≈ 2 heures · Avec entracte
C’est pour moi un privilège d’accueillir à Ottawa des artistes talentueux et inventifs du monde de la danse qui s’inspirent de sources variées et embrassent toute une gamme de styles différents. Nous sommes constamment à l’affût des compagnies les plus brillantes et innovantes pour les présenter à notre public si réceptif et enthousiaste. Nous vous invitons à explorer l’inconnu et le familier dans ce voyage extraordinaire au cœur de la vie en mouvement!
J’adore le Casse-Noisette de l’Alberta Ballet. La compagnie dépeint ce classique intemporel avec brio, charme, magie et une opulence digne du tournant du siècle. Ce spectacle est pour plusieurs une première escapade dans le monde de la danse, qui se transforme ensuite en véritable passion pour cette forme d’art et, souvent, en tradition des Fêtes à laquelle prennent part grands-parents, enfants et amis. Bon spectacle!
QUELQUES FAITS INTÉRESSANTS :
L’Alberta Ballet célèbre en 2018 le 10e anniversaire du Casse-Noisette du chorégraphe Edmund Stripe.
Petr Ilitch Tchaïkovski est le premier grand compositeur à utiliser le célesta (inventé en 1886) dans une œuvre pour orchestre symphonique. Vous pourrez l’entendre pendant la danse de la Fée Dragée.
Près de 100 jeunes danseurs se produisent dans Casse-Noisette – une première prestation pour nombre d’entre eux.
Casse-Noisette est une merveilleuse tradition, un moment fort de la saison pour une compagnie de ballet.
Casse-Noisette marque un moment où les collectivités prennent le temps de célébrer l’art, la tradition et le ballet à son meilleur. C’est le cas de la production de l’Alberta Ballet, chorégraphiée par Edmund Stripe. Les décors et costumes de Zach Brown, lauréat d’un prix Emmy, relèvent de la magie pure. La richesse d’inspiration s’allie à l’authenticité dans ce cadre russe du tournant du siècle. Le décor de l’Acte I est même inspiré du salon de Tchaïkovski à Saint‑Pétersbourg!
Mais à vrai dire, la joie de renouer avec cette production chaque année tient surtout au lien qu’elle établit avec les enfants : dans l’auditoire, des enfants assistent à un ballet pour la première fois, et sur scène, des élèves de danse locaux vivent un rêve en se produisant sur scène aux côtés de danseurs professionnels.
Nous sommes tout à fait conscients du caractère inspirant de cet événement magique. Pour beaucoup de nos danseurs Casse‑Noisette est l’œuvre qui les a initiés au ballet.
Nous remercions chaleureusement Merilee Hodgins et Mary Ross pour l’aide inestimable qu’elles nous ont apportée dans le cadre des répétitions avec les enfants. Elles ont grandement contribué à préparer les enfants pour leur apparition sur scène!
Nous tenons aussi à remercier la formidable équipe du Centre national des Arts. Nous sommes honorés par cette invitation à nous produire à Ottawa.
Nous vivons dans un monde frénétique. Il me fait plaisir de vous accueillir, aujourd’hui, dans la majestueuse enceinte de la Salle Southam, où vous pouvez ainsi prendre un temps d’arrêt avec vos êtres chers. La famille de l’Alberta Ballet vous souhaite, ainsi qu’à vos proches, un temps des Fêtes rempli de joie.
Dernière mise à jour: 16 novembre 2018
L’histoire commence dans un pays lointain, la Russie, au tournant du XIXe siècle. C’est la veille de Noël et la famille Vishinski accueille des invités à la maison. Les enfants Klara et Nikolaï jouent à colin-maillard avec les autres enfants invités à la fête. Le jeu s’achève lorsque Klara attrape Nikolaï. On distribue les cadeaux et Klara et Nikolaï entraînent les enfants dans une bruyante sarabande. À leur tour, les parents dansent un élégant quadrille.
Soudain, tout s’arrête, à l’arrivée de Drosselmeyer, le parrain de Klara. Il a apporté toutes sortes de jeux et d’automates pour distraire les invités. Ses pantins exécutent une pièce complexe racontant l’histoire d’un homme qui avait fabriqué un jour une souricière si efficace qu’il s’attira les foudres du Tsar des rats. Ce dernier voulut se venger en transformant le neveu de l’inventeur en un vilain casse-noisette. Le seul moyen de conjurer le sort était de trouver quelqu’un qui aimerait le casse-noisette, non pas pour son apparence, mais pour ce qu’il était.
Dans la pièce, le jeune soldat changé en casse-noisette reçoit l’aide d’une jeune ballerine qui tombe amoureuse de lui. Elle vainc le Tsar des rats en lui donnant un coup de chausson sur la tête.
Après la pièce, Drosselmeyer invite Klara à danser avec lui. Étrangement, il lui offre un casse-noisette. Nikolaï brise accidentellement le casse-noisette, mais Klara le lui pardonne immédiatement. Drosselmeyer répare le casse-noisette et Klara se met à jouer à la poupée avec les autres filles. Elles sont interrompues de temps à autre par les garçons et par un grand-père quelque peu surexcité.
Grand-père et Babouchka sont invités à danser; les parents et les enfants les accompagnent.
La fête s’achève et les invités prennent congé. Les parents emmènent avec eux leurs enfants fatigués. Drosselmeyer semble être parti lui aussi. Klara cherche partout son casse-noisette, mais ne le trouve pas. Babouchka conduit Nikolaï et Klara au lit.
Pendant la nuit, Klara redescend dans le salon pour chercher son casse-noisette. Tandis que l’horloge de l’hôtel de ville sonne minuit, Klara est encerclée par une foule de souris. Drosselmeyer apparaît soudain et renvoie les souris se coucher. Il explique à Klara que c’était lui, le personnage dont parlait la pièce présentée au cours de la soirée. C’est lui qui a construit la souricière qui a rendu furieux le Tsar des rats. Et c’est son neveu Karl qui a été transformé en casse-noisette, le Casse-Noisette que Klara tient actuellement dans ses bras!
Klara ayant promis d’aimer le casse-noisette, Drosselmeyer a recours à ses pouvoirs de magicien pour modifier les dimensions des lieux : la pièce devient immense et eux, tout petits. Le casse-noisette réapparaît, mais cette fois, il est très grand par rapport à Klara et Drosselmeyer. Une armée de soldats quitte le fort pour livrer bataille aux rats cosaques qui se sont rassemblés de l’autre côté du salon. Avec Casse-Noisette à leur tête, les soldats livrent une féroce bataille et le Tsar des rats lui-même apparaît. Mettant en œuvre ses puissants pouvoirs magiques, il essaye d’attaquer Drosselmeyer, mais Casse-Noisette intervient pour sauver son oncle.
Klara se souvient que dans la pièce présentée par Drosselmeyer au salon la veille, la ballerine avait neutralisé le Tsar des rats en lui donnant un coup de chausson de danse sur la tête. Elle donne un coup sur la tête du Tsar des rats qui, étourdi pendant quelques instants, ne voit pas Casse-Noisette qui vient l’attaquer avec son propre sceptre.
Le Tsar des rats est mortellement atteint et Casse-Noisette, écrasé de douleur, s’effondre aux pieds de Klara et de Drosselmeyer. Ce dernier comprend que sa stratégie et ses pouvoirs magiques ne suffisent pas à redonner à son neveu son apparence d’antan.
Klara et Drosselmeyer se rendent compte que leur environnement est en train de changer et lorsque Klara part chercher de l’aide, elle rencontre des loups qui, pense-t-elle, sont à la recherche de son précieux Casse-Noisette pour le dévorer. Ce n’est pas du tout ça : les loups sont les serviteurs de la Tsarine des neiges qui arrive sur son traîneau. La Tsarine demande à Drosselmeyer de lever le Casse-Noisette et, d’un geste de la main, lance un sortilège qui lui redonne l’apparence de Karl. Ce dernier reprend ses esprits et réalise au bout de quelques instants qu’il est redevenu humain. Une fois revenu à lui, il embrasse Drosselmeyer et Klara et remercie la Tsarine des neiges de l’avoir délivré de son sortilège.
La Tsarine des neiges fait venir les princesses des neiges et tandis que Klara et Karl s’amusent dans la neige, elle les guide vers un mystérieux palais perdu dans le lointain.
Le traîneau de la Tsarine des neiges se dirige vers les grilles du palais de la fée Dragée. Les pages du palais accueillent la Tsarine et ses amis et leur présentent la fée Dragée et son cavalier. Cette dernière est entourée d’invités provenant du monde entier qui dansent à tour de rôle en l’honneur de Klara et de Karl. Il y a des danseurs d’Espagne, d’Arabie, de Chine et de Russie. Klara et Karl dansent et sont divertis par les pages du palais et la valse des fleurs. Par la suite, la fée Dragée et son cavalier dansent pour leurs invités d’honneur et les festivités s’achèvent sur un brillant finale.
Très tôt, le lendemain matin, quelqu’un frappe à la porte d’entrée et Klara répond. C’est Drosselmeyer. Il lui souhaite le bonjour et, de sous son manteau, fait apparaître un casse-noisette. Un jeune homme, qui semble étrangement familier à Klara entre à son tour, alors que celui-ci s’en va avec Drosselmeyer, Klara commence à se demander si cela n’était pas qu’un rêve après tout.
Depuis sa création en 1969, l’Orchestre du Centre national des Arts (CNA) reçoit des éloges pour la passion et la clarté de ses interprétations, pour ses programmes éducatifs novateurs et pour son apport à l’expression de la créativité canadienne. Sous la direction du Directeur musical Alexander Shelley, l’Orchestre du Centre national des Arts est le reflet de la diversité des paysages, des valeurs et des communautés du Canada, et est reconnu pour sa programmation audacieuse, ses contenus nrratifs marquants, son excellence artistique et ses partenariats innovants.
Alexander Shelley a amorcé son mandat à la direction musicale de l’Orchestre du CNA en 2015, succédant à Pinchas Zukerman, qui a été aux commandes de l’ensemble pendant 16 saisons. Premier chef associé du Royal Philharmonic Orchestra, Shelley a été le premier chef de l’Orchestre symphonique de Nuremberg de 2009 à 2017. Demandé partout dans le monde, il a dirigé entre autres la Philharmonie de Rotterdam, DSO Berlin, le Leipzig Gewandhaus et la Philharmonie de Stockholm, et il maintient des liens avec la Deutsche Kammerphilharmonie et l’Orchestre national des jeunes d’Allemagne.
Chaque saison, l’Orchestre du met en vedette des artistes de réputation internationale, tels que notre artiste en résidence James Ehnes, Angela Hewitt, Joshua Bell, Xian Zhang, Gabriela Montero, Stewart Goodyear, Jan Lisiecki et le premier chef invité John Storgårds. L’ensemble se distingue à l’échelle du monde pour son approche accessible, inclusive et collaborative. Par le langage universel de la musique et des expériences musicales communes, il communique des émotions profondes et nous rapproche les uns des autres.
Né à Hull (Québec), Jean Grand-Maître a commencé sa formation en danse à l’Université York de Toronto et a poursuivi ses études à l’École supérieure de danse du Québec à Montréal. Il a été salué comme l’un des plus remarquables chorégraphes et directeurs artistiques canadiens de sa génération, après avoir créé pendant une décennie divers ballets contemporains pour d’importantes compagnies nord-américaines et européennes, dont Les Grands Ballets Canadiens de Montréal, le Ballet British Columbia, le Ballet national du Canada, le Ballet de l’Opéra de Paris, le Ballet de l’Opéra de Munich, le Ballet national de Norvège, le Stuttgart Ballet, le Ballet national de Cuba et le Teatro alla Scala de Milan.
M. Grand-Maître a été nommé directeur artistique de l’Alberta Ballet en 2002, à 39 ans. Sous sa direction, l’Alberta Ballet est devenu l’une des compagnies les plus fascinantes et les plus acclamées du Canada. Il a orchestré plus de 75 programmes différents, faisant la part belle aux chorégraphes des XXe et XXIe siècles. Au cours de son mandat à l’Alberta Ballet, il a commandé 46 ballets en un acte, ainsi que 30 ballets intégraux. Pour créer ou remonter toutes ces œuvres à l’intention de l’Alberta Ballet, il a fait appel à une trentaine de chorégraphes réputés ou de la relève exerçant au Canada ou dans d’autres pays du monde.
M. Grand-Maître est aussi renommé pour sa série Portrait Ballets. Le premier, Joni Mitchell’s The Fiddle and the Drum, a été lancé en 2007 après deux ans de gestation en étroite collaboration avec Joni Mitchell. Aujourd’hui, cette série remarquable comporte des hommages à la musique de Sir Elton John, k.d. lang, Sarah McLachlan, Gordon Lightfoot et The Tragically Hip. Les Portrait Ballets de l’Alberta Ballet ont été salués pour leur capacité à attirer de nouveaux publics dans les salles de spectacles, en plus d’introduire une esthétique nouvelle dans la narration et la scénographie du ballet.
Chorégraphe prolifique et lauréat de nombreux prix, Edmund Stripe mène une remarquable carrière de danseur et de maître de ballet à la fois en danse contemporaine et en ballet classique.
Né à Londres, il a obtenu sa formation à la Royal Ballet School, où il a étudié sous la tutelle d’éminents professeurs tels que Walter Trevor, Nancy Kilgour, Piers Beaumont et Richard Glasstone. Il a dansé au Ballet Gulbenkian (Portugal), au London City Ballet et au West Australian Ballet, où il a créé de nombreuses œuvres pour la compagnie, qui l’a nommé maître de ballet en 1998.
En 2000, M. Stripe devient maître de ballet au Singapore Dance Theatre, où il participe au montage et à la recréation d’œuvres de chorégraphes célèbres, tels Jiří Kylián, Nacho Duato et Goh Choo San. En 2002, il intègre l’Alberta Ballet comme maître de ballet et participe, au cours de la décennie qui suit, au montage de chorégraphies de George Balanchine, Agnes de Mille, Christopher Wheeldon et Jean Grand-Maître. Pour l’Alberta Ballet, il a signé notamment les chorégraphies d’Unquiet Light (2003), Swelter (2005), Alice in Wonderland (2006) et Casse-Noisette (2008).
Il a récemment été nommé chorégraphe associé et artiste en résidence à l’Alberta Ballet.
Christopher Anderson a intégré l’Alberta Ballet après une longue et prestigieuse carrière de seize ans au sein du Boston Ballet et de Ballet West. Au cours de sa carrière professionnelle, il s’est constitué un vaste répertoire d’œuvres classiques et contemporaines. Il a interprété des rôles principaux sur les scènes nationales et internationales, y compris plusieurs rôles créés pour lui par quelques-uns des chorégraphes les plus en vue de notre époque. Lorsqu’il était membre de Ballet West, il a aussi eu l’occasion de signer ses propres créations pour la compagnie, qui lui a commandé trois œuvres. Il s’est joint à l’Alberta Ballet en 2015 à titre de directeur artistique associé et a ajouté deux nouveaux ballets intégraux au répertoire de la compagnie : Cendrillon, créé en mars 2018, et La belle au bois dormant, créé en octobre 2018.
Christiana Bennett est ravie de faire partie de l’équipe artistique de l’Alberta Ballet. Avant d’intégrer l’Alberta Ballet à titre de maîtresse de ballet, Mme Bennett a été première danseuse pendant 16 ans à Ballet West. C’est ainsi qu’elle a eu l’occasion de danser partout aux États-Unis, en Europe et en Asie, menant une carrière internationale couronnée de succès. Originaire du Massachusetts, elle a reçu la plus grande partie de sa formation dans de prestigieuses écoles de la côte Est. Toutefois, elle attribue le succès de sa carrière à la formation qu’elle a reçue à la Pacific Northwest Ballet School sous la tutelle de Francia Russell.
Né à Toronto, Peter Dala a étudié le piano et la direction d’orchestre au Royal College of Music, en Angleterre. Au cours de ses études à Londres, il travaille comme répétiteur à l’école du Royal Ballet, ce qui l’amène à obtenir, en 1984, un contrat de chef d’orchestre et de pianiste au Ballet de Bâle, en Suisse. Il a aussi travaillé à l’International Opera Studio de l’Opéra de Zurich, en Suisse, où il a dirigé son premier opéra et a été invité à diriger l’orchestre du Ballet de Zurich. En 1988, M. Dala intègre l’Opéra d’État de Hongrie à Budapest, où il dirige des opéras et des spectacles de ballet. Parmi les grands moments de sa carrière, il faut citer l’opéra Don Giovanni de Mozart et un ballet sur la musique du Songe d’une nuit d’été de Mendelssohn au Festival des arts de Singapour et de Hong Kong. Ensuite, il intègre l’Opéra d’Edmonton à titre de chef des chœurs/répétiteur, faisant ses débuts dans Roméo et Juliette de Gounod (1997).
Il en est maintenant le chef d’orchestre. M. Dala a commencé à diriger l’orchestre de l’Alberta Ballet en 2001 pour le spectacle Casse-Noisette et il en assure la direction musicale depuis 2005.
Zack Brown, un des scénographes les plus polyvalents des États-Unis, a fait carrière à Broadway, à l’opéra, au ballet et à la télévision. Après avoir obtenu son diplôme à la Yale School of Drama, il a signé les décors et les costumes de plus de 150 productions. Il a mis ses talents au service de nombreux établissements artistiques du monde entier, du Metropolitan Opera au Festival de Spoleto; du Ballet de Hambourg au Circle in the Square de New York; du San Francisco Opera au Théâtre Maly de Moscou. C’est cependant Washington D.C. qui a accueilli le plus grand nombre de ses créations, soit plus de 40 productions pour le Washington Opera au Kennedy Center et de nombreuses pièces et comédies musicales à l’Arena Stage et au Shakespeare Theater.
M. Brown a conçu les décors et les costumes d’On Your Toes, reprise couronnée par un prix Tony, et il a obtenu deux prix Emmy pour la diffusion de La Gioconda, spectacle du San Francisco Opera. Les productions de Casse-Noisette présentées par l’Alberta Ballet, le Milwaukee Ballet et le Pittsburgh Ballet portent toutes sa signature. Pour l’American Ballet Theatre, il a conçu la scénographie des productions du Lac des cygnes, de Raymonda, de Gaîté parisienne, celles du Jardin aux lilas et de Dim Lustre, ainsi que deux créations de Lowell Libermann : Piano Concerto #1 et Dorian, d’après Le Portrait de Dorian Gray.
M. Brown a récemment signé la scénographie d’une nouvelle version de Theme and Variations pour l’American Ballet Theatre. Il a aussi conçu les décors du ballet Don Quixote de Balanchine, remonté par Suzanne Farrell pour sa propre compagnie et pour le Ballet national du Canada.
Pierre Lavoie travaille dans le secteur de la danse depuis 1982. Il a commencé sa carrière à Toronto comme régisseur, puis a travaillé à Montréal pour Les Grands Ballets Canadiens de Montréal. M. Lavoie a signé les éclairages de nombreuses productions de l’Alberta Ballet, dont Joni Mitchell’s The Fiddle and The Drum et Roméo et Juliette de Jean Grand-Maître, ainsi qu’Othello de Kirk Peterson. Récemment, il a travaillé avec Grand-Maître dans le cadre de plusieurs collaborations avec des artistes pop, notamment pour les spectacles Love Lies Bleeding, Balletlujah! et Fumbling Towards Ecstasy. Il a aussi conçu des éclairages pour le Royal Winnipeg Ballet, le Boston Ballet, le Milwaukee Ballet, l’Atlantic Ballet Theatre et le Ballet Memphis.
Lexie Klasing est née et a grandi à Sarasota, en Floride. Elle détient une maîtrise en arts de la scène (régie) de l’Université du Missouri à Kansas City (UMKC), et est également diplômée du Conservatoire de Danse de l’UMKC, où elle a obtenu son baccalauréat en ballet (interprétation). Elle a récemment œuvré avec le Milwaukee Ballet comme régisseuse et gérante de la compagnie (2016–2018), et comme régisseuse adjointe pour le Kansas City Ballet (2013–2015). Elle a aussi travaillé pour le Festival international de danse de Vail, le Jacobs Pillow Dance Festival, et The Public Theatre à New York. Elle s’est jointe à l’Alberta Ballet à point nommé pour assurer la régie de La belle au bois dormant de Christopher Anderson, une œuvre qu’elle affectionne tout particulièrement depuis son plus jeune âge. Parmi les moments forts de sa carrière de régisseuse pour le ballet, mentionnons Giselle, La Sylphide et La Belle et la Bête de Michael Pink.
Kira Anderson
Eli Barnes
Brittany Broussard
John Canfield
Jason Cao
Gabrielle Chenard
Tanya Chumak
Zacharie Dun
Melissa Eguchi
Alexandra Gibson
Jennifer Gibson
Garrett Groat
Hanya Gutierrez
Scotto Hamed-Ramos
Seira Iwamoto
Mariko Kondo
Alan Ma
Kelley McKinlay
Reilley McKinlay
Sayuri Nakanii
Taryn Nowels
Hikaru Osakabe
Allison Perhach
Liam Reid
Kuu Sakuragi
Yoshiya Sakurai
Luna Sasaki
William Sheriff Jr.
Heather Thomas
Laura Vande Zande
Victoria Mary Finlay Robinson, Shiori Otsu, Erika Hara, Braden Falusi, Guiherme Ventura, Alexander Bishop
Souris
Aurora Allaby-Déziel
Morgan Arbuthnot
Lucia Betnaza
Payton Carter
Alexander Craig-Browne
Isabelle Cummings
Béatrice de Grandpré-Champagne
Valentina El Haibi
Maxine Farha
Annabelle Hardy
Ashley Hash
Ava Holyome
Anne-Sophie Jollez
Katarina Kuiack
Béatrice Landry
Alice Lavrenova
Rielle Lefèvre-Hembroff
Capri Masferrer
Audrina Peebles
Natalie Quarrington
Anna Ross
Evelyn Thompson
Soldats
Brooklyn Baker
Eloïse Bauer-Beazer
Emily Gratton
Annaleise Kanstrup
Natasha Kleman
Andrea Kobetic
Gabrièle Lavoie
Mikhail Lavrenov
Sophie Legault
Hailey Leggett
Sasha Mee
Mackenzie Mulvihill
Clara Poirier
Liliane Slauenwhite-Rochefort
Olivia Taylor
Clare Wilgosh
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Jeunes invités
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Aisha Winfield-Khan
Pages du palais
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Elodie Ménard
Frida Pohl
Anaïs Sanscartier
Emily Tavares
Zoë Walters
Zara Winfield-Khan
Rats
Olivia Davis
Bianca de Belle
Émélie Garneau
Sophia Golshaeian
Eden Haley
Briana Hersey
Mackenzie Houle
Hannah Kreft
Camille Lafleur
Svea Larsson
Caroline LeFrançois
Myranda MacPherson
Janna Matoussova
Lauren McCabe
Annabelle Mennie
Catherine Ollivier
Clara Shales