Débauché. Torride. Amusant. catl est un trio de rhythm and blues de Toronto au dynamisme exceptionnel dont la principale motivation est de vous voir vous abandonner corps et âme sur la piste de danse.

Influencé par des musiciens de blues du delta du Mississippi, comme Fred McDowell, Charlie Patton et Son House, le son de catl trouve ses racines dans le blues juke-joint et la podorythmie. Il s’agit d’un trio qui baigne dans la tradition blues tout en affirmant sa spécificité, créant un son blues original qui a été qualifié de mille et une façons, de « dirt blues » à « swamp boogie » en passant par « scuzz blues ». Pas étonnant que ces descriptions leur aient été attribuées quand on connait leur trajectoire de groupe de rock and roll influencé par la musique punk (catl avec Pecola, Andrew Moszynski avec les Deadly Snakes et Quest For Fire, et Sarah Kirkpatrick avec Shitt Hottt).

Depuis plus de trois ans, catl fait salle comble tous les mois à la Dakota Tavern de Toronto, ses fans loyaux faisant la file pour avoir la chance de se défouler sur la piste de danse. Depuis ses premiers pas timides de groupe de fêtes privées, catl a remporté le prix Toronto Blues Society Talent Search en 2009, ce qui lui a ouvert la voie pour jouer dans divers festivals, comme le South Side Shuffle, le Kitchener Blues Fest et le Festival International de Jazz de Montréal, où il s’est donné en spectacle sur la principale scène extérieure en 2011. catl a ouvert en 2011 la saison de l’émission Q de la radio anglophone de Radio-Canada, en plus de faire la page couverture du magazine NOW.

Ayant joué en première partie d’artistes comme The Jon Spencer Blues Explosion, Heavy Trash,  Andre Williams, The Sadies et le band de rock de garage de Detroit The Gories, catl saisit encore les occasions qui se présentent à lui de jouer sa musique épurée dans des fêtes privées et des stationnements, faisant ce qui lui plait le plus au monde : s’amuser et faire danser le monde.

En avril 2012, catl a lancé son troisième album complet, « Soon this will all be gone », s’attirant les éloges des critiques.