Del Barber a grandi dans les prairies canadiennes. Le paysage de cette région, tout comme les gens qu’il a rencontrés en cours de route, fait partie de lui. De la fertile vallée de la rivière Rouge aux pâturages de l’ouest en passant par les usines et les abattoirs de la ville, le quatrième album de Barber, Prairieography, est né de l’amour qu’il ressent pour sa patrie, ses gens et leurs histoires.

Barber chante avec son cœur sur ses racines, raconte des anecdotes des grands chemins et partage d’incroyables observations personnelles et sincères sur le monde qui l’entoure. Il y a un mélange inattendu de country de la vieille école et de boogie cajun sur Living With A Long Way to Go. Toutefois, Barber y conserve son style narratif particulier avec « Farewell, God Bless You, Goodbye », une histoire sur un jeune qui tente d’échapper au bourdonnement de la ville. « Walking In A Straight Line », écrite au temps présent, rapporte en détail un voyage qu’il a fait au Yukon en traversant les Rocheuses à partir de Winnipeg. Lorsqu’il parle de « All That it Takes », Barber s’emballe : « Parfois, trois accords et un cœur léger sont tout ce qu’il faut pour faire une bonne chanson. Nous voulions réellement intégrer des chansons comme celle-là sur l’album, des compositions qui s’appuieraient sur des rythmes pesants et une section rythmique simple et ressentie. »

Barber s’est révélé comme un artiste de la prochaine vague de la fière tradition de ce pays en matière d’auteurs-compositeurs talentueux. Suite à ses albums primés Love Songs for the Last Twenty et Headwaters, Prairieography est le carnet de voyage honnête d’un troubadour ambulant et une constatation que la créativité est rarement une fleur éphémère.

L’auteure-compositrice-interprète Jessica Mitchell réinvente avec brio plusieurs des normes et conventions que nous associons à la musique country. Michelle a capté l’attention de plusieurs médias, y compris du Toronto Star et de Global News, lorsqu’une vidéo qu’elle a publiée sur Facebook où elle écoutait sa nouvelle chanson, « Workin’ On Whiskey », à la radio pour la première fois a été virale.

« Workin’ On Whiskey » a été la chanson country canadienne la plus jouée à la radio pendant la semaine du 17 juillet. Au cours de l’été, qui s’est avéré le plus occupé de sa vie, elle a participé à la tournée de Kiefer Sutherland, s’est donnée en spectacle à d’importants festivals de musique et a lancé une pièce qui a obtenu pour la première fois du succès sur les palmarès. Nommée au prix de la CCMA dans la catégorie d’artistes roots de l’année, la native de London, Ontario, reviendra faire un tour dans sa ville natale au mois de septembre, à l’occasion de la semaine de la musique country et d’un spectacle aux prix de la CCMA.

L’album Hold Onto The Light de Mitchell a été lancé le 1er avril 2016. Fruit du producteur en nomination aux prix Grammy Dave Brainard (Brandy Clark, Jerrod Niemann), et coécrit avec Luke Sheets (Plumb), la première piste de son album, « Grown Up Things », est une chanson introspective sur la perte et le changement, le déni de faire face aux imprévus qui surgissent dans nos vies, une sensation que la plupart des gens ont éprouvée à un moment où un autre de leur existence. Elle met en relief sa voix pure et puissante ainsi que son immense talent d’auteure-compositrice.

Le concert du 5 novembre de Jessica Mitchell, qui devait avoir lieu à 19 h 30 à l’Arrière Scène, commencera une demi-heure plus tard que prévu, soit à 20 h, et aura lieu au Studio, où elle partagera la scène avec Del Barber.