After graduating from the Conservatoire d’art dramatique de Montréal in 2009, Alice Pascual appeared in the Théâtre de La Roulotte production of Les aventures de Lagardère, based on the novel by Paul Féval. Since then she has shone in nearly 15 plays, navigating with ease between different repertoires. In 2010, under the direction of Yves Desgagnés, she played Douniacha in Chekhov’s La cerisaie (The Cherry Orchard). She then appeared in Anja Hilling’s Tristesse animal noir (2012) and Fanny Britt’s Bienveillance (2014), both presented at ESPACE GO and directed by Claude Poissant, who also directed her in 2015 in On ne badine pas avec l’amour by Alfred de Musset at the Théâtre Denise-Pelletier. The same year, she appeared at the Théâtre d’Aujourd’hui in Annick Lefebvre’s J’accuse, remounted in 2017. In 2018, for the Théâtre Prospero, she played an elementary school teacher in the one-woman show Madame Catherine prépare sa classe de troisième à l’irrémédiable.
For La Manufacture, Alice Pascual stood out in 2012 for her performance in Ce moment(Moment) by Irish playwright Deirdre Kinahan, directed by Denis Bernard, and in 2016 in Marc O’Rowe’sTerminus, directed by Michel Monty. At La Licorne, she also appeared in Annabel Soutar’s Fredy (2016), produced by Porte Parole, and was part of the cast of Jonathan Garfinkel’s La maison aux 67 langues (House of Many Tongues), presented in the spring of 2019 and directed by Philippe Lambert.
Her television credits include Toute la vérité, Yamaska, 30 vies, Nouvelle adresse, and O’. She also appeared in the series Prémonition and in the popular series Trop, where she played the very likeable Manuela.
She has appeared in various short films screened at festivals (including Marie-Ève Juste’s Plage de sable and François Jaros’s Maurice), and more recently in Matt & Max, Xavier Dolan’s latest film.
Dès sa sortie du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 2009, Alice Pascual joue pour le Théâtre de La Roulotte dans Les aventures de Lagardère, d’après l’œuvre de Paul Féval. Elle s’est depuis illustrée dans près d’une quinzaine de pièces, naviguant avec aisance entre différents répertoires. En 2010, sous la direction d’Yves Desgagnés, elle campe Douniacha dans La cerisaie de Tchekhov. On la retrouve ensuite dans Tristesse animal noir d’Anja Hilling (2012) et Bienveillance de Fanny Britt (2014), toutes deux présentées à ESPACE GO et mises en scène par Claude Poissant, qui la dirigera aussi en 2015 dans On ne badine pas avec l’amour d’Alfred de Musset, à l’affiche du Théâtre Denise-Pelletier. La même année, on peut également la voir sur la scène du Théâtre d’Aujourd’hui dans J’accuse d’Annick Lefebvre, reprise en 2017. En 2018, elle a notamment incarné une professeure d’école primaire dans la pièce solo Madame Catherine prépare sa classe de troisième à l’irrémédiable, au Théâtre Prospero.
Pour La Manufacture, Alice Pascual se distingue en 2012 dans la pièce Ce moment-là de la dramaturge irlandaise Deirdre Kinahan, mise en scène par Denis Bernard, et en 2016 dans Terminus de Marc O’Rowe, chapeautée par Michel Monty. À La Licorne, elle a également joué dans Fredy d’Annabel Soutar (2016), une production de Porte Parole, et fait partie de la distribution de la pièce La maison aux 67 langues de Jonathan Garfinkel, présentée au printemps 2019 et orchestrée par Philippe Lambert.
À la télévision, on l’a vue dans Toute la vérité, puis dans Yamaska, 30 vies, Nouvelle adresse, O’. On l’a aussi vue dans la série Prémonition et dans la populaire télésérie Trop, où elle incarne la sympathique Manuela.
Au cinéma, elle a joué dans différents courts-métrages à l’affiche de festivals (dont Plage de sablede Marie-Ève Juste et Maurice de François Jaros) et, plus récemment, elle a fait une apparition dans Matt & Max, le dernier film de Xavier Dolan.
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