and ANTHROPOCENE: The Human Epoch (dir. Baichwal, Nicholas de Pencier, and Burtynsky, 2018). All three films continue to play in festivals around the world. Burtynsky currently holds eight honorary doctorate degrees
Edward Burtynsky est considéré comme l’un des photographes contemporains les plus accomplis au monde. Ses remarquables photographies de paysages industriels du monde entier témoignent de plus de 40 ans consacrés à immortaliser les répercussions des activités humaines sur la planète. Ses œuvres enrichissent les collections de plus de 80 grands musées aux quatre coins du monde. Parmi ses principales expositions (itinérantes), on peut citer : Anthropocene (2018), Water (2013), organisée par le New Orleans Museum of Art et le Contemporary Art Center, en Louisiane, Oil (2009) à la galerie d’art Corcoran de Washington, China (2005, tournée de cinq ans) et Paysages manufacturés (2003), au Musée des beaux-arts du Canada. Il a reçu plusieurs récompenses, dont le premier prix TED en 2005, qu’il a partagé avec Bono et Robert Fischell, le Prix du Gouverneur général en arts visuels et en arts médiatiques, le prix Dialogue de l’humanité aux Rencontres d’Arles, le prix du livre Roloff Beny et le prix Master of Photography de Photo London (2018). En 2019, on lui a décerné le prix des arts et des lettres lors du bal annuel Maple Leaf de l’Association canadienne de New York et le prix Lucie pour ses réalisations en photographie documentaire. En 2020, il est devenu membre honoraire de la Royal Photographic Society et en 2022, il a reçu un prix de la World Photography Organization pour sa contribution exceptionnelle au domaine. La même année, il a été intronisé au Panthéon international de la photographie et a obtenu le prix annuel Pollution Probe. Plus récemment, on lui a remis le prix PHotoESPAÑA 2023 pour l’ensemble de sa carrière ainsi que le 25e prix Pino Pascali. Edward Burtynsky a également joué un rôle essentiel dans la production de la trilogie documentaire primée Manufactured Landscapes (réal. Jennifer Baichwal, 2006), Watermark (réal. Jennifer Baichwal et Edward Burtynsky, 2013) et ANTHROPOCENE: The Human Epoch (réal. Jennifer Baichwal, Nicholas de Pencier et Edward Burtynsky, 2018). Ces trois films sont toujours diffusés dans des festivals partout dans le monde. Edward Burtynsky détient actuellement huit doctorats honorifiques.
Through her work in inclusive dance, cross-disciplinary collaboration and broad learning from multiple perspectives, Elizabeth has sought to redefine what dance looks and feels like for herself, and to allow space for others to do so as well.
An independent franco-ontarian dance artist from traditional unceded Algonquin Anishinaabe territory (Orléans ON), she creates/performs/collaborates through connections between people/places/artforms from accessible, intersectional feminist perspectives. An alumni of the Quinte Ballet School, The School of Dance, DecidedlyJazz Danceworks’ Professional Training Program and the Banff Centre for the Arts, Elizabeth has also trained extensively in inclusive dance techniques/teaching through Propeller Dance, Candoco (UK), AXIS Dance Company (US) and Stopgap Dance Company (UK). She was mentored by Tedd Robinson from 2021-2022.
Elizabeth is currently entering her fifth season as a company dancer for Propeller Dance, working on a project with 10 Gates Dancing and was commissioned by Ottawa Dance Directive to create a new duet for their Series Dance 10 in September 2023. She is a member of multidisciplinary group Ghost Rooster Collective, supported by Canada Council of the Arts, the City of Ottawa and Digital Arts Resource Centre. She creates dance works, films and interdisciplinary collaborations that have been supported/commissioned by a wide range of organizations and arts councils, including the National Arts Centre, CPAMO, TACTICS, Théâtre Wakefield, Theatre 4.669, Dark Horse Dance Projects, Ottawa Dance Directive, Free Flow Dance Theatre, Dancers Studio West, Lisbon Dance Platform (Portugal), Skylines Dance & Film Series, HUFF Festival, NextFest and Social Distancing Festival, the City of Ottawa, Ontario Arts Council, Canada Council and Bourse Tontine.
Her community practice includes working with Amethyst Women’s Addiction Centre, the City of Ottawa, creating and co-facilitating Conversations, a discussion series for and by Ottawa-Gatineau dance artists, and INTERFACE, a research intensive for emerging Adawe-area dance artists. Elizabeth has danced for Ottawa Dance Directive, Allison Burns, Lois Chan, Kaja Irwin, Shara Weaver, Chelsea Passmore, Par B.L.eux, Corps Bara Dance Theatre, Pixie Cram/Tina Le Moine, Tara Luz Danse and The Ghomeshi Effect, among others. She has served as rehearsal director/outside eye for Propeller Dance and Allison Burns.
À travers son travail dans la danse inclusive, la collaboration interdisciplinaire et l'apprentissage à partir de multiples perspectives, Elizabeth a cherché à redéfinir ce que la danse représente pour elle et à laisser de l'espace pour les autres à faire de même.
Artiste de danse franco-ontarienne indépendante originaire du territoire traditionnel non cédé algonquin anishinaabe (Orléans, ON), elle crée, interprète et collabore en mettant en relation des personnes, des lieux et des formes artistiques avec des perspectives féministes intersectionnelles et accessibles. Ancienne élève de l'École de ballet Quinte, de l'École de danse, du Programme de formation professionnelle de Decidedly Jazz Danceworks et du Banff Centre for the Arts, Elizabeth s'est également formée de manière approfondie aux techniques/d'enseignement de la danse inclusive auprès de Propeller Dance, Candoco (Royaume-Uni), AXIS Dance Company (États-Unis) et Stopgap Dance Company (Royaume-Uni). Elle a été mentorée par Tedd Robinson de 2021 à 2022.
Elizabeth entame actuellement sa cinquième saison en tant que danseuse de la compagnie Propeller Dance, travaillant sur un projet avec 10 Gates Dancing et a été commissionnée par Ottawa Dance Directive pour créer un nouveau duo pour leur Série Dance 10 en septembre 2023. Elle est membre du collectif multidisciplinaire Ghost Rooster Collective, soutenu par le Conseil des arts du Canada, la Ville d'Ottawa et le Centre des ressources en arts numériques. Elle crée des œuvres de danse, des films et des collaborations interdisciplinaires qui ont été soutenus/commissionnés par un large éventail d'organisations et de conseils des arts, notamment le Centre national des arts, CPAMO, TACTICS, Théâtre Wakefield, Theatre 4.669, Dark Horse Dance Projects, Ottawa Dance Directive, Free Flow Dance Theatre, Dancers Studio West, Lisbon Dance Platform (Portugal), Skylines Dance & Film Series, HUFF Festival, NextFest et Social Distancing Festival, la Ville d'Ottawa, le Conseil des arts de l'Ontario, le Conseil des arts du Canada et la Bourse Tontine.
Sa pratique communautaire inclut le travail avec le Centre d'addiction des femmes Amethyst, la Ville d'Ottawa, la création et la co-animation de Conversations, une série de discussions pour et par les artistes de danse d'Ottawa-Gatineau, et INTERFACE, une recherche intensive pour les artistes de danse émergents de la région d'Adawe. Elizabeth a dansé pour Ottawa Dance Directive, Allison Burns, Lois Chan, Kaja Irwin, Shara Weaver, Chelsea Passmore, Par B.L.eux, Corps Bara Dance Theatre, Pixie Cram/Tina Le Moine, Tara Luz Danse et The Ghomeshi Effect, entre autres. Elle a également été directrice de répétition/œil extérieur pour Propeller Dance et Allison Burns.
Emily Rose Michaud is an interdisciplinary artist and educator working at the crossroads of community organization, ecology and civic participation. Her body of work encompasses land-based art, installation, drawing, writing, performance and intervention. Emily has been leading art workshops independently since 2004, and offers workshops in and out of institutional settings. A certified teacher with the Ontario College of Teachers, in 2019 she became a member of the Multicultural Arts for School & Communities (MASC) and of the English Language Arts Network (ELAN)’s Artists Inspire program. Emily has worked with youngsters, teenagers, adults and seniors in all media, for leisure, education and portfolio development. She is fluent in English and French and works in a variety of settings on both sides of the river throughout the National Capital Region.
Emily’s workshops are designed to meet the specific needs of groups, their interests, skills and talents. Media used include painting, drawing, mixed media, land art, and projects for public spaces. You can view her most recent workshop offerings here: Programs + Newsletter.
Emily Rose Michaud est une artiste et éducatrice interdisciplinaire qui travaille au carrefour de l’organisation communautaire, de l’écologie et de la participation civique. Son travail englobe l’art terrestre, l’installation, le dessin, l’écriture et la performance/intervention. Depuis 2004, Emily propose des ateliers d’art de manière indépendante, et offre des ateliers dans et hors de l’institution. En 2019, elle est devenue membre du Multicultural Arts for School & Communities (MASC), du programme Artists Inspire du réseau English Language Arts Network (ELAN). Elle a travaillé avec des jeunes, des adolescents, des adultes et des personnes âgées dans tous les médias, pour les loisirs, l’éducation et le développement de portefeuille. Emily est également une enseignante agréée par l’Ordre des enseignantes et des enseignants de l’Ontario (OEO). Elle parle couramment l’anglais et le français et travaille dans divers environnements des deux côtés de la rivière, dans toute la région de la capitale nationale.
Les ateliers d’Emily sont conçus pour répondre aux besoins spécifiques des groupes, à leurs intérêts, à leurs compétences et à leurs talents. Les médias utilisés comprennent la peinture, le dessin, les techniques mixtes, le land art et les projets pour les espaces publics. Vous pouvez consulter ses offres d’ateliers les plus récentes ici : Programmes + Infolettre.
Ian Cusson (b. 1981) is a composer of art song, opera, and orchestral work. Of Métis (Georgian Bay Métis Community) and French-Canadian descent, his work explores Canadian Indigenous experience including the history of the Métis people, the hybridity of mixed-racial identity, and the intersection of Western and Indigenous cultures.
He studied composition with Jake Heggie and Samuel Dolin, and piano with James Anagnoson at the Glenn Gould School. He is the recipient of numerous awards and grants including the Chalmers Professional Development Grant, the National Aboriginal Achievement Foundation Award, and several grants through the Canada Council, the Ontario Arts Council, and the Toronto Arts Council.
Ian was an inaugural Carrefour Composer-in-Residence with the National Arts Centre Orchestra for 2017–2019 and was Composer-in-Residence for the Canadian Opera Company for 2019–2021. He was a Co-artistic Director of Opera in the 21st Century at the Banff Centre and the recipient of the 2021 Jan V. Matejcek Classical Music Award from SOCAN and the 2021 Johanna Metcalf Performing Arts Prize. Ian is an Associate Composer of the Canadian Music Centre and a member of the Canadian League of Composers.
He lives in Oakville with his wife and four children.
Ian Cusson (né en 1981) est un compositeur canadien de mélodies, d’opéras et de pièces orchestrales. D’origine métisse (communauté métisse de la Baie Georgienne) et canadienne-française, il explore, dans son œuvre, l’expérience autochtone au Canada, en particulier l’histoire du peuple métis, l’union des identités raciales mixtes et la rencontre des cultures occidentales et autochtones.
Il a étudié la composition auprès de Jake Heggie et Samuel Dolin ainsi que le piano sous la houlette de James Anagnoson à l’École Glenn-Gould. Lauréat d’un Prix national d’excellence décerné aux Autochtones, il a obtenu de nombreuses subventions, y compris une bourse des Projets Chalmers de perfectionnement professionnel et plusieurs bourses des conseils des arts du Canada, de l’Ontario et de Toronto.
Ian Cusson a été l’un des deux premiers compositeurs en résidence à l’Orchestre du Centre national des Arts dans le cadre du programme Carrefour (2017-2019). Il a également été compositeur en résidence à la Compagnie d’opéra canadienne (2019-2021). Il a été co-directeur artistique du programme L’opéra au XXIe siècle du Centre Banff et lauréat, en 2021, du Prix Jan V. Matejcek pour la nouvelle musique classique de la SOCAN et d’un Prix Johanna-Metcalf des arts de la scène. Compositeur agréé du Centre de musique canadienne, il est aussi membre de la Ligue canadienne des compositeurs.
Ian Cusson réside à Toronto avec sa femme et leurs quatre enfants.
Polaris Prize winner, Jeremy Dutcher is a classically trained operatic tenor and composer who takes every opportunity to blend his Wolastoq First Nation roots into the music he creates, blending distinct musical aesthetics that shape-shift between classical, traditional, and pop to form something entirely new. Dutcher’s debut release, Wolastoqiyik Lintuwakonawa, involves the rearrangement of early 1900s wax cylinder field recordings from his community. “Many of the songs were lost because our musical tradition was suppressed by the Canadian government. I’m doing this work as there’s only about a hundred Wolastoqey speakers left. It’s crucial that we’re using our language because, if you lose the language, you’re losing an entire distinct way of experiencing the world.”
Lauréat d’un prix Polaris, Jeremy Dutcher est un ténor et un compositeur lyrique de formation classique. Pour créer sa musique, il puise dans ses racines autochtones wolastoqiyik et fusionne différentes esthétiques musicales – qui vont du classique, au traditionnel en passant par la pop – pour faire advenir quelque chose de complètement nouveau. Son premier album, Wolastoqiyik Lintuwakonawa, revisite des enregistrements de chants traditionnels en wolastoq sur cylindres de cire datant du début du 20e siècle. « Plusieurs de ces chants avaient été oubliés parce que notre tradition musicale a été réprimée par le gouvernement canadien. Je fais ce travail alors qu’il ne reste qu’une centaine de locuteurs de wolastoq. Nous devons continuer à utiliser notre langue, car perdre sa langue, c’est perdre une façon particulière de voir et d’explorer le monde. »
A passionate environmentalist since her early teens, Judi is thrilled with her newly expanded role as Associate Producer, Artistic Programming and Environmental Projects for English Theatre. Judi is also a Co-founder and the former Operations Lead at SCALE (Sectoral Climate Arts Leadership for the Emergency), a non-profit network of artists, cultural practitioners, and arts organisations committed to addressing the climate emergency, founded in 2021. At the NAC, she has produced projects such as Grand Acts of Theatre, Stages of Transformation, the NAC Hip Hop Theatre Festival, the annual ceremony for the Siminovitch Prize (2016-2020) and Family Day (2011-2015), among many others. She was the recipient of the CEO’s Award of Excellence in 2020. She formerly served on the boards of The Only Animal and the Professional Association of Canadian Theatres, and is grateful to live and work on unceded Anishinaabe Algonquin territory, nestled between two waterways.
Jeune adolescente, Judi était déjà une environnementaliste passionnée. Occupant depuis longtemps le poste de productrice associée, Programmation artistique au sein du Théâtre anglais, elle a déjà siégé aux conseils d’administration de The Only Animal et de la Professional Association of Canadian Theatres. Elle est aussi cofondatrice et ex-responsable de l’exploitation de l’organisme LeSAUT (Leadership Sectoriel des Arts sur l’Urgence de la Transition écologique), un réseau à but non lucratif fondé en 2021 et composé d’artistes, de spécialistes de la culture et d’organisations artistiques cherchant à s’attaquer à la crise climatique.
Maestro Kala Ramnath with her “Singing Violin” stands among the world’s finest, most inspirational instrumentalists. Her playing has been featured on the GRAMMY-nominated Miles from India project, compositions of hers have appeared on the GRAMMY-winning album In 27 Pieces, and her music is also found in the Kronos Quartet’s free learning repertoire 50 for the Future. The U.K.–based Songlines magazine hailed Kala Ramnath as one of the 50 world’s best instrumentalists and selected the album Kala as one of its 50 best recordings. She was the first Indian violinist ever to be featured in the violin ‘bible’ The Strad, and was the subject of a solo essay in the third edition of The Rough Guide to World Music. Her contributions feature in many Hollywood soundtracks, inlcuding the Oscar-nominated Blood Diamond.
Kala is at the vanguard of the present generation of Indian instrumental super-stars. Due to her rigorous training in the Hindustani classical tradition and familiarity with the Karnatic classical tradition she comfortably forges musical alliances with artists of renown from different genres around the globe, incorporating elements of Western Classical, Jazz, Flamenco, and traditional African music into her rich and varied repertoire.
Acknowledged as a virtuoso of staggering proportions, Kala has performed at the most prestigious music festivals in India. She has appeared on world stages including the Sydney Opera House, Paris’s Théâtre de la Ville, London’s Queen Elizabeth Hall, San Francisco’s Palace of Fine Arts, Singapore’s Esplanade and New York’s Carnegie Hall, as well as at the Rudolstadt Festival in Germany and the Edinburgh Music Festival in Scotland. She is the recipient of many awards including the Rashtriya Kumar Gandharva Sanman, Pandit Jasraj Gaurav Puraskar, the Sur Ratna, and most recently and notably of all, the Sangeet Natak Academy Puraskar for her contributions to the violin in Hindustani Classical Music.
Accompagnée de son « violon chantant », la maestro Kala Ramnath fait partie des plus grands et des plus inspirants instrumentistes au monde. On a pu l’entendre dans le projet Miles from India, finaliste aux GRAMMY, certaines de ses compositions figuraient sur l’album In 27 Pieces, qui a remporté un prix GRAMMY, et sa musique se retrouve dans le répertoire d’apprentissage gratuit du Kronos Quartet, 50 for the Future. Le magazine britannique Songlines a désigné Kala Ramnath parmi les 50 meilleurs instrumentistes au monde et a sélectionné l’album Kala dans son classement des 50 meilleurs albums. Elle est la première violoniste indienne de l’histoire à figurer dans la « bible » du violon, The Strad, et elle a inspiré un essai qui lui est entièrement consacré dans la troisième édition de The Rough Guide to World Music. On retrouve sa musique dans de nombreuses bandes sonores de films d’Hollywood, dont Blood Diamond, finaliste aux Oscars.
Kala Ramnath est à l’avant-garde de la génération actuelle de grandes vedettes instrumentistes indiennes. Grâce à sa formation rigoureuse en musique traditionnelle classique hindoustanie et à sa connaissance de la tradition carnatique, elle noue sans mal des alliances musicales avec des artistes de renom dans différents genres partout dans le monde, enrichissant son vaste répertoire d’éléments de la musique classique occidentale, du jazz, du flamenco et de la musique traditionnelle africaine.
Considérée comme une absolue virtuose, Kala Ramnath s’est produite dans les festivals de musique les plus prestigieux en Inde. Elle est montée sur scène partout dans le monde, entre autres à l’Opéra de Sydney, au Théâtre de la Ville de Paris, au Queen Elizabeth Hall de Londres, au Palais des beaux-arts de San Francisco, sur l’Esplanade de Singapour et au Carnegie Hall de New York, ainsi qu’au Festival de Rudolstadt en Allemagne et au Festival de musique d’Édimbourg, en Écosse. Elle a reçu une foule de prix dont le Rashtriya Kumar Gandharva Sanman, le Pandit Jasraj Gaurav Puraskar, le Sur Ratna, et plus récemment, le très prestigieux Sangeet Natak Academy Puraskar, pour ses contributions au violon dans la musique classique hindoustanie.
Hailing from Canada’s Capital region, Loop pedal violist, visual artist, composer, and educator Kathryn Patricia Cobbler has crafted a singular niche in music improvisation and classical performance. She obsesses over creating uniquely arresting soundscapes, whether in solo recitals, composing and performing for art installations, and more. Named a CBC Trailblazer in 2021 and a recipient of one of Ottawa Arts Council’s Emerging Artist awards, she has been featured in Canada’s most notable Concert Series, Chamberfest, Music and Beyond, NUMUS Concert series to name a few.
Named one of '3 Classical Musicians You Should Know ' in 2022, by SHIFTER Magazine and the NAC, Kathryn is a seasoned performer, speaker, presenter and workshop facilitator. As a performing artist and educator, Ms. Cobbler is a performance instructor at Carleton University and an artist on the MASC Artist roster. As a composer, Kathryn has been featured in the Boston based Concert series, Castle of Our Skin’s Black Composers Miniature Challenge, which resulted in the world premier of her piece A Home Called ‘Wander’ for solo viola and spoken word. Most recently, Kathryn Patricia was commissioned by the National Art Gallery of Canada to compose a piece of music for their exhibit, Uninvited: Canadian Women Artists in the Modern Moment.
Kathryn Patricia Cobbler holds degrees in viola performance from Western University (B.M.) the University of Ottawa (M.M.) and was a 2022 fellow of the Global Leaders Institute. She is currently a PhD student in Critical Studies in Improvisation through the University of Guelph. Kathryn Patricia performs on a viola by luthier Sibylle Ruppert and a Boss RC-30 loop pedal.
Originaire de la région de la capitale nationale, Kathryn Patricia Cobbler est une altiste spécialiste de la pédale de boucle, artiste visuelle, compositrice et pédagogue qui s’est taillé une place dans le monde de l’improvisation musicale et de l’interprétation classique. Elle crée méticuleusement des environnements sonores uniques des plus frappants aussi bien pour des récitals solos que pour la scène et les installations artistiques dans lesquelles elle se produit. Reconnue en 2021 par CBC comme une artiste pionnière, elle a reçu un prix pour les artistes émergents décerné par le Conseil des arts d’Ottawa. On a pu la voir dans diverses séries de concerts au Canada, notamment au Chamberfest, au festival Musique et autres mondes, ou encore au NUMUS.
Nommée en 2022 par le magazine SHIFTER et le CNA comme l’une des « trois musiciennes classiques à suivre », Kathryn Patricia Cobbler est une interprète, conférencière, oratrice et animatrice d’ateliers aguerrie. Elle fait également partie du corps professoral en interprétation à l’Université Carleton et des artistes de MASC. Ses compositions ont été présentées dans le cadre d’une série de concerts donnés à Boston sous l’égide de Castle of Our Skin, où sa pièce A Home Called ‘Wander’ pour alto solo et poésie orale a été jouée pour la première fois. Le Musée des beaux-arts du Canada lui a récemment commandé une œuvre musicale pour son exposition intitulée Sans invitation : les artistes canadiennes de la modernité.
Kathryn Patricia Cobbler a étudié l’alto à l’Université Western (B. Mus.) et à l’Université d’Ottawa (M. Mus.) et a été membre de la cohorte 2022 du Global Leaders Institute. Elle est doctorante en études critiques sur l’improvisation à l’Université de Guelph.
Elle se produit sur scène avec un alto de la luthière Sibylle Ruppert et une pédale de boucle Boss RC-30.
Katie Couchie is an Anishinaabekwe Oji-Cree dance artist from Nbisiing (Nipissing First Nation), now based in Tkaronto. Katie has worked with companies and choreographers including Kaha:wi Dance Theatre (Santee Smith), A’nó:wara Dance Theatre (Barbara Diabo), Human Body Expressions (Hanna Kiel), Alejandro Ronceria, Christine Friday, Peggy Baker, and Cameron Fraser-Monroe.
Katie is a Dora nominated artist for Outstanding Performance by an Ensemble for the productions of Homelands and SKéN:NEN created by Kaha:wi Dance Theatre and has performed at events including APTN’s Indigenous Day Live (2022), the FODAR Dance Festival (2023), Governor General’s Performance Awards (2023), and MOCA Live: Contemporary x Dance (2024).
Currently, Katie is working on her first solo piece where she spent the summer as the Artist in Residence at The University of Toronto and is grateful to be back working on Homelands again with the Kaha:wi Dance Theatre team.
Katie Couchie est une danseuse anishinaabekwe oji-crie de la Première Nation Nipissing qui vit à Tkaronto. Elle a travaillé avec de multiples compagnies et chorégraphes, notamment Kaha:wi Dance Theatre (Santee Smith), A’nó:wara Dance Theatre (Barbara Diabo), Human Body Expressions (Hanna Kiel), Alejandro Ronceria, Christine Friday, Peggy Baker et Cameron Fraser-Monroe.
Finaliste aux prix Dora dans la catégorie « meilleure troupe de danse » pour les productions Homelands et SKéN:NEN du Kaha:wi Dance Theatre, elle s’est produite lors de divers événements, notamment l’édition 2022 de la Journée des Autochtones diffusée sur la chaîne APTN, le festival de danse d’Annapolis Royal (2023), les Prix du Gouverneur général pour les arts du spectacle (2023) et MOCA Live: Contemporary x Dance (2024).
Actuellement en pleine création de son premier solo, elle a participé à une résidence artistique d’été à l’Université de Toronto. Elle se réjouit de retrouver l’équipe de Homelands du Kaha:wi Dance Theatre.
Liz Winkelaar is Artistic Associate and dancer with the integrated dance company, Propeller Dance. She has studied Gyrokinesis with Siôned Watkins here in Ottawa and with Dana Gingras in Montreal. She is happy to share a movement practice that has enhanced both her dancing and her general well-being.
Liz Winkelaar est associée artistique et danseuse au sein de la compagnie de danse intégrée Propeller Dance. Elle a étudié la Gyrokinesis avec Siôned Watkins ici à Ottawa et avec Dana Gingras à Montréal. Elle est heureuse de partager une pratique de mouvement qui a amélioré ses habiletés de danse et son bien-être général.
Award-winning pianist and cultural ambassador Mahani Teave is a pioneering artist who bridges the creative world with education and environmental activism, and the only professional classical musician on her native Easter Island. Twice topping the Billboard charts with her debut album, Rapa Nui Odyssey, she received raves from critics, including BBC Music Magazine, which noted her “natural pianism” and “magnificent artistry.”
Twice distinguished as one of the 100 Women Leaders of Chile, Mahani has performed for its past five presidents, embassies in over 8 countries, and at Berlin’s Brandenburg Gate, Chile’s Palacio de La Moneda, and Chilean Congress. Believing in the profound, healing power of music, she has performed globally, from the stages of the world’s foremost concert halls on six continents, to hospitals, schools, jails, and low-income areas.
Setting aside her burgeoning career at the age of 30, Mahani returned home to found her island’s first music school, Toki Rapa Nui, a self-sustaining ecological wonder which also teaches children about renewable natural resources and their quickly-fading cultural heritage. Mahani’s inspirational story was captured in Emmy-nominated documentary Song of Rapa Nui by fifteen-time Emmy award-winning filmmaker John Forsen (Amazon Prime Video), and in a just-released children’s book, The Girl Who Heard the Music (Sourcebooks). Mahani’s awards include the APES Prize in Chile, Claudio Arrau International Piano Competition, Scotiabank’s Advancement of Women Award, “Chileans Creating Future” award, and honorary VP of the World Indigenous Business Forum.
Debuting at age nine, Mahani toured with famed Chilean pianist Roberto Bravo. She studied at Austral University in Chile, at the Cleveland Institute of Music as a student of Sergei Babayan, and at the Hanns Eisler Musik Hochschule in Berlin. A Steinway artist, she lives on Easter Island, combining concerts with leading the Toki Rapa Nui music school and motherhood.
Pianiste primée et ambassadrice culturelle, Mahani Teave est une artiste visionnaire qui tisse des liens entre le monde créatif, l’éducation et l’activisme environnemental. Elle est la seule musicienne classique professionnelle de l’île de Pâques, dont elle est originaire. Deux fois en tête des classements avec son premier album, Rapa Nui Odyssey, elle a été encensée par la critique, à l’image du BBC Music Magazine, qui louait son « talent naturel pour le piano » et son « superbe sens artistique ».
Mahani Teave a été par deux fois désignée parmi les 100 femmes leaders du Chili et s’est produite devant les cinq derniers présidents du pays, dans des ambassades dans plus de huit pays, à la Porte de Brandebourg de Berlin, au palais de La Moneda du Chili et au Congrès chilien. Convaincue du puissant pouvoir de guérison de la musique, elle a donné des concerts dans le monde entier, des plus grandes scènes des six continents à des hôpitaux, en passant par des écoles, des prisons et des quartiers défavorisés.
À l’âge de 30 ans, elle a mis sa carrière florissante entre parenthèses pour retourner chez elle et fonder la première école de musique de son île, Toki Rapa Nui, une formidable oasis écologique autosuffisante qui initie également les enfants aux ressources naturelles renouvelables et à leur patrimoine culturel menacé de disparition. Son parcours inspirant est raconté dans le documentaire finaliste aux prix Emmy Song of Rapa Nui (Amazon Prime Video), réalisé par John Forsen, lauréat de 15 prix Emmy, ainsi que dans un livre pour enfants, The Girl Who Heard the Music (Sourcebooks). La musicienne a reçu plusieurs récompenses dont le prix APES au Chili, le prix de la Banque Scotia pour l’avancement des femmes et le prix « Chileans Creating Future ». Elle a également remporté le concours international de piano Claudio Arrau et été désignée vice-présidente honoraire du World Indigenous Business Forum.
Dès l’âge de neuf ans, Mahani Teave a accompagné le célèbre pianiste chilien Roberto Bravo en tournée. Elle a étudié à l’Université australe du Chili, à l’Institut de musique de Cleveland sous la direction de Sergei Babayan, et à la Hanns Eisler Musik Hochschule de Berlin. Artiste Steinway, elle vit sur l’île de Pâques, menant de front concerts, gestion de son école de musique et maternité.
A critically acclaimed mezzo-soprano of Kwagiulth and Stó:lō First Nations, English, Irish and Scottish heritage, Marion Newman is sought-after as one of Canada’s most accomplished singers in works ranging from Vivaldi to Vivier, and operatic roles including Carmen and Rosina in The Barber of Seville. Nominated for a Dora Award for her leading role in the world premiere of Shanawdithit (Nolan/Burry) with Toronto’s Tapestry Opera, Ian Ritchie wrote “she invests her character with towering dignity and courage”.
Marion is a guest curator at University of British Columbia’s Chan Centre for the Performing Arts for a new series of concerts featuring the work of Indigenous artists, and the new host of CBC’s Saturday Afternoon at the Opera.
Marion portrayed Dr. Wilson in the premiere of Missing (Clements/Current) with Vancouver City Opera/Pacific Opera Victoria, which gives voice, in English and Gitxsan, to the story of Canada’s missing and murdered Indigenous women, and starred as Tsianina Redfeather in Jani Lauzon’s music-drama I Call Myself Princess at Regina’s Globe Theatre.
On the North American concert stage, Marion has performed with Symphony Nova Scotia, National Arts Centre Orchestra, Emily Carr String Quartet, Continuum Contemporary Music, Elora Festival Singers, Elmer Iseler Singers, Portland Baroque Orchestra, and Montreal’s Chœur St- Laurent.
Concert highlights for Marion this season include Mozart’s Requiem, a co-production with Canadian Opera Company and Against the Grain Theatre, the livestream/workshop presentation of The Echoes Project with Gryphon Trio, and the string quartet version of Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont (Cusson) with the New Orford String Quartet for Cecilia Concerts in Halifax.
In 2022, Marion debuts with Anchorage Opera as Dr. Wilson in a new production of Missing, and creates the role of Dawn with Welsh National Opera in the upcoming world premiere of Migrations, with stories by five writers based on their personal experiences of migrations and working with refugees.
Most recently, Marion curated and performed in What is classical Indigenous Music? with Toronto’s Confluence Concerts and debuted with Rhode Island Symphony in Handel’s Messiah.
In addition to her extensive performing career, she is a co-founder of Amplified Opera and has worked in many facets of the performing arts as a curator, arts administrator, speaker, and teacher. Marion is the dramaturge for Namwayut/We Are All One, a new opera in creation with IBPOC artists and Calgary Opera.
Marion has performed in many works that speak to her First Nations identity, including Ancestral Voices (Tovey) with the Vancouver Symphony, Nuyamł-ił Kulhulmx–Singing the Earth (Höstman) with the Victoria Symphony, and Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont (Cusson) with the Regina Symphony Orchestra.
Mezzo-soprano très demandée et encensée par la critique, membre des Premières Nations Kwagiulth et Stó:lō à l’ascendance anglaise, irlandaise et écossaise, Marion Newman est reconnue comme l’une des chanteuses les plus accomplies du Canada pour ses interprétations d’œuvres allant de Vivaldi à Vivier, de même que pour ses rôles opératiques comme Carmen ou Rosine (Le barbier de Séville). Sélectionnée aux prix Dora pour son premier rôle dans Shanawdithit (Nolan et Burry) avec le Tapestry Opera de Toronto – en première mondiale –, elle « incarne son personnage avec une dignité et un courage imposants », selon Ian Ritchie.
Nouvelle animatrice de l’émission Saturday Afternoon at the Opera de CBC, Marion est aussi éditrice invitée au Chan Centre for the Performing Arts de l’Université de la Colombie-Britannique pour une nouvelle série de concerts présentant des œuvres d’artistes autochtones.
Marion a joué le rôle de Dr Wilson dans la première à l’Opéra de la ville de Vancouver et au Pacific Opera Victoria de Missing (Clements et Current), qui raconte en anglais et en gitxsan l’histoire des femmes autochtones disparues et assassinées du Canada, de même que le rôle de Tsianina Redfeather dans le drame musical de Jani Lauzon, I Call Myself Princess, au Globe Theatre de Regina.
Sur la scène nord-américaine, Marion s’est produite avec le Symphony Nova Scotia, l’Orchestre du Centre national des Arts, le quatuor à cordes Emily Carr, la société de musique nouvelle Continuum, le chœur du Elora Festival, le chœur Elmer Iseler, l’Orchestre baroque de Portland et le Chœur St-Laurent de Montréal.
Temps forts de sa saison : le Requiem de Mozart, une coproduction de la Compagnie d’opéra canadienne et de Against the Grain Theatre; l’atelier en direct du projet « Echoes », avec le Gryphon Trio; et la version pour quatuor à cordes de Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont (Cusson), avec le New Orford String Quartet Concert, pour les Cecilia Concerts de Halifax.
En 2022, Marion fera sa première à l’Opéra d’Anchorage pour le rôle de Dr Wilson, dans une nouvelle production de Missing. Elle créera également le rôle de Dawn avec l’Opéra national du pays de Galles pour la première à venir de Migrations, une série d’histoires écrites par cinq personnes à partir de leur propre expérience de la migration ou du travail auprès des réfugiés.
Plus récemment, Marion a présenté What is Classical Indigenous Music?, dans lequel elle s’est également produite avec les Confluence Concerts de Toronto. Elle a aussi travaillé pour la première fois avec l’Orchestre symphonique de Rhode Island pour le Messie de Haendel.
En parallèle de sa carrière bien remplie d’interprète, Marion a cofondé l’Opéra Amplified et a travaillé dans de nombreux domaines des arts du spectacle comme éditrice, administratrice des arts, conférencière et enseignante. Elle est aussi conseillère dramaturgique pour Namwayut/Nous ne faisons qu’un, un nouvel opéra en création avec des artistes autochtones, noirs et de couleur et l’Opéra de Calgary.
Marion a interprété beaucoup d’œuvres qui font écho à son identité autochtone, comme Ancestral Voices (Tovey) avec l’Orchestre symphonique de Vancouver, Nuyamł-ił Kulhulmx (« Chanter la Terre », de Höstman) avec l’Orchestre symphonique de Victoria et Five Orchestral Songs on Poems of Marilyn Dumont avec l’Orchestre symphonique de Regina.
Since its debut in 1969, the National Arts Centre (NAC) Orchestra has been praised for the passion and clarity of its performances, its visionary educational programs, and its prominent role in nurturing Canadian creativity. Under the leadership of Music Director Alexander Shelley, the NAC Orchestra reflects the fabric and values of Canada, reaching and representing the diverse communities we live in with daring programming, powerful storytelling, inspiring artistry, and innovative partnerships.
Alexander Shelley began his tenure as Music Director in 2015, following Pinchas Zukerman’s 16 seasons at the helm. Principal Associate Conductor of the Royal Philharmonic Orchestra, and former Chief Conductor of the Nuremberg Symphony Orchestra (2009–2017), he has been in demand around the world, conducting the Rotterdam Philharmonic, DSO Berlin, Leipzig Gewandhaus, and Stockholm Philharmonic, among others, and maintains a regular relationship with the Deutsche Kammerphilharmonie and the German National Youth Orchestra.
Each season, the NAC Orchestra features world-class artists such as the newly appointed Artist-in-Residence James Ehnes, Angela Hewitt, Joshua Bell, Xian Zhang, Gabriela Montero, Stewart Goodyear, Jan Lisiecki, and Principal Guest Conductor John Storgårds. As one of the most accessible, inclusive, and collaborative orchestras in the world, the NAC Orchestra uses music as a universal language to communicate the deepest of human emotions and connect people through shared experiences.
Depuis sa création en 1969, l’Orchestre du Centre national des Arts (CNA) reçoit des éloges pour la passion et la clarté de ses interprétations, pour ses programmes éducatifs novateurs et pour son apport à l’expression de la créativité canadienne. Sous la direction du Directeur musical Alexander Shelley, l’Orchestre du Centre national des Arts est le reflet de la diversité des paysages, des valeurs et des communautés du Canada, et est reconnu pour sa programmation audacieuse, ses contenus nrratifs marquants, son excellence artistique et ses partenariats innovants.
Alexander Shelley a amorcé son mandat à la direction musicale de l’Orchestre du CNA en 2015, succédant à Pinchas Zukerman, qui a été aux commandes de l’ensemble pendant 16 saisons. Premier chef associé du Royal Philharmonic Orchestra, Shelley a été le premier chef de l’Orchestre symphonique de Nuremberg de 2009 à 2017. Demandé partout dans le monde, il a dirigé entre autres la Philharmonie de Rotterdam, DSO Berlin, le Leipzig Gewandhaus et la Philharmonie de Stockholm, et il maintient des liens avec la Deutsche Kammerphilharmonie et l’Orchestre national des jeunes d’Allemagne.
Chaque saison, l’Orchestre du met en vedette des artistes de réputation internationale, tels que notre artiste en résidence James Ehnes, Angela Hewitt, Joshua Bell, Xian Zhang, Gabriela Montero, Stewart Goodyear, Jan Lisiecki et le premier chef invité John Storgårds. L’ensemble se distingue à l’échelle du monde pour son approche accessible, inclusive et collaborative. Par le langage universel de la musique et des expériences musicales communes, il communique des émotions profondes et nous rapproche les uns des autres.
Nina Lee Aquino is an award-winning Filipino-Canadian director and dramaturg who has tirelessly advocated for the representation and flourishing of IBPoC voices in Canadian theatre. She was the Founding Artistic Director of fu-GEN Asian Canadian Theatre Company and former Artistic Director of Cahoots Theatre. She has directed world premieres and revivals at theatres across the country and has won a multitude of awards including the Ken McDougall Award, the Canada Council for the Arts John Hirsch Prize, the Margo Bindhart and Rita Davies Cultural Leadership Award, as well as a Toronto Theatre Critics Award and Dora Mavor Moore Award for Outstanding Direction for School Girls; Or, The African Mean Girls Play (Obsidian Theatre), in addition to two Dora Mavor Moore Awards for Sultans of the Street (Young People’s Theatre) and paper SERIES (Cahoots Theatre). During her tenure, Factory cemented its reputation as a national leader for the development of new work and emerged as a leading training ground for the next generation of diverse Canadian theatre creators.
In addition to serving as the Founding Artistic Director of fu-GEN Asian Canadian theatre company, Nina Lee Aquino is credited with a string of firsts in Asian Canadian theatre: she organized the first Asian Canadian theatre conference; she edited the first (two-volume) Asian Canadian play anthology, and she co-edited the first (award-winning) book on Asian Canadian theatre.
Nina Lee Aquino is currently President of the Professional Association of Canadian Theatres.
Over 10 seasons at Factory Theatre, Nina programmed world premiere and Toronto premiere productions from playwrights such as David Yee, Anusree Roy, Marjorie Chan, Yvette Nolan, Kat Sandler, and Jeff Ho, among others; programmed bold and imaginative re-interpretations of classic Canadian plays from Judith Thompson, Colleen Wagner, David French, Linda Griffiths, Daniel MacIvor, Anosh Irani, and Claudia Dey. She fostered relationships with some of the best theatre companies from across the country and brought their productions to Factory Theatre.
Following the March 2020 pandemic shutdown, Nina fully embraced the new digital theatre medium, commissioning and directing new digital and audio theatrical works at Factory and with post-secondary institutions and festivals. Notable digital works include House: The Isolation Version by Daniel MacIvor (Factory Theatre), acts of faith by David Yee (Factory Theatre), Defined by Bone by Mayumi Lashbrook (CanAsian Dance), rabbit hole by David Yee (Ryerson University), and You Can’t Get There From Here, an audio drama series (Factory Theatre).
Nina Lee Aquino co-wrote Miss Orient(ed) and her monologues have been published in Beyond the Pale (edited by Yvette Nolan) and She Speaks (edited by Judith Thompson).
Nina has taught and directed at educational institutions such as Humber College, University of Guelph, University of Toronto Mississauga-Sheridan College, Ryerson University, York University, and the National Theatre School. She is an honorary member of the Canadian Association for Theatre Research and was recently appointed Adjunct Professor at York University’s Department of Theatre. Her leadership has extended into mentoring theatre students and emerging artists. She was also the 2019 winner of the Toronto Arts Foundation’s Margo Bindhart.
Metteure en scène et dramaturge philippino-canadienne primée, Nina Lee Aquino milite sans relâche pour la représentation et l’épanouissement des voix autochtones, noires et de couleur dans le milieu du théâtre canadien. Elle a été directrice artistique de la fu-GEN Asian Canadian Theatre Company, qu’elle a par ailleurs fondée, et du Cahoots Theatre. Elle a mis en scène des premières mondiales autant que des reprises partout au Canada et a remporté une multitude de prix, dont le prix Ken McDougall, le prix John Hirsch, le prix de leadership culturel Margo Bindhardt et Rita Davies, un prix des critiques de théâtre de Toronto plus un prix Dora Mavor Moore pour la mise en scène de School Girls; Or, The African Mean Girls Play (Obsidian Theatre), ainsi que deux autres prix Dora Mavor Moore pour Sultans of the Street (Young People’s Theatre) et paper SERIES (Cahoots Theatre). Pendant son mandat, le Factory Theatre a consolidé sa réputation de chef de file national en création théâtrale et s’est imposé comme un haut lieu de formation pour la prochaine génération diversifiée de créateurs et créatrices en théâtre au Canada
En plus d’avoir fondé la fu-GEN Asian Canadian Theatre Company, Nina Lee Aquino a fait preuve d’innovation à maintes reprises dans le domaine du théâtre canado-asiatique, notamment en organisant le premier congrès sur le sujet, en dirigeant la publication de la première anthologie (en deux tomes) de pièces canado-asiatiques et en codirigeant la publication du premier livre (primé) sur le théâtre canado-asiatique.
Elle est actuellement présidente de l’Association professionnelle des théâtres canadiens.
En dix saisons au Factory Theatre, Nina Lee Aquino a mis à l’affiche des premières mondiales et torontoises de dramaturges tels que David Yee, Anusree Roy, Marjorie Chan, Yvette Nolan, Kat Sandler et Jeff Ho, ainsi que de nouvelles interprétations audacieuses et originales de classiques canadiens de Judith Thompson, Colleen Wagner, David French, Linda Griffiths, Daniel MacIvor, Anosh Irani et Claudia Dey. Elle a forgé des liens avec quelques-unes des meilleures compagnies de théâtre canadiennes et a présenté leurs productions au Factory Theatre.
Après la fermeture des théâtres en mars 2020, elle a pleinement embrassé le mode numérique, commandant et mettant en scène de nouvelles œuvres théâtrales produites en format virtuel et audio au Factory Theatre et dans des établissements d’enseignement postsecondaire. Parmi les plus notables, mentionnons House: The Isolation Version de Daniel MacIvor (FactoryTheatre), acts of faith de David Yee (Factory Theatre), rabbit hole de David Yee (Université Ryerson) et You Can't Get There From Here, une toute nouvelle série de pièces de théâtre audio (Factory Theatre).
Nina Lee Aquino est co-auteure de la pièce Miss Orient(ed). Ses monologues ont été publiés dans Beyond the Pale (sous la direction d’Yvette Nolan) et She Speaks (sous la direction de Judith Thompson).
Elle a enseigné et fait de la mise en scène notamment au Collège Humber, à l’Université de Guelph, à l’Université de Toronto à Mississauga–Collège Sheridan, à l’Université Ryerson, à l’Université York et à l’École nationale de théâtre. Membre honoraire de l’Association canadienne de la recherche théâtrale, elle a récemment été nommée professeure associée au Département de théâtre de l’Université York. Elle joue également un rôle de mentore auprès d’étudiants en théâtre et d’artistes de la relève. En 2019, elle a remporté le prix de leadership culturel Margo Bindhardt et Rita Davies, de la Toronto Arts Foundation.
OrKidstra is an Ottawa-based social development program, which gives children from under-served areas the opportunity to learn life skills – such as teamwork, commitment and responsibility – through the joys and challenges of singing and playing music together.
OrKidstra’s mission is to empower kids and build community through music. OrKidstra accomplishes this mission by providing children from under-privileged communities with free instruments and lessons, giving them the chance to reach for success through music.
The program began in 2007 with 27 children and the passionate belief in the transformative power of music. It has since grown to include over 700 children, ages 5-18, from 42 cultural and linguistic backgrounds, and has become a world-class example of why music is called the universal language.
In high-demand for their energy and musicianship, OrKidstra has performed on the JUNO awards broadcast, on Parliament Hill as part of the Canada Day 150 Celebrations and many more. The charity is grateful to have the support of two OrKidstra Ambassadors: acclaimed pianist Angela Hewitt, C.C., O.B.E, and Alexander Shelley, Music Director NAC Orchestra.
OrKidstra est un programme de développement social destiné aux enfants des quartiers défavorisés d’Ottawa visant à leur permettre d’acquérir des compétences telles le travail d’équipe et le sens des responsabilités tout en chantant et en faisant de la musique ensemble.
L’organisme a pour mission de favoriser l’autonomie des enfants et de renforcer les communautés par le langage universel qu’est la musique; il fournit des instruments et offre des leçons de musique gratuites à des enfants de milieux défavorisés, leur donnant ainsi une occasion de se dépasser en musique.
Créé en 2007 avec un puissant désir de transformer la vie des enfants grâce à la musique, le programme avait alors rassemblé 27 participants. En une dizaine d’années, il a maintenant touché la vie de plus de 700 enfants de 5 à 18 ans issus de 42 communautés culturelles et linguistiques différentes et est même devenu une référence en éducation musicale.
Les concerts d’OrKidstra sont fort prisés, surtout en raison de l’énergie communicative et du talent de ses membres; ceux-ci ont offert des prestations, entre autres, à la cérémonie des prix JUNO en 2017, sur la Colline du Parlement à l’occasion des célébrations du 150e anniversaire du Canada et aux cérémonies d’ouverture du Centre mondial du pluralisme. OrKidstra est fière d’avoir le soutien de deux ambassadeurs de marque : la réputée pianiste Angela Hewitt, C.C., O.B.E., et le directeur musical de l’Orchestre du CNA, Alexander Shelley.
Rachel Gray is a Canadian interdisciplinary artist based in Algonquin Territory/Ottawa. Navigating the world with Dyslexia has led her to explore art as a way to create customized language. Through drawing, performance, installation, and storytelling she tries to speak into the places language leaves blank. Her work has been exhibited nationally and internationally. Rachel is also an author, animator, and illustrator, with her graphic novel "Jess" adapted into a musical work commissioned by Pacific Opera Victoria. She is the librettist and co-creator of Raccoon Opera, premiering at Salle Bourgie in Montreal in spring of 2024.
Rachel is also the producer of SPEAK Podcast which shares the voices and stories of artists with developmental disabilities through audio art, music and a model of production that centres co-leadership and accessibility. Rachel is a founding member of Ghost Rooster, a disability arts collective at the intersection of dance, visual art and audio storytelling.
Rachel Gray est une artiste interdisciplinaire canadienne qui vit sur le territoire algonquin, à Ottawa. Observant le monde à travers le prisme de la dyslexie, elle utilise l’art pour créer un langage qui lui est propre. Par le dessin, la performance, l’installation et le récit, elle essaie de s’exprimer dans les espaces que le langage laisse vides. Ses œuvres ont été présentées dans le monde entier. Elle est également auteure, animatrice et illustratrice; son roman graphique Jess a été adapté en œuvre musicale (commande du Pacific Opera Victoria). Elle est la librettiste et la co-créatrice de Raccoon Opera, qui a été présenté à la Salle Bourgie à Montréal en mai 2024.
Rachel Gray est aussi la productrice du balado SPEAK qui cultive le co-leadership et l’accessibilité. Elle y fait entendre les voix et les histoires d’artistes souffrant de troubles du développement en misant sur l’art audio et la musique. Elle est membre fondatrice de Ghost Rooster, un collectif d’artistes en situation de handicap à la croisée de la danse, de l’art visuel et du récit audio.
One of the most beloved and celebrated singers of our time, soprano Renée Fleming captivates audiences with her sumptuous voice, consummate artistry, and compelling stage presence. At a White House ceremony in 2013, President Obama awarded her the National Medal of Arts, America’s highest honor for an individual artist. In May 2023, Renée was named a Goodwill Ambassador for Arts and Health for the World Health Organization, and in June it was announced that she will be awarded the prestigious Kennedy Center Honor.
Winner of the 2023 Grammy Award (her fifth) for Best Classical Vocal Solo, and honored with the World Economic Forum’s 2023 Crystal Award at Davos, Renée is the only classical artist ever to sing The Star-Spangled Banner at the Super Bowl (2014). As a musical statesman, Renée has sung at numerous prestigious occasions, from the 2006 Nobel Peace Prize ceremony to performances in Beijing during the 2008 Olympic Games. In 2014, she sang in the televised concert at the Brandenburg Gate to commemorate the 25th anniversary of the fall of the Berlin Wall. In 2012, in an historic first, she sang on the balcony of Buckingham Palace in the Diamond Jubilee Concert for HM Queen Elizabeth II.
A ground-breaking distinction came in 2008 when Renée became the first woman in the 125-year history of the Metropolitan Opera to solo headline an opening night gala. In January 2009, Renée was featured in the televised We Are One: The Inaugural Celebration at the Lincoln Memorial for President Obama. She has also performed for the United States Supreme Court and, in 2009, celebrated the 20th anniversary of the Czech Republic’s “Velvet Revolution” at the invitation of Václav Havel.
Renée Fleming est l’une des chanteuses les plus appréciées et célébrées de notre époque. La soprano captive les auditoires avec sa voix somptueuse, son talent artistique et sa présence scénique irrésistible. En 2013, elle reçoit la distinction artistique la plus prestigieuse aux États-Unis, la médaille nationale des arts, des mains du président Barack Obama lors d’une cérémonie à la Maison-Blanche. Dix ans plus tard, elle est nommée ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation mondiale de la Santé pour les arts et la santé et décroche le prestigieux Kennedy Center Honor.
En 2023, Renée Fleming remporte le prix Grammy de la meilleure performance vocale solo, son cinquième au compteur, puis le prix Crystal au Forum économique mondial à Davos. Elle est la seule artiste classique à avoir interprété l’hymne national des États-Unis, The Star-Spangled Banner, au Super Bowl (2014). Habituée des grandes occasions, la soprano s’est produite notamment à la cérémonie de remise du Prix Nobel en 2006 et aux Jeux olympiques de Beijing en 2008. En 2014, elle participe au concert télévisé à la porte de Brandebourg célébrant les 25 ans de la chute du mur de Berlin. En 2012, elle marque l’histoire en se produisant au balcon du palais de Buckingham lors du concert du Jubilé de diamant en l’honneur de Sa Majesté la reine Elizabeth II.
En 2008, Renée Fleming devient la première femme à être la tête d’affiche solo du concert de gala inaugural de la 125e saison du Metropolitan Opera. En janvier 2009, on a pu la voir à la télévision lors du concert d’investiture du président Obama, We Are One: The Inaugural Celebration, au Lincoln Memorial. Cette même année, elle s’est produite à la Cour suprême des États-Unis et au concert célébrant le 20e anniversaire de la révolution de velours de la République tchèque à l’invitation de Václav Havel.
Santee Smith / Tekaronhiáhkhwa is a multidisciplinary artist from the Kahnyen’kehàka Nation, Turtle Clan, Ohswé:ken/Six Nations of the Grand River. Transformation, energetic exchange and fostering mind-heart connections through performance and design is her lifelong work. Santee trained at Canada’s National Ballet School; holds Physical Education and Psychology degrees from McMaster University and a M.A. in Dance from York University.
Premiering her first production Kaha:wi – a family creation story in 2004, one year later she founded Kaha:wi Dance Theatre which has grown into an internationally renowned company. Santee’s work speaks about identity, teachings and way of life within Onkwehonwe:neha, creativity and Indigenous artistic process. She is a sought-after teacher and speaker on the performing arts, Indigenous performance, and culture.
Smith is faculty at the Banff Centre for Arts & Creativity’s World Indigenous Dance Residency 2024 and curator and visionary of “Inviting the Land to Shape Us Series” land-based workshops and creation labs focused on Indigenous performance research.
Recently, she premiered Dora Award nominated multimedia production SKéN:NEN at TOLive 2024 and toured award winning The Mush Hole embodying the truths of Canada’s oldest and standing Indian Residential School, The Mohawk Institute.
Santee Smith / Tekaronhiáhkhwa est une artiste multidisciplinaire kahnyen’kehàka du clan de la Tortue des Six Nations de la rivière Grand (Ohswé:ken, Ontario). Depuis le début de sa carrière, elle s’intéresse à la transformation, à l’échange d’énergie et aux liens entre le cœur et l’esprit. Formée à l’École nationale de ballet du Canada, elle est titulaire de diplômes en éducation physique et en psychologie de l’Université McMaster ainsi que d’une maîtrise en danse de l’Université York.
Elle présente sa première œuvre, Kaha:wi, un récit de création familial, en 2004. Un an plus tard, elle fonde la troupe Kaha:wi Dance Theatre, dont la renommée est devenue internationale. Son travail porte sur l’identité, les enseignements et le mode de vie de l’Onkwehonwe’néha, la créativité et les pratiques artistiques autochtones. Elle est en outre une enseignante et une conférencière recherchée dans le domaine des arts du spectacle, de la culture et des arts de la scène autochtones.
Elle fait partie de l’équipe d’encadrement du programme d’artiste en résidence (danse autochtone) du Centre des arts de Banff. Elle est également la programmatrice et la visionnaire de la série d’ateliers « Inviter la terre à nous façonner » et des laboratoires de création sur la recherche dans le domaine des arts du spectacle autochtones.
Récemment, elle a présenté pour la première fois à TO Live SKéN:NEN, une production multimédia finaliste aux prix Dora, et accompagné en tournée l’équipe de la pièce primée The Mush Hole relatant les expériences des pensionnaires de l’Institut Mohawk – le plus ancien pensionnat autochtone au Canada.
Sarah Prosper (she/they/nekm) is from Eskasoni Mi’kmaq First Nations. Prosper's practice encompasses a lens that deepens the threads of respect and reciprocity to dance, movement, social sciences, social justice, mental health & the land. Sarah began dancing at age 2 at Cape Breton School of the Arts (Gallop’s) and NADACA dance programs. Her first works created as an artistic director and choreographer is the Merritt Award winning show SAMQWAN 2021-2023 at the Highland Arts, Neptune Theatre, Stratford Festival Film and 2023 Canada Games.
Prosper’s collaborations and creations have taken her on an international tour and her passions remain in creating community work and extending the opportunities of wellness. An award winner of the 2022 Nova Scotia Indigenous Artist Recognition Award and Recognized by the Province House in 2023. Performing and creating on national stages in collaboration with world artists such as: Alan Syliboy & the Thunder Makers, Mocean Dance (Where Dance & Music Meet, Touring Utawtiwow Kijinaq), Nestuita’si Storytelling (Koqm & Winter Moons), Biennale, Spirit Song Festival, Prismatic Arts Festival, IOTA Bodies in Movement, JUNOS, performed Yo-Yo Ma/Jeremy Dutcher & Toronto Symphony, Symphony NS, and more.
Sarah Prosper (elle/iel/nekm) est originaire de la Première Nation d’Eskasoni (Mi’kmaq). Dans sa pratique, elle s’intéresse aux fils du respect et de la réciprocité dans la danse, le mouvement, les sciences sociales, la justice sociale, la santé mentale et la terre. Elle commence la danse à l’âge de deux ans à l’École des arts du Cap-Breton (Gallop’s), puis suit les programmes de danse parascolaires NADACA. Sa première chorégraphie, SAMQWAN, primée aux prix Merritt a été présentée entre 2021 et 2023 au Highland Arts Theatre, au Neptune Theatre, au Festival de Stratford et aux Jeux du Canada.
Son travail l’a menée à tourner à l’international et a créé des œuvres communautaires favorisant le mieux-être. Elle a obtenu en 2022 le Prix du mérite pour un artiste autochtone de la Nouvelle-Écosse et a été récompensée par la Province House en 2023. On a pu la voir sur les scènes nationales aux côtés de grands noms comme Alan Syliboy & The Thunder Makers, Mocean Dance (Where Dance and Music Meet, tournée de la pièce Utawtiwow Kijinaq), Yo-Yo Ma, Jeremy Dutcher et l’Orchestre symphonique de Toronto, l’Orchestre symphonique de la Nouvelle-Écosse, et Koqm (Winter Moons, production de Nestuita'si Storytelling). Elle s’est également produite à la Bonavista Biennale, au Festival Spirit Song, au Festival Prismatic Arts, à l’IOTA Institute (résidence Bodies in Movement) et aux prix JUNO.
Dancer, choreographer and teacher, Siôned is a vibrant member of the Canadian dance community. Siôned Watkins brings over 20 years of professional dance experience to her movement teachings. After graduating from Les Atelier de danse de Montréal, she began dancing for various Montréal dance companies including 10 years of international touring with Danièle Desnoyers' company, Le Carré Des Lombes. After studying and training in a myriad of movement methodologies, Siôned was introduced to Gyrokinesis® in 2007 during a residency in Banff with Dana Gingras and thus began her journey to becoming a certified and licensed Gyrotonic® and Gyrokinesis® instructor. Also an Active Isolated Stretching (AIS) practitioner, Siôned is dedicated to sharing these modalities with professionals, teachers and students alike. She has taught at École De Danse De Montréal, UQAM, Concordia University, Université d'Ottawa, School of Dance and Ottawa Dance Directive. Siôned is the Dance Education Associate and Teaching Artist for the National Arts Centre.
Interprète, chorégraphe et enseignante, Siôned joue un rôle dynamique au sein de la communauté de la danse au Canada. Experte dans lʼart du mouvement, Siôned Watkins a plus de 20 ans dʼexpérience dans le domaine de la danse professionnelle. Après avoir obtenu un diplôme des Ateliers de danse moderne de Montréal, elle a dansé pour plusieurs compagnies de danses montréalaises, notamment Le Carré des Lombes de Danièle Desnoyers, avec lequel elle sʼest produite en tournée à lʼéchelle mondiale pendant dix ans. En 2007, alors quʼelle était en résidence à Banff, elle a découvert la Gyrokinésis®, qui est venue complémenter une formation riche en méthodologies du mouvement. Elle poursuit dès lors un certificat en Gyrotonic® et en Gyrokinésis®. Spécialiste de lʼétirement isolé actif (EIA), elle sʼest engagée à partager son enseignement aussi bien avec des professionnels quʼavec des étudiants, notamment à lʼÉcole de danse contemporaine de Montréal, à lʼUniversité du Québec à Montréal, à Concordia, à la School of Dance, au Centre de danse contemporaine à Ottawa et lʼUniversité dʼOttawa. Elle et associée en éducation et artiste enseignante de la Danse au Centre national des Arts.
Sunshine Tnasco is Anishinabe, from Kitigan Zibi Anishinabeg, Quebec. She is a clean water activist, mother of four and an entrepreneur, founder of Her Braids (herbraids.com) and Pow Wow Pitch (powwowpitch.org). Her first book was Nibi’s Water Song.
Sunshine Tenasco est mère de quatre enfants et vit dans la communauté de Kitigan Zibi Anishinabeg. Selon cette entrepreneuse sociale et autrice, les affaires sont un milieu propice pour provoquer un changement positif. Elle a lancé Her Braids en 2015 pour sensibiliser la population au sujet des problèmes d’eau potable dans les communautés des Premières Nations par l’entremise de pendentifs en perlage, d’ateliers et de son livre Nibi’s Water Song pour enfants.
Vicki Stroich is honoured to live and work on the unceded, traditional territories of the of the Secwépemc Nation and the Syilx Okanagan Nation in the North Okanagan after joining the Caravan Farm Theatre team as Artistic and Environmental Programs Manager. Vicki is a dramaturg, nonprofit leader and community builder with over 25 years of experience. Designing and hosting creative spaces and fostering collaboration are Vicki’s great passions. Prior to joining Caravan Farm Theatre full time, Vicki was based in Calgary and worked for Alberta Ecotrust and Alberta Theatre Projects. She also works with a range of artists and organizations as a dramaturg and facilitator. She has a BFA Drama from University of Calgary and an Extension Certificate in Social Innovation and Changemaking from Mount Royal University. She is a Board Member for the Centre for Sustainable Practice in the Arts and Literary Managers and Dramaturgs of the Americas. Vicki has received a Betty Mitchell Award for Outstanding Achievement for her work on new Canadian plays.
Aujourd’hui responsable des programmes artistiques et environnementaux pour le Caravan Farm Theatre, Vicki Stroich a l’honneur de vivre et de travailler sur les territoires traditionnels non cédés des Nations Secwépemc et Syilx Okanagan, dans l’Okanagan-Nord. Conseillère dramaturgique, dirigeante d’organismes à but non lucratif et bâtisseuse communautaire comptant plus de 25 ans d’expérience, elle se passionne pour la conception et l’organisation d’espaces créatifs favorisant la collaboration. Avant d’occuper son poste actuel à temps plein, elle a vécu à Calgary et travaillé pour la Fondation Alberta Ecotrust et pour Alberta Theatre Projects. Elle collabore avec un éventail d’artistes et d’organisations à titre de conseillère dramaturgique et animatrice. Elle possède un baccalauréat en théâtre de l’Université de Calgary et un certificat de perfectionnement en innovation et changements sociaux de l’Université Mount Royal. Elle est membre des conseils d’administration du Centre for Sustainable Practice in the Arts et de Literary Managers and Dramaturgs of the Americas. Elle a remporté un prix Betty Mitchell pour ses contributions exceptionnelles à la création de pièces canadiennes.
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