Geraldine Hollett – voix, tambourin
Phil Churchill – voix, guitare acoustique et électrique, valise, mandoline, violon
Andrew Dale – voix, bodhrán, banjo, bouzouki, mandoline, orgue, accordéon, guitare basse/contrebasse, guitare acoustique, percussion, piano 

Leur spectacle à guichets fermés de l’automne dernier toujours frais dans nos mémoires, The Once nous revient, en décembre, avec des classiques des Fêtes d’un charme sans pareil. Viennent agrémenter les célébrations de cette belle période, des chansons tirées de leurs plus récents albums.

L’heure est à The Once, groupe ainsi nommé d’après une expression propre à Terre-Neuve qui signifie « imminent ».

Depuis leurs débuts comme comédiens qui se plaisaient aussi à chanter ensemble, les trois membres de The Once font souffler un vent nouveau sur la scène musicale de Terre-Neuve, leur coin de pays. Ils trouvent leurs matériaux non pas dans les pubs bruyants ou les tavernes longeant les quais. Non. C’est un décor plus paisible, plus évocateur qui les nourrit. L’espoir et la tragédie habitent leurs chansons – tantôt une vieille complainte de la Première Guerre mondiale, tantôt des ballades originales relatant des amours déçues, tantôt encore des pièces exquises d’artistes qui les inspirent.   

Le trio fait dans la simplicité. Sa musique repose sur rien de plus que ses voix et des instruments acoustiques. La chanteuse principale, Geraldine Hollett, a une voix d’une rare puissance, qui a vite fait de tranquilliser une salle bruyante; une voix si expressive qu’elle peut vous défiler un roman en quelques mots à peine. Avec Phil Churchill et Andrew Dale à la guitare, à la mandoline, au violon et au bouzouki, l’ensemble marie à merveille voix et mélodies. Parfois mélancolique, d’autres fois comique, toujours poignant, The Once ne ressemble à rien de ce qu’a produit Terre-Neuve.