Jack Everly est le premier chef des concerts Pops de l’Orchestre du CNA, des orchestres symphoniques d’Indianapolis et de Baltimore, ainsi que de l’Orchestre philharmonique de Naples en Floride. Il a dirigé l’Orchestre philharmonique de Los Angeles au Hollywood Bowl, le New York Pops à Carnegie Hall, la Symphonie de San Francisco et se produit régulièrement avec l’Orchestre de Cleveland au Blossom Music Center. À son calendrier chaque saison figurent au-delà de 90 représentations dans plus d’une vingtaine de villes d’Amérique du Nord.
M. Everly est par ailleurs fier de célébrer dix ans à la direction du National Symphony Orchestra au National Mall à Washington à titre de directeur musical du National Memorial Day Concert et de l’événement A Capitol Fourth, deux célébrations diffusées au réseau PBS. Ces concerts en plein air attirent chaque année des centaines de milliers de personnes et sont suivis par des millions de téléspectateurs. Ils comptent parmi les programmes du réseau de télévision PBS qui récoltent les plus hautes cotes d’écoute.
Le maestro Everly est également le directeur musical de la IPL Yuletide Celebration, une tradition maintenant vieille de plus de 30 ans. C’est lui qui était à la barre du tout premier album Pops de l’Orchestre symphonique d’Indianapolis, Yuletide Celebration, Volume 1, sur lequel on retrouve trois pièces qu’il a lui-même orchestrées. Parmi ses autres collaborations sur disque figurent In The Presence gravé avec l’Orchestre philharmonique de la République tchèque et Daniel Rodriguez, Broadway Stories de la chanteuse Sandi Patty, la trame sonore du Bossu de Notre-Dame de Disney, et Everything’s Coming Up Roses: The Complete Overtures Of Jule Styne.
Il a dirigé par ailleurs pendant 14 ans l’American Ballet Theatre (ABT), dont il a été le directeur musical, nommé à ce poste par Mikhaïl Barychnikov. Pendant son mandat à l’ABT, il a collaboré avec Marvin Hamlisch à des spectacles de Broadway que ce dernier a mis en musique. Il a également dirigé Carol Channing dans des centaines de représentations de Hello, Dolly! au fil de deux productions distinctes de Broadway.
Diplômé de la Jacobs School of Music de l’Université de l’Indiana, M. Everly a remporté en 2015 l’Indiana Historical Society Living Legends Award. Il a aussi reçu un doctorat honorifique en arts du Franklin College de son Indiana natal. Il est un fier résidant d’Indianapolis qui, en dehors de la scène, aime passer du bon temps à la maison avec sa famille.
Tony DeSare est un interprète à la joie contagieuse, doté d’une espièglerie mutine et d’une musicalité robuste. Couronné étoile montante parmi les voix masculines par le magazine Downbeat, il a fait honneur à ce titre en recevant les éloges du public et de la critique pour ses concerts partout en Amérique du Nord et à l’étranger. Les clubs de jazz, le Carnegie Hall, Las Vegas, les plus grands orchestres symphoniques… Dans le monde entier, Tony DeSare fait souffler un vent de fraîcheur sur l’élégance à l’ancienne. Quatre de ses albums figurent au top 10 de Billboard. Il est aussi apparu dans le CBS Early Show, sur NPR, dans A Prairie Home Companion et dans le Today Show. Sa musique a été promue en ligne par un géant des réseaux sociaux, la vedette George Takei. Tony DeSare a également collaboré avec le supergroupe YouTube Postmodern Jukebox. Il a été artiste invité vedette dans plus de 100 orchestres symphoniques à travers le monde, notamment l’Orchestre de Cleveland, le New York Pops, l’Orchestre symphonique de San Francisco, l’Orchestre symphonique de Houston et l’Orchestre symphonique de Chicago.
Non content d’être chaudement applaudi pour ses exploits de chanteur et pianiste, l’artiste a également été couvert de lauriers pour ses compositions. Non seulement il a remporté la première place du USA Songwriting Contest, mais il a composé la chanson titre du film My Date with Drew ainsi que la musique de plusieurs annonces télévisées et de cinq films. Sa musique est romantique, entraînante et sensuelle, mais ce qui fait sortir Tony DeSare du lot, c’est sa capacité à composer des œuvres originales pleines de fraîcheur et de modernité qui rappellent pourtant le Grand répertoire américain de la chanson.
Tony est très présent sur les réseaux sociaux. Il y publie encore son « journal sonore » commencé en 2020 : ces enregistrements réalisés dans son studio à la maison se dénombrent aujourd’hui à plus de cent. Il est possible d’écouter ses œuvres sur toutes les plateformes et dans de nombreuses listes de lecture musicales.
Capathia Jenkins est sans contredit une actrice de talent, mais tous ceux qui la connaissent savent également que cette étoile est capable de vous éblouir comme mille soleils. Divisée entre ses deux passions dévorantes, le théâtre et la musique, elle refuse de choisir; toutes deux habitent son âme. Elle aborde une chanson et un dialogue de la même façon, telle une artiste. Elle cherche les nuances, les secrets cachés derrière les notes ou les mots, elle part en quête de la mélodie, de l’harmonie et du rythme. Elle se demande : « Que suis-je en train d’essayer de dire? Quelle expérience voudrais-je faire vivre au public avec moi? » Elle cherche à faire voyager ses spectateurs.
Cette actrice, qui est née à Brooklyn et y a grandi, a tout récemment interprété « Medda », dans Newsies, la production phare de Disney. Elle fait ses débuts à Broadway dans The Civil War, créant le rôle de Harriet Jackson. Puis, elle joue dans la reprise off-broadway de Godspell en 2000; elle épate l’auditoire par son interprétation émouvante de Turn Back, O Man, qui figure encore dans l’enregistrement de la distribution originale. Elle revient ensuite à Broadway avec The Look of Love; elle est encensée par la critique pour son interprétation des grands succès du tandem Bacharach et David. Capathia Jenkins crée ensuite les rôles de « The Washing Machine », dans Caroline, Or Change, puis de « Frieda May », dans Martin Short – Fame becomes Me, pour lequel elle chante Stop the Show, qui fait un tabac chaque soir.
En 2007, elle joue à nouveau off-broadway dans (mis)UNDERSTANDING MAMMY: The Hattie McDaniel Story. Elle décroche alors une nomination pour le prix Drama Desk. Elle a également été dans Love, Loss, and What I Wore de Nora Ephron.
Concertiste prolifique, Capathia Jenkins s’est produite en compagnie d’orchestres du monde entier : l’Orchestre de Cleveland, l’Orchestre symphonique de Houston, l’Orchestre symphonique de Pittsburg (avec Marvin Hamlisch), l’Orchestre symphonique national, l’Orchestre symphonique d’Atlanta, l’Orchestre Symphonique de Seattle, l’Orchestre symphonique de l’Utah, l’Orchestre du Minnesota, l’Orchestre symphonique de San Antonio, l’Orchestre symphonique de Memphis, l’Orchestre symphonique de Nashville, l’Orchestre symphonique de Toledo, l’Orchestre symphonique du Colorado, l’Orchestre symphonique de Toronto, l’Orchestre symphonique d’Edmonton, l’Orchestre philharmonique de Calgary, l’Orchestre symphonique de Kansas City, l’Orchestre symphonique de San Diego et l’Orchestre philharmonique de Hong Kong. Elle a également été soliste pour le Festival de Cesky Krumlov en République tchèque. En 2011, elle a eu l’insigne honneur de prendre part au concert Broadway Ambassadors à Cuba, pendant le Festival De Teatro De La Habana. Capathia a aussi été soliste invitée aux côtés de Peter Nero et du Philly Pops ainsi que du Cincinnati Pops.
Parmi ses passages à la télévision, on peut citer : 30 Rock, The Practice, New York, unité spéciale, The Sopranos et New York, police judiciaire. En outre, l’actrice apparaît dans le film de Susan Seidelman Musical Chairs et a prêté sa voix aux trames sonores des films Nine, Chicago et La blonde contre-attaque.