2015-11-21 20:00 2015-11-21 22:00 60 Canada/Eastern 🎟 CNA : The Barenaked Ladies avec invité Alan Doyle

https://nac-cna.ca/fr/event/12006

« Je pense qu’il serait juste de dire que si le groupe était collectivement aussi connu que Stella, alors ce disque serait l’indication que Stella a bel et bien retrouvé son groove », affirme Ed Robertson, du groupe torontois Barenaked Ladies. Après 27 ans de collaboration, plus de 14 millions d’albums vendus et une foule de nominations aux prix JUNO et aux GRAMMY, le quatuor cérébral formé de Ed Robertson (guitare et voix),...

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Salle Southam ,1 rue Elgin,Ottawa,Canada
sam 21 novembre 2015
20 h HNE
Cet événement est passé
Musique Auteur-compositeur-interprète Pop Rock
  • Anglais
Coprésentation du CNA

« Je pense qu’il serait juste de dire que si le groupe était collectivement aussi connu que Stella, alors ce disque serait l’indication que Stella a bel et bien retrouvé son groove », affirme Ed Robertson, du groupe torontois Barenaked Ladies. Après 27 ans de collaboration, plus de 14 millions d’albums vendus et une foule de nominations aux prix JUNO et aux GRAMMY, le quatuor cérébral formé de Ed Robertson (guitare et voix), Jim Creeggan (guitare basse et voix), Kevin Hearn (clavier, guitare et voix) et Tyler Stewart (batterie et voix) fait la démonstration qu’il carbure encore à plein régime sur le dernier-né de ses disques – le 14e! –, intitulé Silverball.

Le passage du temps a laissé des marques sur le protagoniste grisonnant de cet album, mais comme l’indique bien la première pièce, « Get Back Up » (trad. : « Relève-toi »), il tient bon, tel un Rocky dans l’arène, multipliant les crochets et assénant au passage un ou deux coups bien placés. Mais on sent aussi en filigrane quelque chose de poignant dans Silverball. On est devant un album mature qui présente des pièces rock’n roll recalibrées pour dépeindre cette résilience  qui habite les gens au mitan de leur vie.

« C’est le premier album – depuis notre tout premier,  Gordon –, à avoir été écrit sans douleur, sans tergiversations, sans insécurité ni doute sur notre démarche, d’affirmer Robertson. Alors  qu’on se préparait à réaliser ce nouvel opus, je me disais : ‘Allez! Attelle-toi mon vieux!’ ‘J’essaie de tirer quelque chose de ce que j’ai vécu, de ce que je vis en ce moment, et je mets tout ça en chansons. Je les joue pour les gars avec qui je travaille depuis 27 ans, et voilà qu’ils me rappellent et me disent : ‘Non mais ces chansons-là sont hallucinantes! Qu’est-ce qu’on attend pour faire cet album?’ ‘Je me suis embarqué dans l’aventure, poussé par un formidable élan de confiance et de gratitude. »